PNUD Congo : Signature du Plan de Travail Annuel 2019 avec le Ministère du Tourisme et de l’Environnement du Congo

Dans le cadre du partenariat entre le Ministère du Tourisme et de l’Environnement et le Programme des Nations Unies pour le Développement, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT avec Madame Emma NGOUAN ANOH, Représentante du PNUD au Congo, ont signé le Plan de Travail Annuel 2019 (PTA).
Ce plan de travail 2019 permettra aux deux parties de fixer les actions prioritaires dans les domaines du Tourisme, de l’Environnement, du Développement Durable et des Loisirs qui seront menées cette année.

Osiane 2019 : Sous le Patronage de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT,Ministre du Tourisme et de l’Environnement, le Pnud et l’association Pratic lancent un laboratoire d’accélérateur d’innovations

Le programme des Nations unies pour le développement (Pnud) et l’association Pratic, organisatrice du salon Osiane, ont signé, le 17 avril à Brazzaville, un mémorandum d’accord visant à accompagner les start-up et incubateurs congolais à travers un laboratoire d’accélérateur d’innovations, afin de soutenir le pays à atteindre les Objectifs de développement durable (ODD). 

L’accord a été signé par la représentante adjointe du Pnud, Emma Ngouan-Anoh, et le président de Pratic, Luc Missidimbazi, en présence de la marraine de l’initiative, la ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan-Nonault. L’acte a été posé en marge de la troisième édition du Salon international des technologies de l’information et de l’innovation (Osiane) qui s’achève ce 18 avril, au Palais des congrès.

À travers ce partenariat gagnant-gagnant, le Pnud et Pratic signent une dynamique visant à soutenir la réalisation des ODD, dont l’innovation et les nouvelles technologies constituent un accélérateur.

Pour le Pnud, il s’agit d’une « réaffirmation de son engagement et la place centrale qu’il accorde à l’innovation et aux nouvelles technologies dans la recherche de solutions audacieuses, pragmatiques et révolutionnaires aux défis de développement du pays ».

Cette agence onusienne a, en effet, construit l’un des plus vastes et intégrés réseaux de connaissances, d’apprentissage et d’échanges au monde à travers des laboratoires d’accélérateur d’innovations. « Ce réseau de laboratoires d’accélérateurs nationaux fait partie de l’objectif du Pnud consistant à connecter les connaissances et les solutions tout en investissant dans des approches novatrices et ambitieuses », a souligné Emma Ngouan-Anoh.

Le laboratoire d’innovations du Congo fait partie d’un réseau de soixante autres lancés cette année par le Pnud. Un réseau qui soutiendra le Pnud dans la recherche de solutions locales face aux défis actuels du Congo afin d’atteindre les ODD, d’ici à l’horizon 2030.

En nouant ce partenariat avec Pratic et dont les objectifs visent, entre autres, à faire connaître et valoriser le numérique à travers le monde grâce à un large réseau d’experts, d’entreprises et institutions, et à développer une coopération multiforme nationale et internationale, dans le domaine du numérique et l’innovation, le Pnud trouve un relais local dans l’atteinte de ces objectifs.

Plusieurs jeunes dirigeants des start-up ou postulants à l’innovation au travers du numérique, participant au salon Osiane, ont assisté à la signature de ce mémorandum. Une note de satisfaction pour ces derniers qui trouvent dans cet accord un nouveau créneau de valorisation de leurs initiatives.

Le laboratoire d’innovations lancé par le Pnud Congo a vocation, de manière plus claire, « à faire émerger au niveau local une intelligence collective pour tester de nouvelles approches, explorer des idées ambitieuses et novatrices qui inspireront des changements dans la manière d’appréhender les questions complexes de développement du Congo ».

La ministre Arlette Soudan-Nonault a, d’ailleurs, saisi l’opportunité pour rappeler aux jeunes qu’au centre des nouvelles technologies s’invitent les ODD. Soulignant l’importance de ce partenariat entre le Pnud et Pratic de concevoir  des challenges entrepreneuriaux visant à faire émerger des idées novatrices, la ministre a appelé les start-up à imaginer, d’ores et déjà, dans le cadre de son département, des « logiciels qui permettent une meilleure cartographie de sites touristiques au Congo afin de valoriser ce patrimoine, en intégrant la notion de développement durable ».

Le partenariat signé avec Pratic permettra, en outre, au Pnud d’accompagner et soutenir cinq innovations féminines afin de les guider à pleinement exprimer leur potentiel en vue de valoriser des idées nouvelles au profit du bien-être de la population.

Source : www.adiac-congo.com

SE. Klaus Peter Schick, Ambassadeur de la Chancellerie d’Allemagne au Congo reçu en audience par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement

Ce Mardi 16 avril 2019, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience Son Excellence Klaus Peter Schick, Ambassadeur de la Chancellerie d’Allemagne au Congo.

 

Au cours de cette audience, le diplomate allemand a transmis officiellement à Madame la Ministre l’Invitation relative à la participation du Congo à la conférence sur le Climat qui se tiendra le 22 mai en Allemagne.

Tourisme : Madame Arlette Soudan-nonault a reçu en audience Madame Karine Cecilia Arissani, en promotion de l’AONT au Congo brazzaville

Dans le cadre de la coopération entre Etats dans le domaine du Tourisme, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, a reçu en audience ce mardi 09 avril 2019, Madame Karine Cecilia ARISSANI, Directrice Générale de l’Agence Gabonaise de Développement et de promotion du Tourisme et de l’Hôtellerie (AGATOUR).

Cet entretien a permis à la délégation gabonaise de présenter à Madame la Ministre le projet de création d’une plateforme des agences et offices du tourisme des pays africains, projet pour lequel elle a sollicité l’adhésion de la République du Congo.

Le partage d’expérience entre l’Office de la Promotion de l’Industrie Touristique de la République du Congo (OPIT) et l’Agence Gabonaise de Développement et de promotion du Tourisme et de l’Hôtellerie (AGATOUR), a été également au menu de cette audience.

Congo/Operationnalisation du fonds bleu : l’étude de préfiguration lancée à Brazzaville

En prélude à la signature des contrats entre la Commission Climat du Bassin du Congo, le PNUD Maroc et le cabinet Ernst & Young le vendredi 05 avril 2019, il a été procédé au lancement de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo le jeudi 04 avril en présence des parties prenantes impliquées dans le projet.  

Etape cruciale dans le processus d’accélération de l’ opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, outil financier de la Commission Climat du bassin Du Congo,  le lancement de ladite étude marque l’aboutissement d’un long processus initié depuis le 1er Sommet Africain de l’Action, organisé en novembre 2016, en marge de la COP22 de Marrakech, à l’initiative de sa Majesté le Roi Mohamed VI.  Une initiative à laquelle s’en sont suivies d’autres  étapes importantes pour aboutir à ce lancement de l’étude de préfiguration conduite par le Cabinet Ernst & Young, sélectionné à l’issue d’un processus international transparent sous la supervision du PNUD New Yorkl’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Deux Lots composent cette étude préfiguration qui doit définir au fond la feuille de route d’exécution de mise en œuvre de ce qui doit conditionner demain le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo . « Le lot N°1 est consacré à l’élaboration du Plan d’Investissement des programmes sectoriels de l’économie bleue adoptés par les Ministres en lien avec les Contributions Déterminées Nationales (CDN) présentées par les Etats membres des deux Communautés Economiques Régionales à la COP 21 organisée à Paris en décembre 2015. Le Lot N°2 est consacré à l’élaboration de tous les outils (politiques, diplomatiques, techniques, juridiques) d’un véhicule financier destiné à doter le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo d’une gouvernance aux normes mondiales au service des attentes des Etats, des Entreprises, des Partenaires Techniques et Financiers et des populations », a énuméré Arlette SOUDAN NONAUTL, ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo.

L’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo qui est un outil financier de la Commission Climat du Bassin du Congo  devrait donner une  impulsion positive porteuse de nouvelles perspectives prometteuses pour ledit bassin, pour la région et pour tout le continent africain.

Choisi pour accomplir cette mise en œuvre, le Cabinet  Ernst & Young va ainsi accompagner les pays qui composent ce bassin dans la transformation de l’économie en une économie bac carbone respectueuse de l’environnement. Cette économie, a indiqué Patrice Le Feu,   Expert en environnement, Représentant du Cabinet Ernst & Young  « … permettra d’atteindre les objectifs liés à l’accord de Paris et en même temps maintenir cette biodiversité fondamentale ». Se réjouissant du choix porté sur leur cabinet, l’expert a réaffirmé la volonté de son cabinet de tout faire pour mener à bien ce grand projet.

« Nous allons apporter toute notre technicité (…) et donner de notre mieux pour  pouvoir mettre sur les rails ce gros projet qui doit servir l’ensemble de l’économie de la sous-région  et faire  figure de pilote pour établir ici, au sein de la sous-région du Bassin du Congo une économie fondée sur l’environnement, le climat sobre en carbone avec à la clé une volonté de créer de l’emploi, des ressources et de la richesse au profit des populations ».

La réussite de ce projet, a souligné la Représentante du PNUD « … est tributaire de la mobilisation et de la contribution de tous les acteurs publiques et privés, locaux et régionaux, nationaux et internationaux. Nous devons continuer de travailler ensemble, dans le même esprit de partenariat qui a prévalu à ce jour et qui nous réunit ici à Brazzaville aujourd’hui, afin de créer les conditions favorables à l’aboutissement de cette étude de préfiguration – une étape cruciale pour la concrétisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ».

A noter que quatre discours ont ponctué la cérémonie de lancement de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo parmi lesquels : le mot du Représentant du Cabinet Ernst & Young ; le discours du Représentant de la Communauté Economique Etats de l’Afrique Centrale ; le mot de la Représentante du PNUD et l’allocution d’ouverture de la ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Source: www.groupecongomedias.com

Afrique/Climat : les choses se précisent concernant l’operationnalisation du fonds bleu du bassin du Congo

Une réunion deux jours sans grand bruit mais dont les résultats sont parmi les plus importantes du processus d’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Organisé avec l’appui du Centre des Compétences en Changement Climatique Maroc (4C Maroc) , la réunion consacrée à l’étude de préfiguration de ce Fonds était inscrite dans le cadre de la mise en œuvre de la Déclaration des Chefs d’Etat de la Commission Climat du Bassin du Congo signée le 29 avril 2018 à Brazzaville. Elle a, de façon très concrète, jeté les bases à travers des recommandations, de l’existence du Fonds qui attends désormais des fonds des contributeurs. Arlette SOUADAN Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo s’est dit comblée à la clôture de la réunion dont la cerise sur le gâteau a été la signature des contrats entre la Commission Climat du Bassin du Congo, le PNUD Maroc et le Cabinet Ernst & Young.

Dans son allocution à la cérémonie de clôture, Arlette SOUDAN NONAULT, ministre du tourisme et de l’environnement de la République du Congo et Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo s’est félicité des résultats auxquels sont parvenus les participants : « Le bilan satisfaisant de vos travaux est la résultante de la qualité du travail accompli, de la disponibilité et de la compétence de chacun d’entre vous. C’est dans ce contexte que vous avez pu formuler les recommandations à l’endroit du Cabinet allant dans le sens souhaité par les Etats et toutes les parties prenantes des Etats membres de la Commission Climat du Bassin du Congo, en vue de la mise en place d’un Fonds performant et d’une gouvernance aux standards internationaux ».

 

Par ailleurs la Coordinatrice Technique a assuré que l’institution dot elle a la charge « ne ménagera aucun effort pour mettre en œuvre les recommandations du présent atelier et poursuivre son travail de suivi », avant d’envoyer un message à l’endroit des partenaires : « Je saisis une fois de plus cette occasion pour solliciter nos partenaires afin qu’ils répondent aux besoins d’appui financier, afin de compléter les efforts déjà entamés par les Etats pour une mise en œuvre réussie des activités prévues dans la feuille de route adoptée par les Ministres en avril 2018 à Brazzaville ».

Des travaux assortis de recommandations

Mettre la main à la poche pour alimenter le Fonds et financer les différents projets. Des projets évoqués du reste dans les recommandations adoptées par les participants, et qui s’articulent autour de deux lots. Le lot Plan d’investissement et le lot véhicule financier. Il s’agit entre autres pour le premier lot de faire ressortir dans les analyses de maturité des projets les critères de développement durable, intégrer la compensation carbone dans les projets à sélectionner pour alimenter le pipeline de projets , faire valider par les membres de la CCBC, avant le début de la sélection des projets,la grille des critères de maturité et de bancabilité des projets proposée par le cabinet EY, prendre en compte les 24 programmes sectoriels de l’économie bleue adoptés par les Ministres et les CDN des pays. Pour le lot en rapport avec le véhicule financier les recommandation se concentrent sur l’implication des analystes financiers des organisations sous-régionales ou régionales d’Afrique et les Ministères en charge des finances des pays membres de la CCBC dans le processus de définition du véhicule financier; la prise en compte les projets présentant un caractère sous-régional; le partage des questionnaires d’enquête préalablement avec les parties prenantes pour un enrichissement éventuel et approbation ou encore la mise’ en place d’un mécanisme de coopération entre le Fonds Bleu du Bassin du Congo et les principaux instruments et acteurs financiers régionaux et internationaux pouvant intervenir dans la région.

Photo : Séance de signature du contrat entre entre la Commission Climat du Bassin du Congo, le PNUD Maroc et le Cabinet Ernst & Young.

Source: www.groupecongomedias.com

Climat/F2BC : le Fonds bleu entame le dernier virage de son opérationnalisation

Mme Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’Environnement du Congo a ouvert l’atelier de lancement de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, ce 4 avril 2019 à Brazzaville, prélude à la cérémonie de signature des contrats entre la Commission Climat du Bassin du Congo, le PNUD Maroc et le Cabinet Ernst & Young qui interviendra ce 5 avril courant.

Après de création le 16 novembre 2016 à Marrakech, en marge de la COP22, par les Chefs d’Etat et de Gouvernement Africains à l’initiative de Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc, des trois Commissions pour concilier la lutte contre les changements climatiques et le développement économique pour une émergence de l’Afrique, et un an après la tenue de l’atelier  de validation des Termes de Référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, à Rabat, le 12 mars 2018, Brazzaville abrite l’atelier de lancement de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, prélude à la cérémonie de signature des contrats entre la Commission Climat du Bassin du Congo, le PNUD Maroc et le Cabinet Ernst & Young.

Cet atelier marque une étape importante dans le processus d’accélération de l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, outil financier de la Commission Climat du Bassin du Congo. Pour Arlette Soudan-Nonault, ministre du tourisme et de l’environnement, le Fonds bleu « destiné à financer le développement et la promotion de l’économie bleue, est un outil stratégique pour la diversification de l’économie actuelle des dits Etats, ainsi que la création d’emplois et l’amélioration des conditions de vie des populations des Etats membres des deux Communautés Economiques Régionales. »

A noter que le Cabinet Ernst & Young a été sélectionné à l’issue d’un processus international transparent sous la supervision du PNUD New York, conduira cette étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo qui est constitué de deux Lots, à savoir : le lot N°1 consacré à l’élaboration du Plan d’Investissement des programmes sectoriels de l’économie bleue adoptés par les Ministres en lien avec les Contributions Déterminées Nationales (CDN) présentées par les Etats membres des deux Communautés Economiques Régionales à la COP 21 organisée à Paris en décembre 2015.

Ensuite, le second Lot consacré à l’élaboration de tous les outils (politiques, diplomatiques, techniques, juridiques) d’un véhicule financier destiné à doter le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo d’une gouvernance aux normes mondiales au service des attentes des Etats, des Entreprises, des Partenaires Techniques et Financiers et des populations.

« Pour y parvenir, la Commission Climat du Bassin du Congo va assurer la coordination de toutes les initiatives existantes et en cours concernant, entre autres, la finance climatique représentée par le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, dont la zone géographique recouvre les Etats membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale et ceux de la Communauté de l’Afrique de l’Est. » à déclaré Arlette Soudan-Nonault.

Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’environnement du Congo, Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC), a remercié au premier plan, le président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso, pour son « engagement à mettre en place le Fonds bleu, cet outil financier de la Commission Climat pour le Bassin du Congo. »

La Coordonnatrice technique de la CCBC a, au nom du président Denis Sassou N’Guesso, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo, réaffirmé l’engagement et la détermination de son pays, la République du Congo, à impulser le processus d’accélération de ladite Commission et de son outil financier : le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Il sied de rappeler que la cérémonie d’ouverture a connu aussi les allocutions du représentant du Cabinet Ernest& Young, de Mme Martine Terrere, Représentante résidente du PNUD-Maroc, du Docteur Honoré Tabouna de la CEEAC et de Mme Rajae Chafil, Directrice du Centre des Compétences pour les Changements Climatiques (4C-Maroc). Dans leurs messages, tous ont loué les efforts consentis par madame la ministre et son dynamisme afin de mobiliser les différents partenaires pour donner un push pour la concrétisation de cette étude avec la désignation, après l’appel d’offres du Cabinet Ernest& Young.

A titre de rappel, la journée du 5 avril sera consacrée à la cérémonie de signature des contrats entre la Commission Climat du Bassin du Congo, le PNUD Maroc et le Cabinet Ernst & Young.

 

 

Source : www.afriquenvironnementplus.com

Adoption des projets de loi portant ratification de la Convention de Minamata et adhésion de la République du Congo à l’Alliance Solaire Internationale

Devant les honorables députés réunis en session plénière le 05 avril 2019, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’environnement, a défendu les projets de loi portant ratification de la Convention de Minamata et le projet de loi portant adhésion de la République du Congo à l’Alliance Solaire Internationale.
Convaincus par la pertinence des informations qui ont été mises à leur disposition, les membres de la Chambre basse du Parlement ont adopté ces projets de loi.

Entretien entre Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement et Mr François de Rugy, Ministre d’État, Ministre de la Transition Écologique et de la Solidarité de la République Française

Ce lundi 01 avril 2019, à Paris, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a eu un long entretien avec son homologue le Ministre d’État, Ministre de la Transition Écologique et de la Solidarité de la République Française, François de Rugy.

 

 

Le secteur environnement climat est l’un des trois secteurs prioritaire d’intervention, avec l’enseignement supérieur – recherche et la santé, retenus par les présidents Denis Sassou Nguesso et Marin, en marge du dernier sommet de la Francophonie d’ Erevan en octobre 2018.

Au cours de cet entretien les deux ministres ont examiné la feuille de route pour une coopération renforcée dans le secteur de l’environnement et du climat, ainsi que l’opérationnalisation de la Commission Climat du Bassin du Congo, et de son instrument financier le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. La gestion durable des tourbières de la Cuvette Centrale de la République du Congo a également été abordée.

La Ministre du Tourisme et de l’Environnement a transmis à son homologue une invitation à se rendre en visite de travail à Brazzaville, ce que ce dernier a volontiers accepté.