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La Ministre Soudan-Nonault rencontre son homologue Minguengui Ndomba à Libreville

En séjour de travail en terre Gabonaise, du 27 au 29 mars à Libreville, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC a eu un échange avec son homologue Gabonaise, Mme Arcadie Svetlana MINGUENGUI NDOMBA Épouse NZOMBA, Ministre de l’Environnement, du Climat et du Conflit Homme-Faune.

Une rencontre axée sur la réunion des Ministres de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo (F2BC) qui se tiendra du 23 au 24 mai 2024, la tournée dans les pays membres de la CCBC, notamment au Gabon du 25 au 26 avril 2024, et autres problématiques liées à la cause environnementale.

Pour sa part, la Ministre Gabonaise a assuré la Ministre Congolaise de l’implication de son pays au côté de la CCBC.

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COP29 : Rencontre entre la Ministre Soudan-Nonault et le Ministre Azerbaïdjanais Mukhtar Babayev

Une réunion a eu lieu entre Mme Arlette SOudan-Nonault, Ministre Congolaise de l’environnement, du développement durable et du bassin du Congo, et Mukhtar Babayev, ministre de l’écologie et des ressources naturelles.

Les échanges ont porté sur les préparatifs de la 29e session de la Conférence des Parties (COP29) que l’Azerbaïdjan accueillera cette année.

Plus d’infos ici => https://www.facebook.com/share/p/vpexeFertBHCW9fj/?mibextid=qi2Omg

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Environnement : des échanges techniques sur la facilitation des forêts du bassin du Congo

La ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, a échangé, le 22 mars à Brazzaville au cours d’une audience, avec le co-facilitateur du partenariat pour les forêts du Congo, Christophe Guilhou, sur la réunion technique et préparatoire des parties de la facilitation sur les forêts du bassin du Congo qui aura lieu dans deux mois à Kinshasa.

« La perspective de cet échange important est la réunion des parties de la facilitation sur les forêts des bassins du Congo qui aura lieu dans deux mois, à Kinshasa », a signifié Christophe Guilhou, poursuivant: « Nous avons eu des échanges directs concernant les défis qui attendent les pays contributeurs, les pays à la fois récipiendaires, les organisations internationales, les organisations de la société civile. Tout cet ensemble va pouvoir contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique et ses conséquences dramatiques ».

L’hôte de la ministre de l’Environnement a ajouté: « Nous avons reçu beaucoup de contributions du Congo à ces discussions à la fois politiques et préparatoires très techniques. Nous attendons de la partie congolaise sa contribution surtout sur les sujets liés à l’environnement, le réchauffement climatique…Notre ambition est de mettre un accent sur l’importance que constitue ce poumon pour la région mais également l’ensemble de la planète ».

Créé en 2002 et composé de cent vingt-cinq membres, le Partenariat pour les forêts du Bassin du Congo (PFBC) est chargé d’appuyer la Commission des forêts d’Afrique centrale (Comifac) dans le dialogue avec l’ensemble des partenaires régionaux. La Comifac est l’organe interétatique régional en charge de la coordination des politiques de conservation et de gestion durable des écosystèmes forestiers.

Le PFBC est facilité sur une base volontaire par l’un de ses membres. Assuré par l’Allemagne depuis 2020, la France a repris ce rôle avec le Gabon, le 12 juillet 2023, à l’issue de la conférence internationale sur la transhumance transfrontalière, tenue à Yaoundé, au Cameroun. La France a déjà joué le rôle de facilitatrice entre 2005 et 2007. C’est la première fois, depuis la création de ce partenariat, que la facilitation est assurée conjointement par un État bailleur, la France, et un État forestier du bassin du Congo, le Gabon.

Par ailleurs, Christophe Guilhou a récemment été nommé co-facilitateur du PFBC par le gouvernement français pour la période de juillet 2023 à 2025.

Source : adiac

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Biodiversité : le Congo et ses partenaires pour la préservation des zones clés

La ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, a ouvert, le 19 mars à Brazzaville, les travaux du quatrième atelier du groupe de coordination nationale du projet zones clés pour la biodiversité en République du Congo dont l’objectif est de présenter l’utilité de ces zones, dans le cadre de l’action stratégique nationale et du cadre mondial pour la biodiversité.

Le projet financé par le Fonds Bezos pour la terre vise à mieux connaître les sites qui contribuent à la persistance de la biodiversité et de ses énormes potentialités dans la fourniture d’un ensemble de biens et services nécessaires à la survie et au développement des communautés urbaines, locales et autochtones.

Ainsi, l’initiative sur l’évaluation des nouveaux sites ou la réévaluation des anciens sites des zones clés pour la biodiversité contribue à atteindre l’objectif 3 du cadre mondial de la biodiversité. Le cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal, adopté par un groupe de dirigeants en décembre 2022, vise à stopper et inverser la perte de nature à l’horizon 2030.

Les participants suivront les résultats globaux du projet et s’engageront ainsi dans une réflexion sur le maintien de la base de données internationale sur les zones clés pour la biodiversité et de l’avenir du groupe de coordination nationale.

Le projet zones clés pour la biodiversité au Congo est mis en œuvre avec l’apport technique de la Wildlife conservation society (WCS). Ainsi, s’exprimant sur la protection de la biodiversité, Richard Malonga, directeur de WCS au Congo, a rappelé l’implication de l’organisation dont il représente dans la gestion des aires protégées, la gestion du parc national Nouabalé-Ndoki et la réserve communautaire du Lac Télé.

« Par le passé, la WCS a participé à la gestion et/ou à la création d’autres aires protégées au Congo. Les parcs Nouabalé-Ndoki en 1993, Ntokou-Pikounda en 2012 et  Ogoué-Leketi en 2018. Elle a apporté son expertise dans le processus des aires marines protégées de Loango et de Mvassa et l’extension du parc national Conkouati-Douli, dans la partie marine », a signifié Richard Malonga.

Au Congo, l’on compte actuellement dix-neuf sites approuvés comme zones clés pour la biodiversité. Afin d’encourager l’initiative du gouvernement en collaboration avec ses partenaires, la ministre Arlette Soudan-Nonault a indiqué: « Ces résultats obtenus marquent le début d’une nouvelle étape dans notre engagement en faveur de la préservation de la biodiversité. C’est pourquoi, nous devons continuer à travailler ensemble, à partager nos connaissances et à agir pour protéger notre environnement et les espèces qui s’y trouvent ».

Notons que l’atelier est financé par le Fonds Bezos pour la terre qui contribue à la lutte contre le changement climatique. Ce fonds a été mis en place par l’homme le plus riche du monde, Jeff Bezos, fondateur du géant du commerce en ligne Amazon, dénoncé pour son impact sur l’environnement.

Source : adiac

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La Ministre SOUDAN-NONAULT a reçu M Christophe Guilhou, Co-Facilitateur du partenariat pour les forêts du Bassin du Congo

Des échanges directs et importants ont eu lieu le 22 mars 2024 entre Madame la Ministre #Arlette SOUDAN-NONAULT et Monsieur Christophe Guilhou, Co-Facilitateur du partenariat pour les forêts du Bassin du Congo, dans le cadre de la préparation de la 20e réunion des parties de la facilitation sur les forêts du Bassin du Congo qui se tiendra à Kinshasa.

Cette rencontre a en outre permis de faire le point général sur les sujets liés à la préservation de l’environnement et la lutte contre les réchauffements climatiques portés par la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo. La Ministre SOUDAN-NONAULT a reçu Monsieur Christophe Guilhou, Co-Facilitateur du partenariat pour les forêts du Bassin du Congo

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Ouverture du 4e atelier du groupe national de coordination du projet zones clés pour la biodiversité

Ouvrant les travaux le 19 mars 2024 du 4eme atelier du groupe de coordination nationale du projet zones clés pour la biodiversité en République du Congo mis en œuvre  par  Wildlife Conservation Society (WCS), Madame #Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo a exhorté les parties prenantes à travailler conjointement tout en partageant mutuellement les connaissances et à agir ensemble pour protéger l’environnement et les espèces qui s’y trouvent.

Par ailleurs, Madame la Ministre a affirmé que 19 sites ont déjà été approuvés comme zones clés pour la biodiversité au Congo, mais plusieurs défis urgents sont encore à relever face à la perte de la biodiversité dû aux effets néfastes du changement climatique.

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La Ministre Soudan-Nonault a accordé une audience aux femmes de Mbama

Madame la Ministre, l’Elue de la circonscription de Mbama, #Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu le 19 mars 2024 à son cabinet de travail, 18 femmes en provenance de 27 villages et deux quartiers de sa circonscription électorale.

Ces femmes sont venues la réconforter de vive voix suite à la disparition de son père, le Vénérable Mwéne Jean-Pierre NONAULT, survenu en février 2024.

Touchée par cette marque d’affection, Madame la Ministre et Élue de Mbama a profité de cet instant de sororité pour leur partager les bonnes valeurs de leadership, d’éthique et de moralité qu’elle a acquise grâce aux orientations de son père et les a exhortés à contribuer efficacement à l’urbanisation et au développement de Mbama. Comme une bonne mère, cette rencontre ayant coïncidé avec le mois dit de la « Femme », Madame la Ministre a par la même occasion remis des pagnes à ces femmes vaillantes en guise de gratitude pour leur soutien multiforme pendant la période de deuil qu’elle a vécu.

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Loi portant gestion durable de l’environnement : 7 circulaires signées

Dans le cadre de l’application de la loi portant gestion durable de l’environnement nouvellement promulguée, sept(7) circulaires sont signées par Madame la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Arlette SOUDAN-NONAULT, notamment l’interdiction des nuisances sonores, la pollution de l’eau, l’atteinte contre la flore, les erosions dans les agglomérations et plusieurs autres domaines d’importance environnementales.

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Nuisances sonores

CIRCULAIRE N°0112 MEDDBC-CAB

Érosions hydriques dans les agglomérations

CIRCULAIRE N°0113 MEDDBC-CAB

Assainissement et inondation

CIRCULAIRE N°0114 MEDDBC-CAB

Interdiction de pollution amtosphérique

CIRCULAIRE N°0115 MEDDBC-CAB

Interdiction des atteintes contre la faune et la flore

CIRCULAIRE N°0116 MEDDBC-CAB

Interdiction de pollution des eaux

CIRCULAIRE N°0117 MEDDBC-CAB

Interdiction de circulation des véhicules polluants

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Environnement : un permis d’exploitation à Conkouati-Douli au menu d’une audience

La ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, a échangé, le 11 mars à Brazzaville, avec Claire Bodonyi, ambassadeur de France en République du Congo ainsi qu’avec Giacomo Durazzo, ambassadeur de l’Union européenne (UE), au sujet de l’aire protégée Conkouati-Douli ainsi que sur les notions de souveraineté d’un Etat dans le cadre de la protection de ses forêts.

« Nous avons évoqué un sujet délicat concernant le parc Conkouati-Douli. Un décret pris récemment nous a amenés à nous interroger sur un permis d’exploration qui avait été donné dans ce parc au milieu d’une zone réservée. L’équipe Europe et particulièrement la France, dans le cadre de la participation de l’Agence française de développement, a accompagné les engagements du Congo dans sa volonté de protéger ses forêts », a déclaré Claire Bodonyi, ambassadeur de France Congo, au sortiir de l’audience.

Avec la ministre de  l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, les deux personnalités ont longuement échangé sur des sujets difficiles et essentielsa-t-elle indiqué. Ces échanges vont devoir continuer puisque la solution n’a pas encore été identifiée« Que ce soit en équipe France ou en équipe Europe, nous sommes encore là pour travailler avec les partenaires congolais pour trouver des solutions assez différentes à ces problématiques », a commenté l’ambassadeur de France en République du Congo. 

Au cours de l’audience, a poursuivi la diplomate française face aux journalistes, la ministre a fait une présentation sur l’ambition, la mission et l’organisation du ministère. Une présentation qui, selon elle, a mis à jour un certain nombre de manquements et de besoins de formation, d’éducation, de structuration et de définition de stratégies.

« Nous sommes venus en tant que partenaires associés de longues dates de ce ministère absolument transversal et essentiel dans les problématiques que traverse notre planète. Il était important de pouvoir l’écouter en équipe avec l’ambassadeur de l’UE pour savoir comment nous pouvons intervenir en fonction des besoins de notre partenaire », a conclu Claire Bodonyi.

Source : Adiac