Cadres et Agents du Ministère du Tourisme à l’école du savoir

Cadres et agents du Ministère du Tourisme à l’école du savoir.

      Le ministère du tourisme et de l’environnement organise du 05 au 07 décembre 2017, un séminaire de renforcement des capacités des agents en charge de la collecte et le traitement des données statistiques du tourisme au Congo.

      La cérémonie d’ouverture des travaux de ce séminaire a été présidée par la Ministre Arlette SOUDAN NOUNAULT, Ministre du tourisme et de l’environnement en compagnie de Monsieur Anthony OHEMENG BOMAH, représentant résident du PNUD. Considéré comme un des 5 secteurs stratégiques de l’économie congolaise , le secteur du tourisme nécessite une production statistique continuelle pour une meilleure planification.

      L’importance des statistiques dans le tourisme est indéniable en ce sens qu’elles permettent de mieux segmenter les différents domaines qui font la promotion et la notoriété de la « Destination Congo« .

    Par exemple : le nombre de touristes qui fréquentent le Congo, le taux d’occupation des chambres dans les établissements hôteliers, les répertoires des sites touristiques etc…

     Ainsi, ce séminaire a regroupé les cadres et agents du ministère du tourisme qui bénéficieront du 05 au 07 décembre de la formation donnée par un expert qui a fait ses preuves dans le domaine des statistiques.

       A l’ouverture des travaux, le représentant du PNUD au Congo Anthony OHEMENG BOAMAH a vivement salué l’initiative du Ministère du tourisme et de l’environnement. Il a par ailleurs déclaré la disponibilité du PNUD à accompagner ce département ministériel.

      Consciente des enjeux que représente les statistiques dans le domaine du tourisme, Madame la Ministre Arlette SOUDAN NONLAUT a rappelé que « Le diagnostic du système national des statistiques du tourisme au Congo réalisé en 2015 par le projet pour l’élaboration de la stratégie nationale et le plan Directeur du développement durable du tourisme, a relevé de nombreuses insuffisances dans des différents niveaux de la chaine de production des données statistiques sur le tourisme et l’application des recommandations internationales sur les statistiques du tourisme de 2008, promulguées par les Nations-Unies et l’OMT »

     Face a ses nombreuse faiblesses, la Ministre Arlette SOUDAN NONAULT a déclaré : «Conscient de ces faiblesses et de l’importance des données statistique du tourisme l’élaboration, la mise en œuvre et le suivi-évaluation des programmes de développement et de commercialisation de la destination Congo » a t-elle laissé entendre.

     Ce séminaire est donc la preuve que le gouvernement tient au développement du secteur du tourisme.

DEUXIÈME PHASE DE LA CLASSIFICATION HÔTELLERIE DU CONGO

        Madame la Ministre du tourisme et de l’environnement Arlette SOUDAN NONAULT  a animé ce jeudi 30 Novembre à Brazzaville une conférence de presse sur la seconde phase de la classification hôtelière en république du Congo.

  Cette conférence  de presse a été animée conjointement avec  monsieur ABDELILAH LAHCHIMI et Madame ZINEB REMMAL tous deux experts de l’OMT (Organisation Mondiale du Tourisme).

   L’objectif de cette classification hôtelière est d’établir des  normes spécifiques à l’environnement local en matière d’hébergement sur le territoire congolais afin de faire du pays, une destination touristique attractive.

    Pour cette seconde phase plus de 500 normes vont être testées dans près de 28 établissements hôteliers à Brazzaville et Pointe-Noire  les deux  principales villes du pays.

Selon l’expert de l’OMT monsieur ABDELILAH LAHCHIMI, la nécessité d’avoir  une classification permettra aux établissements hôteliers d’améliorer leurs prestations  pour le bien des clients.

    Pour sa part, la ministre du tourisme et de l’environnement a insisté sur la mise en  œuvre du plan directeur de développement touristique qui exige de mettre en place des mécanismes de contrôle du secteur hôtelier.

Cet échange avec la presse locale et internationale, a également permis a madame Arlette SOUDAN NONAULT de mieux communiquer sur les différents axes de travail de son département ministériel, à savoir : la formation des ressources humaines et le développement des métiers du tourisme au Congo.

 

 

 

Régis ASSOULA

Séance de Travail entre la Ministre et la délégation d’Investisseurs Sud-africains

Madame Arlette SOUDAN NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement a reçu en audience ce mercredi ,29 novembre 2017, à son cabinet une délégation d’investisseurs sud-africains conduite par Son Excellence M. R. Baloyi , Ambassadeur de l’Afrique du sud en République du Congo.

     Cet entretien a tourné autour d’une présentation, relative aux grands projets d’investissement dans le domaine du Tourisme par la partie sud-africaine, de son côté la Ministre du Tourisme et de l’Environnement a remercié ces investisseurs pour le choix porté à la République du Congo et elle a ensuite rassuré ces derniers de son implication dans la réalisation de ces projets

Madame Percy FILIPPINI, représentante de la FAO au Congo reçue en audience par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT

 » Lundi 27 novembre 2017 à 11h00, Madame Arlette SOUDAN NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement a accordé une audience à Madame PERCY FILIPPINI, Représentante de la FAO au Congo. Cet entretien rentre dans le cadre de renforcement de liens de partenariat entre l’organe des Nations Unies et le Ministère du Tourisme et de l’Environnement  » 

 

     En effet, la coopération entre la République du Congo et la FAO s’est développée régulièrement depuis l’ouverture de la Représentation en 1977. Celle-ci est basée sur les politiques et stratégies globales de la FAO et se traduit par des interventions d’appui au développement y compris dans les domaines de l’agriculture durable, de la gestion efficace des forêts, de la lutte contre les effets du « changement climatique et des situations d’urgence ».

     Le premier Cadre de programmation pays (CPP), aligné sur les priorités nationales du pays, a été adopté pour la période 2013-2017 qui touche à sa fin.

     C’est ainsi que Madame le représentant de la FAO, Suze Percy Filippini entame depuis quelques mois une série de visite auprès des autorités congolaise en vue de réaffirmer la volonté de la FAO dans le Renforcement des capacités pour le développement agricole durable et la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Le But étant aussi de renforcer les relations diplomatiques entre la FAO et la République du Congo.

       Le lien étroit entre la sécurité alimentaire et le Développement durable des Ecosystème du Bassin du Congo justifie par ailleurs l’audience que Son Excellence Arlette SOUDAN NONAULT a accordée à Madame la Représentante de la FAO.

       Les deux autorités ont discuté des questions de coopérations et la Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo a profité de cette occasion pour présenter à son homologue la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) au sortir de la 23ème Conférence des Parties sur les Changements climatique (COP23) qui a eu lieu à Bonn en Allemagne du 6 au 17 Novembre 2017.

        Madame la Ministre Arlette SOUDAN NONAULT a rappelé l’élan et la volonté de la République du Congo à poursuivre les efforts dans la réduction du Chômage ou l’amélioration des conditions de vie des populations les plus vulnérables.

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D. Gildas

Une série de descentes effectuée par Madame la Ministre du Tourisme et de l’Environnement

Le vendredi 24 novembre 2017, Madame Arlette SOUDAN NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement a effectuée une série de descentes dans les structures relevant de sa tutelle.

 

     Il s’est agit de la Direction Générale de l’Environnement ,ici la Ministre a eu un entretien avec les cadres et agents de cette direction afin de communiquer sa politique en matière d’environnement et faire état des difficultés auxquelles est confrontée celle-ci.  Même son de cloche à la Direction Générale

 

du Tourisme et de l’Hôtellerie, en effet Madame Arlette SOUDAN NONAULT, est allé s’enquérir de son fonctionnement, au cours de cette visite elle a exhorté le personnel au travail et à la responsabilité en vue d’atteindre les objectifs fixés par le Chef de l’Etat.

COP23 : l’importance du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso s’est rendu mercredi à la 23e conférence des Nations unies sur la lutte contre le changement climatique à Bonn en Allemagne, où il a insisté sur l’importance du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

       «Mon message à cette tribune de la COP23 est de vous dire que le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo est sur les rails. Je demande l’adhésion de toute l’Afrique et l’obtention, enfin, des financements qui ont été promis. Car, en développant les richesses du Bassin du Congo, nous pourrons espérer enrayer la pauvreté, donner une réponse forte au terrorisme et empêcher les jeunes de sombrer dans les océans ou d’errer dans les camps de migrants », a déclaré le leader écolo-visionnaire, Denis Sassou Nguesso.

      «C‘est une idée généreuse, un projet important pour l’humanité », a ajouté le numéro un congolais, grand défenseur du climat depuis plus de trente (30) ans.

    Denis Sassou Nguesso qui a fait du développement durable un axe majeur de la stratégie de croissance de son pays, a salué la solidarité de ses homologues de persister à parler d’une même voix à Bonn.Heureux de constater qu’après les rencontres de la COP21 à Paris et les résolutions de Marrakech,

c’est ensemble qu’ils font face en ce qui concerne la recherche de l’éradication des méfaits climatiques.

         Malgré l’absence du soutien international qui tarde à venir, le chef de l’Etat congolais a exhorté la communauté internationale à se souvenir de ses promesses.

    Le président congolais a prononcé son discours en présence de son homologue guinéen, Alpha Condé, et du délégué de l’Union africaine.

    Le président français, Emmanuel Macron et la Chancelière allemande, Angela Merkel sont les seuls chefs d’États de pays développés à être venus à la COP 23.

Malheureusement, Emmanuel Macron est venu les poches vides à la COP 23 et n’a fait aucune nouvelle annonce financière pour les pays les plus pauvres, qui sont pourtant en première ligne du changement climatique.

Maroc-Congo: Un partenariat fort salué par Mme SOUDAN-NONAULT

 

         Une rencontre bilatérale a eu lieu à Bonn lors de la COP 23 entre Madame Nezha El Ouafi, Secrétaire d’Etat chargée du Développement Durable du Royaume du Maroc, et Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo.

   Cette rencontre a été l’occasion pour Mme NONAULT de saluer le partenariat fort et la coopération solide, entre les deux pays frères, dans le domaine de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique.

L’intégralité de la déclaration est présente dans la vidéo ci-dessous :

    Source: www.levert.ma

 

Francophonie : les économies nouvelles au centre de la réunion des ministres

Prévue du 25 au 26 novembre à Paris, la rencontre planchera sur une thématique majeure : « Economies nouvelles : économie bleue, économie verte – nouveaux moteurs de création de richesse, d’inclusion sociale et du développement durable ».

Les assises offriront l’occasion à l’Afrique centrale de mettre en exergue le Fonds bleu pour le Bassin du Congo, en tant qu’initiative salutaire pour l’environnement et le bien-être de la population. Proposé par le Togo, le thème de cette conférence colle à l’actualité. En témoignent les difficultés économiques auxquelles la majorité des pays membres de la Francophonie est confrontée, en particulier ceux dont les économies demeurent tributaires des matières premières.

Les économies nouvelles ont l’avantage d’être diversifiées, inclusives et reposant sur les bases solides. Dans la capitale française, les ministres de la Francophonie seront amenés à réfléchir sur la façon de promouvoir ce nouveau type d’économies qui sont plus créatrices d’emplois, de valeur ajoutée et moins destructives de l’environnement.

Initiative de la République du Congo en collaboration avec la Fondation Brazzaville pour la paix et la préservation de l’environnement, le Fonds bleu pour le Bassin du Congo a été annoncé en marge de la COP22 au Maroc en 2016 par le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso. Il vise à la fois la préservation des écosystèmes forestiers régionaux et le développement économique des Etats.

Source: adiac-congo

Une Mission de l’ONU à Brazzaville pour la préservation des Tourbières du Bassin du Congo

         L’équipe d’experts du Programme des Nations unies pour l’environnement, en séjour de travail à Brazzaville, a échangé, le 16 octobre 2017 , avec la Ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan Nonault, sur la conservation d’un énorme puits contenant 30 milliards de tonnes de dioxyde de carbone piégé dans une tourbière, situé dans la partie centrale du bassin du Congo.

        La mission, la deuxième du genre, est la poursuite de la première effectuée au mois de mars dernier. Au cours de celle-ci, des discussions avaient permis aux partenaires d’identifier les actions gagnant-gagnant, liées à la conservation et à la gestion durable des  » tourbières du bassin du Congo« .

         Les deux parties se sont accordées, au terme de leur échange du 16 octobre 2017, pour gérer de manière durable cet écosystème d’une importance capitale non seulement pour le Congo mais aussi pour toute l’humanité.

     « Nous sommes venus nous assurer que le Congo nous accompagnera à relever le profit de cet écosystème au niveau de la Cop 23. Nous sommes également ici pour préparer la troisième réunion des pays partenaires de l’initiative mondiale sur les tourbières qui se tiendra, à Brazzaville, au premier trimestre2018 »

, a indiqué Daniel Pouakouyou, l’un des experts de l’ONU Environnement.

        Les tourbières du bassin du Congo regorgent d’une quantité de carbone équivalant à 228 millions d’hectares du massif forestier du Bassin du Congo. Elles sont situées entre les deux Congo, dans la partie centrale du bassin du Congo. Daniel Pouakouyou estime que « Si ce stock de carbone est libéré, cela perturbera tout le climat du monde. On a tout intérêt de travailler ensemble, de manière transversale, avec tous les partenaires nationaux et internationaux pour contenir cette bombe climatique là où elle se trouve, on ne la laissera pas exploser».

      Pour sa part, la Ministre du Tourisme et de l’environnement pense qu’il faut préserver ce poumon écologique car beaucoup n’en sont pas conscients. « La déforestation se fait, nous sommes dans l’élaboration d’un retro-planning qui nous amène à la Cop 23 avec une démarche mutuelle commune à celle de l’ONU Environnement et, nous sommes en train de préparer cette grande assemblée qui se tiendra à Brazzaville.  Il nous faut travailler avec tous les secteurs: le gouvernement, le secteur privé , la société civile, les ONG et impliquer les collectivités locales », a précisé Arlette Soudan Nonault.

        Après Brazzaville, l’équipe d’experts du programme des Nations unies pour le développement se rendra ce 18 octobre à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, en vue de poursuivre ce dialogue sur la préservation des « tourbières du bassin du Congo « avec les autorités de ce pays.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source : adiac-congo