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Participation du Congo à la réunion du CAHOSCC en marge du 38ᵉ Sommet de l’Union Africaine

La réunion du Comité des Chefs d’État et de Gouvernement Africains sur le Changement Climatique (CAHOSCC), initialement prévue le 15 février 2025, s’est tenue le dimanche 16 février 2025 à Addis-Abeba, en marge du 38ᵉ Sommet de l’Union Africaine. 

Son Excellence Monsieur Denis Sassou Nguesso, Président de la République du Congo et Président de la Commission Climat du Bassin du Congo, a été représenté à ces assises par Madame Arlette Soudan-Nonault, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, et Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo. 

Dans son intervention, Madame la Ministre a présenté le rapport des activités phares menées par la Commission Climat du Bassin du Congo en 2024, réaffirmant l’engagement du Congo et de ses partenaires dans la protection de ce poumon écologique stratégique pour l’Afrique et le monde. 

Priorités de l’Afrique rappelées par le Coordonnateur du CAHOSCC, S.E.M. William Samoei Ruto, Président du Kenya :

  • Accès universel à l’énergie ; 
  • Santé pour tous ; 
  • Mobilisation de financements climatiques adaptés aux besoins du continent. 

Le Coordonnateur a également lancé un appel solennel aux Nations Unies pour une justice financière et technologique en faveur de l’Afrique, essentielle pour relever les défis climatiques et garantir un développement équitable. 

Cette participation illustre le leadership actif du Congo dans les enjeux climatiques continentaux et son rôle clé pour une Afrique unie, résiliente et prospère. 

CAHOSCC #UnionAfricaine #BassinDuCongo #Climat #JusticeClimatique #Afrique

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La Ministre SOUDAN-NONAULT a présidé le lancement du processus d’identification et de reconnaissance des AMCEZ

« Agir ensemble pour protéger la biodiversité et les aires protégées en République du Congo »

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, a présidé le 12 février 2024 à Brazzaville, à l’hôtel Radisson Blu, les travaux de l’atelier de lancement du processus d’identification et de reconnaissance des Autres Mesures de Conservation Efficaces par Zones (AMCEZ) et de mise à jour des données sur les aires protégées en République du Congo.

Organisé en partenariat avec l’ONG internationale américaine Wildlife Conservation Society (WCS) grâce à l’appui du Fonds Bezos pour la Terre qui finance cette initiative au Congo et dans d’autres pays d’Afrique centrale, cet atelier vise à identifier et valoriser les zones où la biodiversité est préservée grâce à des pratiques durables, même en dehors des aires protégées classiques et de sensibiliser les différents acteurs et parties prenantes sur les opportunités d’application du concept des AMCEZ . 

Pour rappel, le lancement de ce processus intervient 6 mois après la mise en place, au sein de son administration, d’un Groupe de Coordination Nationale chargé d’accompagner le processus d’élaboration des lignes directrices pour la définition, l’identification et la reconnaissance des AMCEZ au Congo.

Découvrez en images les moments forts  ! 

Ensemble, construisons un avenir où nature et développement vont de pair. #BassinDuCongo #Biodiversité #AMCEZ #Environnement

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Lancement des travaux de l’atelier de formation sur les outils de suivi des tourbières dans le Bassin du Congo

« Conserver et gérer durablement les  écosystèmes en général et les  tourbières en particulier », tel est l’engagement de la République du Congo, réaffirmé par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo, à l’occasion du lancement des travaux de l’atelier de formation sur les outils de suivi des tourbières dans le Bassin du Congo, ce 10 février 2025, à l’hôtel PEFACO MAYA-MAYA à Brazzaville.

Organisé en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), cet atelier vise le renforcement des capacités des parties prenantes nationales et locales en matière d’utilisation des outils et données robustes pour le suivi des tourbières et des ressources en eau, et de consultation des principales parties prenantes pour définir les objectifs détaillés des efforts de suivi des tourbières, notamment via les technologies de télédétection, s’inscrit dans le cadre du projet « Sécuriser les réserves cruciales de Biodiversité, de carbone et d’eau dans les tourbière du Bassin du Congo grâce à une prise de décision éclairé et une bonne gouvernance ».

Découvrez en images les moments forts de cet événement, où experts locaux et partenaires se sont mobilisés pour trouver des solutions pour la préservation de notre patrimoine naturel. Ensemble, agissons pour un environnement durable et résilient ! #BassinDuCongo #Tourbières #Environnement #FAO »

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Ouverture de l’atelier de présentation du projet Global Biodiversity FRAMEWORK -EAS

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a procédé le 6 février 2025 à l’hôtel Mikhael’s de Brazzaville, à l’ouverture de l’atelier de présentation du projet Global Biodiversity FRAMEWORK -EAS dans ses composantes, ses particularités et ses exigences.

Cet atelier, qui a connu la participation de plusieurs représentations diplomatiques au Congo, les représentants des agences des Nations Unies et autres partenaires techniques financiers, a été réalisé en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Congo.

Les travaux de cet atelier permettront à la République du Congo de remplir ses engagements vis-à-vis du Secrétariat de la Convention sur la Diversité Biologique sur les cibles nationales alignées au
cadre mondial de la biodiversité et d’amender le draft zéro de la Stratégie et du Plan d’action national de la biodiversité.

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La Ministre Soudan-Nonault a reçu Madame Laura SUAREZ, l’ambassadeur du Venezuela au Congo

Madame la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo, Arlette SOUDAN-NONAULT a reçu en audience Son Excellence Madame Laura SUAREZ, Ambassadeur du Venezuela au Congo.

L’environnement, le développement durable, le climat et la biodiversité ont été les points clés au centre de leurs échanges.

Après avoir félicité l’organisation réussie à Brazzaville du 2ème sommet des 3 bassins tropicaux, Son Excellence Madame Laura SUAREZ a réaffirmé l’engagement de son pays à soutenir les efforts de la République du Congo dans la lutte contre les effets du changement climatique et la préservation de la biodiversité du Bassin du Congo, sous l’impulsion du Chef de l’État, Son Excellence Monsieur Denis SASSOU N’GUESSO, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo.

En témoignage des rapports chaleureux d’amitié liant leur pays respectif, les deux personnalités se sont offerts des présents et ont ensemble pris l’engagement de renforcer d’avantage leur coopération dans le domaine de l’environnement et du développement durable.

Pour rappel, la République du Venezuela a participé, à un haut niveau, aux travaux du 2ème sommets des trois bassins des écosystèmes de biodiversité et des forêts tropicales tenu à Brazzaville les 26, 27 et 28 octobre 2023.

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Le Congo se propose de restaurer ses zones humides dégradées

A la faveur de la célébration de la Journée internationale des zones humides, la ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, a plaidé, le 31 janvier, à Brazzaville pour la restauration des zones humides dégradées d’ici à 2030.

Le thème choisi pour la célébration de cette année est « Protéger les zones humides pour notre avenir commun ». Les zones humides jouent un rôle crucial pour la planète et pour l’humanité. Elles agissent comme des éponges naturelles, régulant les inondations, filtrant les eaux et stockant le carbone, ce qui aide à combattre le changement climatique. Elles abritent également une biodiversité incroyable, avec de nombreuses espèces dépendant de ces écosystèmes pour survivre. « …Nous devons, autant que possible, empêcher la conversion et le drainage des tourbières intactes et restaurer, d’ici à 2030, la moitié de celles qui ont été dégradées… Permettre aux gens de vivre décemment et garantir que les zones humides fourniront toujours de l’eau potable, de la biodiversité, de la nourriture et de nombreux autres avantages ne constituent pas des objectifs contradictoires », a indiqué la ministre Arlette Soudan-Nonault. Par ailleurs, ces zones sont de plus en plus menacées par l’urbanisation, l’agriculture intensive et les changements climatiques. Protéger ces espaces est donc essentiel non seulement pour préserver la biodiversité, mais aussi pour garantir un avenir durable pour les générations futures. « Les zones humides mondiales ont perdu 35% de leur surface depuis 1970, soit un rythme trois fois supérieur à celui de la déforestation », souligne la déclaration du gouvernement du Congo.


Plusieurs approches sont envisagées pour préserver les zones humides : la restauration des habitats dégradés, la mise en place de politiques de gestion durable et la sensibilisation de la population locale et globale contribuant à soutenir des initiatives locales de préservation ou en adoptant des pratiques respectueuses de l’environnement. « …les objectifs de développement durable des Nations unies soulignent que la réduction de la pauvreté passe par la protection et la restauration des écosystèmes tels que les zones humides… Des emplois verts à la fois nouveaux et innovants sont créés dans le cadre des projets relatifs aux zones humides, lesquelles ont vocation à devenir des bassins prometteurs pour les métiers écologiques de demain », a argumenté la ministre de l’Environnement.


En sa qualité de secrétaire exécutive de la commission Climat pour le bassin du Congo, la ministre de l’Environnement s’est remémorée la plus grande tourbière tropicale au monde, avec ses cent cinquante mille kilomètres carrés de superficie, stockant trente milliards de tonnes de carbone, soit l’équivalent de trois années d’émissions mondiales de combustible fossile. C’est ainsi qu’elle a indiqué: « Notre pays recèle de nombreuses zones humides qu’il convient de protéger, depuis les mangroves de la côte atlantique jusqu’aux lacs et aux fleuves qui parsèment et irriguent notre territoire. Il recèle surtout ce véritable trésor de biodiversité humide et cet inestimable puits de carbone que sont les tourbières de la Cuvette centrale, dont la valeur a tant de fois été relevée et magnifiée ». Signalons qu’à travers le monde, les zones humides couvrent plus de douze millions de kilomètres carrés, soit près de 6 % de la surface terrestre et abritent 40 % de toutes les espèces végétales et animales connues incluant de nombreuses espèces menacées qui ne peuvent survivre que dans des habitats humides particuliers, et nulle part ailleurs.


Les mangroves séquestrent le carbone jusqu’à cinquante-cinq fois plus vite que les forêts tropicales humides. Les tourbières, qui ne couvrent que 3% de la surface de la planète, captent quant à elles 30% de l’ensemble du carbone terrestre, soit deux fois plus que les forêts mondiales.

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La Ministre Soudan-Nonault a reçu Mme Sabine ROUX DE BEZIEUX, Présidente de la fondation de la Mer

La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), Madame Arlette SOUDAN NONAULT a reçu en audience, le lundi 27 janvier 2025 au siège de la CCBC, Madame Sabine Roux de BEZIEUX, Présidente de la fondation de la mer.

Après une visite du siège de la CCBC, les deux personnalités ont échangé sur les questions d’environnement et de biodiversité, notamment sur la protection, la restauration et la préservation des écosystèmes marins et fluviaux ainsi que de la menace pesant sur certains écosystèmes en voie de disparition tels les mangroves.

Il sied de noter que la Fondation de la mer a contribué à l’étude et à la protection de l’Océan et soutient de nombreuses initiatives sur la protection de la biodiversité marine. Au Congo, elle travaille en partenariat avec l’écocentre Rénatura Congo, basée à Pointe-Noire sur la protection des tortues marines et de l’océan.

Au terme de l’audience, Madame Sabine Roux De Bezieux s’est dite honorée et satisfaite des échanges fructueux avec la Ministre, Secrétaire Exécutive, Arlette SOUDAN-NONAULT, qui portera en qualité de Marraine, les prochaines assises nationales des ONG œuvrant en matière d’environnement, de biodiversité et de climat en République du Congo.

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La Ministre SOUDAN-NONAULT a reçu en audience le Docteur Vincent DOSSOU SODJINOU, Représentant Résident de l’OMS au Congo.

Le lundi 20 janvier 2025, la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo, Arlette SOUDAN NONAULT, a reçu en audience le Docteur Vincent DOSSOU SODJINOU, Représentant Résident de l’OMS au Congo.

Les deux personnalités ont échangé sur l’appui de l’OMS dans le développement de la grille des programmes de la Radio Télévision du Bassin du Congo (RTBC), la situation sanitaire de certains habitants du quartier Mvindoulou à Pointe-Noire, victimes d’une contamination au plomb occasionné par les activités de la société METSSA, société de fabrication de matériaux de fer, dont la suspension totale des activités et le démantèlement a été décidés en raison, entre autres, de la pollution de l’air au plomb.

La COP30 qui se tiendra en novembre prochain a été également à l’ordre de jour des échanges.

Le Docteur Vincent DOSSOU SODJINOU a félicité la Ministre Arlette SOUDAN NONAULT pour sa reconduction au Gouvernement suite au remaniement de l’équipe gouvernementale, avant de réaffirmer vivement l’engagement de son institution à soutenir à travers des appuis technique et financier, les efforts du Gouvernement entrepris par le ministère en charge de l’environnement, notamment par le recrutement de consultants pour l’operationalisation de la RTBC, le suivi des mesures de prise en charge des personnes atteintes de pathologies liées au plomb occasionnées par la société METSSA ainsi que le financement de la stratégie nationale d’adaptation au changement climatique.

Un mémorandum d’entente en cours de signature permettra de définir le cadre de collaboration à court, moyen et long terme entre le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo et l’Organisation Mondiale de la Santé au Congo.