Conservation and management of biodiversity specialist, currently working with the National Service of Protected Areas of Peru, Machupicchu Historical Sanctuary. Work previously done on mapping ecosystems in the Andes and Amazon regions of Cusco and Madre de Dios, including Andean peatlands (which are locally named as oqhonales) and in using this information in land planning use and management; also in designing conservation areas and in managing cultural landscapes.
Dr. IFO Suspense Averti
Après de mon doctorat unique en 2010 sur l’apport des stocks de carbone dans les forêts galeries des plateaux batékés, j’ai travaillé pendant deux ans pour le projet WRI et Winrock sur les quantifications des émissions de CO2 provenant de la déforestation et de la dégradation forestière en République du Congo.
Depuis 2015, je suis assistant professeur à l’université Marien N’Gouabi de Brazzaville. En dehors de travaux de recherche sur les tourbières avec l’université de Leeds, je conduis actuellement le projet de recherche sur le suivi par télédéction de la déforestation et de la dégradation due à la croissance urbaine de quelques localités forestiers, impact sur la biodiversite et le stock de carbone. Auteurs de plusieurs publications, j’ai déjà assuré l’encadrement de plusieurs memoires de Master et participe à l’encadrement des thèses.
M. Aldous Jay
Jay brings to the Ramsar Secretariat more than two decades of integrated fundraising and communications experience.
For the past four years Jay was the Director, Private Sector Division of the UN World Food Programme, overseeing relationships with businesses, foundations and NGO’s. Previously Jay was Chief Marketing and Communications Officer at the U.S. Fund for UNICEF. At UNICEF he was the creator of the Believe in Zero call-to-action campaign and UNICEF’s award winning clean water initiative, the Tap Project.
Other experience includes advising the Consultative Group for International Agricultural Research (CGIAR) on the development of a global pledging conference to support sustainable and climate smart agriculture, and new innovative funding mechanisms.
Dr. Suspense Averti IFO
Après mon doctorat unique en 2010 sur l’apport des stocks de carbone dans les forêts galeries des plateaux batékés, j’ai travaillé pendant deux ans pour le projet WRI et Winrock sur les quantifications des émissions de CO2 provenant de la déforestation et de la dégradation forestière en République du Congo.
Depuis 2015, je suis assistant professeur à l’université Marien N’Gouabi de Brazzaville. En dehors de travaux de recherche sur les tourbières avec l’université de Leeds, je conduis actuellement le projet de recherche sur le suivi par télédéction de la déforestation et de la dégradation due à la croissance urbaine de quelques localités forestiers, impact sur la biodiversite et le stock de carbone. Auteurs de plusieurs publications, j’ai déjà assuré l’encadrement de plusieurs memoires de Master et participe à l’encadrement des thèses.
M. Jay Aldous
Jay brings to the Ramsar Secretariat more than two decades of integrated fundraising and communications experience.
For the past four years Jay was the Director, Private Sector Division of the UN World Food Programme, overseeing relationships with businesses, foundations and NGO’s. Previously Jay was Chief Marketing and Communications Officer at the U.S. Fund for UNICEF. At UNICEF he was the creator of the Believe in Zero call-to-action campaign and UNICEF’s award winning clean water initiative, the Tap Project.
Other experience includes advising the Consultative Group for International Agricultural Research (CGIAR) on the development of a global pledging conference to support sustainable and climate smart agriculture, and new innovative funding mechanisms.
MARS 2018 : Présentation Finale de la F2BC
F2BC
FONDS BLEU POUR LE BASSIN DU CONGO
Outil Financier de la Commission Climat du Bassin du Congo
UNE ÉTUDE DE FAISABILITÉ AU BASSIN DU CONGO CONFIÉE AU MAROC
Le Maroc et la République du Congo (Brazzaville) ont signé ce lundi 12 mars à Rabat un protocole confiant au Royaume une étude de faisabilité portant sur la préservation du bassin du Congo.
Cette étude sera réalisée à travers le Fonds bleu pour le bassin du Congo. Il s’agit d’un fonds international de développement qui vise à permettre aux États de la sous-région du bassin du Congo de passer d’une économie liée à l’exploitation des forêts à une économie s’appuyant davantage sur les ressources issues de la gestion des eaux, notamment celles des fleuves. L’accord portant création de ce fonds a été signé par douze pays de cette sous-région le 9 mars 2017 à Oyo en République du Congo.
Le Maroc, à l’initiative du roi Mohammed VI, a acté sa contribution pour la réalisation de ce projet lors de la COP22 de Marrakech. C’est ainsi que « l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le bassin du Congo » sera réalisée par le Centre de compétences en changement climatique-Maroc.
L’Allemagne a fait un don de 500.000 euros pour la réalisation de cette étude, selon la secrétaire d’Etat chargée du Développement durable, Nezha El Ouafi, signataire de l’accord au côté de la ministre congolaise du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault. Dans une déclaration à le360, cette dernière a salué l’excellence de la coopération entre les deux pays (voir vidéo ci-dessous).
Source: fr.le360.ma
Lancement à Rabat de l’étude de pré-figuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo
Le secrétariat d’État chargé du Développement durable a organisé, hier à Rabat, un atelier pour valider les termes de référence de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le bassin du Congo. À cette occasion, un mémorandum d’entente a été signé entre Nezha El Ouafi, secrétaire d’État chargée du Développement durable, et Arlette Soudan Nonault, ministre du Tourisme et de l’environnement de la République du Congo et coordinatrice technique de la Commission climat du bassin du Congo, en vue de lancer la réalisation de cette étude.
Un Mémorandum d’entente a été signe, hier à Rabat, entre Nezha El Ouafi, secrétaire d’État chargée du Développement durable, et Arlette Soudan Nonault, ministre du Tourisme et de l’environnement de la République du Congo et coordinatrice technique de la Commission climat du bassin du Congo, en vue de lancer la réalisation de l’étude de pré-configuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo. Cette signature a couronné ainsi les travaux de l’atelier de validation des Termes de référence (TDR) de l’étude.
Les points focaux du Fonds bleu pour le bassin du Congo et les membres de la société civile de la sous-région de l’Afrique centrale ont procédé au cours de cette rencontre à la validation technique des termes de référence de l’étude de pré-figuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo.
À cette occasion, Mme Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’environnement et coordinatrice technique de la Commission climat du bassin du Congo, a souligné dans son discours d’ouverture l’importance de cette réunion qui vient à point nommé dans la mesure où la validation technique par les membres du Comité adhoc régional de ces termes de référencement permettra de créer un consensus autour des principaux résultats attendus de l’étude.
Financée à hauteur de 500.000 dollars, comme le souligne Mme Soudan-Nonault, grâce à l’apport du PNUD, la coopération
allemande (GIZ) et la coopération marocaine, cette étude de pré-configuration du Fonds bleu pour le bassin du Congo permettra d’asseoir les lignes directrices claires qui permettront au bureau d’étude désigné d’élaborer des propositions fiables, susceptibles d’éclairer la décision des Chefs d’État et de gouvernement des pays membres de la Commission climat du bassin du Congo.
Le lancement de cette étude permettra également de pré-configurer le Fonds bleu pour le bassin du Congo, qui représente, comme le souligne Nezha El Ouafi, un outil opérationnel de la Commission du bassin du Congo, l’une des trois commissions créées ; rappelons-le, lors du sommet des Chefs d’État et de gouvernement africains tenu en novembre 2016 à Marrakech, en marge de la COP22 et présidée actuellement par Denis Sassou Nguesso, Président de la République du Congo.
S’agissant de l’importance de ce fonds, elle vient, comme le souligne Mme El Ouafi , du fait qu’il représente un instrument de financement d’un plan d’investissements de très grande envergure, «probablement le plus grand en Afrique et dans les pays du bassin du Congo», ajoute la ministre, visant la mise en place d’une feuille de route de la politique de développement durable de ce bassin.
Source: lematin.ma
Maroc : Atelier de validation des Termes de Référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo
Atelier de validation des Termes de Référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo
Rabat, le 12 mars 2018
1. Contexte et justification
Les Chefs d’Etat et de Gouvernement Africains ont décidé de créer le 16 novembre 2016 à
Marrakech, en marge de la COP22 à l’initiative de Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc,trois commissions pour concilier la lutte contre les changements climatiques et le développement économique pour une émergence de l’Afrique. Cette orientation a été entérinée par une décision adoptée lors de la 28e session des Chefs d’Etat de l’Union Africaine, tenue les 30 et 31 janvier 2017 à Addis Abeba.
Les trois commissions climat de l’Union Africaine sont :
• la Commission sahel, présidée par le Niger,
• la Commission du Bassin du Congo, présidée par le Congo,
• la Commission Etats insulaires, présidée par les Seychelles.
Pour les Chefs d’Etat, les trois commissions visent la mise en œuvre des outils politiques principaux suivants :
• l’Accord de Paris
• la Déclaration de Marrakech
• l’Agenda 2030 des Nations Unies sur les Objectifs de Développement Durable
• l’Agenda 2063 de l’Union Africaine
• la Proclamation de Marrakech.
La mission de chaque Commission est d’assurer la coordination et le suivi de toutes les actions et initiatives concourant à la lutte contre les changements climatiques et le développement économique des Etats membres de chaque commission, à travers l’élaboration des plans d’investissement climat.
En marge de la COP22, à Marrakech, le Président de la République du Congo proposait la création d’un fonds bleu pour le Bassin du Congo.
Le Fonds a pour objectifs de mobiliser les ressources nécessaires, auprès des Etats, des contributeurs et investisseurs, en vue du financement de la mise en œuvre des programmes et projets concourant au développement durable et à la promotion de l’économie bleue dans son champ d’intervention.
La République du Congo a organisé à Oyo dans le Nord du Congo, en mars 2017, une Conférence Ministérielle de lancement du Fonds Bleu, couronnée par la signature d’un Mémorandum d’entente pour la création dudit fonds.
Le Mémorandum d’entente portant création du Fonds Bleu a été signé le 09 mars 2017 par les Etats suivants : Angola, Burundi, Congo, Cameroun, Gabon, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Rwanda, Royaume du Maroc, Tchad.
En octobre 2017, Brazzaville a accueilli la Conférence des Ministres de l’Environnement et des Finances de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE) sur l’accélération de l’opérationnalisation de la Commission climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et l’adoption de la Position Commune de la CEEAC et la CAE face à la COP23.
La conférence d’octobre 2017 de Brazzaville a débouché sur l’adoption de plusieurs outils ’opérationnalisation de ces deux instruments, la commission climat du bassin du Congo et le fonds bleu pour le bassin du Congo, et d’une déclaration Ministérielle, assortie d’une feuille de route dont le suivi de la mise en œuvre relève de la responsabilité des membres du Comité régional ad ‘hoc, composé des points locaux F2BC des pays membres et des délégués sous régionaux de la société civile du Bassin du Congo, sous la supervision de la conférence ministérielle.
L’une des recommandations de la déclaration de Brazzaville était l’appel fait au Royaume du Maroc, à travers le 4C (Centre de Compétences en Changement Climatique ) pour qu’il apporte son appui nécessaire pour la mise en œuvre du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, notamment rechercher des financements nécessaires à la réalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Pour y parvenir, le 4C a préparé les termes de référence devant guider la réalisation de cette étude.
C’est pourquoi, avant le lancement de cette étude, il est indispensable que les membres du Comité régional ad ‘hoc les examine avant de les valider.
2. OBJECTIFS
L’objectif général de l’atelier de Rabat est de procéder à la validation technique des termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC. Spécifiquement, l’atelier de Rabat vise les objectifs suivants :
- Obtenir l’appropriation par les points focaux F2BC, des termes de référence de l’étude
de préfiguration du F2BC de la Commission climat du Bassin du Congo; - Obtenir la validation technique desdits termes de référence par les participants.
3. RÉSULTATS ATTENDUS
L’atelier de Rabat va déboucher sur les deux principaux résultats suivants :
- Les points focaux du F2BC se sont appropriés les termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC pour leur permettre de participer à terme au processus de validation technique des livrables de ladite étude;
- Les termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC de la Commission climat du Bassin du Congo sont adoptés.
4. METHODE
Le processus de validation technique des termes de référence de l’étude de préfiguration du F2BC suivra la démarche suivante :
- Mettre à disposition des participants, la version des termes de référence élaborés par le 4C pour permettre à ces derniers de formuler des suggestions et recommandations en vue de les enrichir, conformément à la lettre et à l’esprit des principaux documents du F2BC, à savoir la Déclaration de Marrakech, le Mémorandum d’Entente d’Oyo et la Déclaration de Brazzaville ainsi que les communiqués finaux des réunions de Brazzaville et de Bonn ;
- Créer un espace de discussion pendant l’atelier de Rabat après une présentation power point sur les grandes lignes des termes de référence dont il s’agit ;
- Obtenir à travers la validation technique, un consensus autour du document.
5. PARTICIPANTS
Vont participer à cet atelier:
- Les points focaux F2BC désignés par les pays membres;
- Les délégués sous-régionaux des organisations de la société civile ;
- Le délégué de la Fondation Brazzaville.