Biodiversité : Inauguration de la plaque signalétique du parc national de Nouabalé Ndoki

L’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), à travers sa représentation en République du Congo, avec l’appui des Ministères du Tourisme et de l’Environnement, de la Culture et des Arts, de l’Economie Forestière et des Affaires Foncières et du Domaine Public Chargé des Relations avec le Parlement, a mis en œuvre le projet d’édification d’une stèle caractérisant le parc National de Nouabalé Ndoki.

C’est Dans le but de protéger la biodiversité que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, en collaboration avec Monsieur le Ministre Dieudonné MOYONGO, et l’UNESCO, a inauguré le 31 janvier 2020 la plaque signalétique du parc national de Nouabalé Ndoki, situé à Bomassa dans le département de la Sangha.

Rappelons que le parc national de Nouabalé Ndoki est une aire protégée de la République du Congo situé dans le nord du pays, à la frontière avec la République Centrafricaine. Il fait partie du Trinational de la Sangha avec les parcs de Lobéké au Cameroun et le complexe d’aires protégées de Dzanga-Sangha en République Centrafricaine.

Conservation de la biodiversité : le parc national Nouabalé Ndoki doté d’une plaque signalétique

Dans la perspective de renforcer les actions idoines visant la conservation de la biodiversité et la préservation du capital naturel, la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, en collaboration avec celui de la Culture et des Arts,Dieudonné Moyongo, et l’Unesco, a inauguré le 31 janvier, la stèle du parc national Nouabalé Ndoki, situé dans la localité de Kabo, dans le département de la Sangha.

Dénommé tri national de la Sangha, ce parc qui vient d’être doté d’une plaque signalétique de haute qualité est un complexe transfrontalier composé des parcs nationaux Nouabalé Ndoki en République du Congo, Lobeké au Cameroun et Dzanga-Ndoki en République centrafricaine. Il est inscrit depuis 2012 sur la liste du patrimoine culturel et naturel mondial de l’Unesco. Cette reconnaissance de la communauté des nations épouse les efforts des trois pays dans la conservation de la biodiversité et la préservation du capital naturel tri national. Il s’étend sur une superficie de sept-cent quarante et six mille trois cent neuf hectares.

En effet, cette espace naturelle abrite un large spectre de forêts humides riches en espèces dont certains sont en danger d’extinction. Selon les initiateurs du projet, son importance est liée au fait qu’il constitue le modèle de coopération internationale et est le tout premier site du patrimoine mondial à être inscrit au nom des trois Etats.

Intervenant au nom du représentant de l’Unesco au Congo, Richard Bouka a reconnu que cette initiative de doter ce parc d’une stèle est très importante, car elle permet de positionner les trois pays concernés comme vecteur de la conservation de la biodiversité mondiale.

Faisant une rétrospection sur l’historique de ce projet, le responsable de l’Unesco a encore signifié que c’est depuis 2002 que la commission de l’Union européenne en partenariat avec l’Unesco appuie les pays de l’Afrique centrale, notamment le Cameroun, le Gabon, le Congo et la RCA dans la politique de préservation de leurs patrimoines.

« La première phase de ce projet qui avait pris fin en mars 2003 a permis l’inscription du site de la Sangha dans la liste du patrimoine mondial en juillet 2012.

L’inscription de ce site transfrontalier sur la liste indicative du Congo a été faite en juin 2008. Et, quatre ans après il est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité, plus précisément en 2012 », a ajouté, le responsable de l’Unesco. Il précise que la deuxième phase de ce projet qui a démarré en juillet 2016 et financé par l’UE consiste à intégrer aussi le parc national d’Odzala Kokoua dans la liste du patrimoine mondial afin qu’il soit parmi les mille quatre-vingt-douze biens constituant ce patrimoine. Ce qui permettra d’améliorer la présence de la zone Afrique sur cette liste car, elle ne représente que 9,5%.

La conservation de la biodiversité, un facteur clé de lutte contre le changement climatique

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, a rappelé que la conservation ainsi que la préservation de la biodiversité et de nos sites naturels est l’un des facteurs clés de lutte contre le changement climatique qui devient un problème réel et mondial.

« Les problèmes d’écologie, d’environnement et du changement climatique sont des questions qui sont réelles. Ce qui justifie le bien-fondé et la nécessité de poser cette plaque signalétique au parc Nouabalé Ndoki. Elle met en lumière les questions de la biodiversité au centre. De même, elle attire l’attention des utilisateurs de la flore et de la faune. Nous devrons impérativement conserver ce magnifique patrimoine. Pour ce faire, il faut l’implication de tous. Car, en le préservant, nous le faisons pour l’intérêt de la planète », a déclaré la ministre avant d’appeler les populations à plus de vigilance d’autant plus qu’elles ne vivent  que de la cueillette.

Source: www.adiac-congo.com

Environnement : Célébration de la Journée Mondiale des Zones Humides

Cliquez ici, pour télécharger l’allocution de Madame Arlette Soudan-Nonault, à l’occasion de ladite célébration

Chers Compatriotes,

Mesdames et Messieurs,

Le 02 février de chaque année, la communauté internationale célèbre la journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature en 1971, dans la ville Iranienne de Ramsar, de la Convention relative.

Pour cette année, le thème choisi est « zones humides et biodiversité ».

Ce thème vient à juste titre nous rappeler à quel point les zones humides sont, non seulement un sanctuaire pour la biodiversité, mais aussi essentielles à la vie des communautés.

En effet, les zones humides qui ne représentent que 6% des terres émergées, soit environ 778 millions d’hectares, sont parmi les écosystèmes les plus riches et les plus diversifiés qui soient. Elles sont vitales pour la survie de l’humanité et figurent parmi les milieux les plus productifs de la planète.Berceau de la diversité biologique, elles fournissent l’eau et les éléments nutritifs dont d’innombrables espèces de plantes et d’animaux dépendent pour leur survie.

Malheureusement, ces milieux humides sont de plus en plus menacés à l’échelle mondiale, du fait des activités humaines.

Au cours des 50 dernières années, la planète a perdu 50% de ces zones et cette disparition, qui est 3 fois plus rapide que la déforestation, a des conséquences inquiétantes non seulement sur les populations qui en dépendent mais aussi sur les équilibres écologiques et climatiques mondiaux.

Mesdames et Messieurs,

A l’heure où les changements climatiques constituent une menace majeure pour l’humanité toute entière, rappelons-nous que les zones humides séquestrent 30% du carbone terrestre. Elles sont donc de véritable puits de carbone que nous devons à tout prix préserver si nous voulons atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sur le Climat.

La préservation et la gestion durable des zones humides s’imposent par conséquent comme une nécessité mais aussi comme une responsabilité face aux générations présentes et futures.

Notre pays, qui a ratifié la Convention de Ramsar en 1998, a inscrit à ce jour 14 sites qui couvrent une superficie totale de près de 14 millions d’hectares au titre de cette Convention.

Parmi les zones humides les plus emblématiques que compte notre pays figurent les mangroves de la zone côtière et les tourbières du Lac Télé.

Si nos tourbières demeurent à ce jour bien préservées, nos mangroves par contre sont sujettes à différentes menaces inhérentes à nos activités.

Notre pays a déjà en 30 ans perdu 60% de ses mangroves avec des incidences sur la ressource halieutique, car ces marais maritimes sont des lieux de reproduction des poissons. Cette perte contribue également au réchauffement climatique, les mangroves étant des écosystèmes à fort capacité de séquestration de carbone.

Mesdames et Messieurs,

Notre conscience collective est donc interpellée face aux enjeux de la préservation des zones humides. Nous en sommes tous à la fois les acteurs et les responsables.

Pour le Gouvernement, il s’agit non seulement d’initier des actions de grande envergure pour protéger et gérer durablement ces écosystèmes, mais aussi de créer les conditions d’instauration d’un cercle vertueux qui permettrait de les valoriser, tout en les conservant.

C’est ainsi que notre pays a lancé avec l’appui de ONU Environnement, un projet de création d’une aire marine protégée dans la Baie de Loango dans le Département du Kouilou. Cette aire marine protégée devrait concilier préservation de la biodiversité et développement des activités écotouristiques.

Dans la même optique, nous avons au cours de ce mois, toujours avec l’appui de ONU Environnement, lancé la phase préparatoire du projet « Conservation intégrée à base communautaire des écosystèmes des tourbières et promotion de l’écotourisme dans les paysages du Lac Télé ».

A terme, ce projet permettra de concilier avec l’implication des communautés locales, la préservation des tourbières de la zone du Lac Télé et le développement de l’écotourisme.

En ce qui concerne les mangroves, notre pays a élaboré avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement, une stratégie et un plan d’action afin de les restaurer et de les protéger.

Mesdames et Messieurs,

Le temps de l’action, c’est maintenant. Nous avons besoin des zones humides si nous voulons perpétuer le cycle de vie sur terre. Les défis sont colossaux. Ils sont d’ordre social, sociétal, économique, environnemental et institutionnel.

Il nous faut préserver nos zones humides afin de maintenir les équilibres écologiques et climatiques dans notre environnement.

Nous devons donc aller vers une transformation qualitative de nos modes de vie et de nos économies pour atténuer la pression qui s’exerce sur ces zones fragiles.

Ainsi, des écosystèmes sains, résilients, fonctionnels et diversifiés permettront le développement de solutions au bénéfice de nos sociétés et de la conservation de la biodiversité.

Je vous remercie.

Arlette SOUDAN-NONAULT.

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT reçoit Monsieur SERHAN A. YIĞIT, Ambassadeur de la République de Turquie au Congo

Les relations entre la République du Congo et la République de Turquie sont au beau fixe, particulièrement depuis la visite du président de la République, chef de l’Etat, son Excellence Monsieur Denis SASSOU NGUESSO en Turquie, en Novembre 2012.

Depuis lors les deux Etats entretienne de fructueux rapports et ceci dans plusieurs domaines, dont celui du Tourisme. On notera ainsi :

  • La signature d’un Mémorandum d’Entente dans le domaine du Tourisme, à Brazzaville le 14 juin 2013 ;
  • Le projet d’Accord de coopération dans le domaine du Tourisme ;
  • Le Protocole d’Entente en matière de coopération dans le domaine Tourisme en phase de conclusion.

C’est dans ce contexte que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience Monsieur SERHAN A. YIĞIT Ambassadeur de la République de Turquie au Congo ce 28 janvier 2020 à son cabinet de travail.

ENVIRONNEMENT / NON CLASSÉ LES PORTEURS DU FONDS BLEU DU BASSIN DU CONGO, FINALISENT LE VÉHICULE FINANCIER.

La Commission climat du Bassin du Congo composée par le PNUD le Maroc et le Cabinet Ernst & Young, avaient signé vendredi 5 avril 2019 à Brazzaville, un contrat d’entente pour le fonctionnement du Fonds bleu.

 

Source : labreveonline.com

Dans le cadre de cette signature entre la CCBC, les partenaires techniques et financiers, il était prévu entre autres, la présentation sur les lots 1 et 2 : le plan d’investissement et le véhicule financier .

A cet effet, les mêmes acteurs du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, se sont réunis ce 27 janvier 2020, au cours de la troisième réunion du Comité de pilotage de l’étude de préfiguration du dit Fonds. Dans l’optique de :

Valider un véhicule financier destiné à doter le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo d’une gouvernance aux normes mondiales au service des attentes des Etats, des Entreprises, des Partenaires Techniques et Financiers et des populations et la validation des projets identifiés par les Etats à travers le deuxième rapport intermédiaire structuré autour du pipeline de projets du Fonds bleu qui comptabilise à ce jour plus de 190 projets issus des 24 programmes sectoriels qui vont permettre la capitalisation sur les 10 ans avec un plan d’investissement.
Diop Maleye, chef du bureau PNUD, en encourageant les acteurs, a réitéré l’accompagnement du Pnud, dans la mobilisation de son réseau d’experts afin de réussir cette importante idée.
Du côté de Chafil Rajae, Directrice du centre de changement climatique 4C Maroc » Nous sommes ici, pour finaliser le contour du véhicule financier qui portera le Fonds bleu. Bien que les résultats de la Cop 25 à Madrid tenu en décembre 2019, soient déplorables, mais, elle avait abouti à une étape très importante pour la présentation de l’état d’avancement de notre étude aux bailleurs et partenaires qui attendent avec impatience la mise en oeuvre de ce Fonds ». La Directrice a promis au Congo, l’exécution des ateliers de renforcement de capacité sur le domaine du changement climatique d’ici la fin du mois de février.

Le comité de pilotage, s’agit concrètement de réaliser une « campagne de sensibilisation et d’information » par des réunions publiques, des ateliers participatifs et des enquêtes auprès d’acteurs du Fonds bleu pour le Bassin du Congo. Son rôle consiste à orienter l’action, décider les choix stratégiques. On pourrait dire qu’il s’apparente à un conseil d’administration de la dynamique.

Coordonner par Arlette Soudan Nonault, ministre de l’environnement et coordinatrice de la Commission du climat du Bassin du Congo, est revenue sur la quintessence de cette réunion : il s’agit de : « valider les dernières versions du pipeline des projets et du véhicule financier qui seront soumis à l’approbation des Ministres lors de la réunion de restitution qui se tiendra à la fin du mois de février ». Vu  » l’urgence de disposer dans nos sous régions d’un outil financier, en mesure de concrétiser notre légitime aspiration à réduire notre vulnérabilité face aux résultats mitigés auxquels nous sommes parvenus à la Cop 25″, a – t – elle conclu.

Alors, avec tous ses efforts, nous osons croire que la Déclaration faite en avril 2018 par les Chefs d’États qui stipule :  » doter la Commission climat du Bassin du Congo d’un budget lui permettant d’accomplir ses missions ; agir sans délai, en soutien aux deux déclarations de Brazzaville pour l’opérationnalisation et la promotion du Fonds bleu pour le Bassin du Congo comme des outils financiers de la Commission et apporter notre appui total à la mise en oeuvre de la feuille de route 2018 – 2019 « ,etc, se voit galopper.

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience M. Jing GUO, Directeur de la Société de Recherche Minière (SOREMI).

Le 28 janvier 2020 à son cabinet de travail, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience le Directeur de la Société de Recherche Minière (SOREMI), M. Jing GUO.

La SOREMI  est une filiale de China National Gold Group Corporation, une entreprise chinoise de prospection minière, développement et commercialisation des ressources. Elle exploite des gisements de polymétaux et une usine de cathodes de cuivra à Bandza, dans la Bouenza. Suite à sa descente sur le site en juillet 2019, au cours de laquelle elle avait pointé l’absence d’étude d’impact environnemental et divers manquements, la Ministre s’est enquise auprès du DG de la SOREMI quant aux mesures qui ont été prises pour remédier à cette situation.

Environnement : 3ème Comité de Pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo

Après la tenue du premier et du deuxième Comité de pilotage qui ont permis, de valider le rapport d’initialisation de l’étude de préfiguration et par la suite les premières versions du pipeline des projets pour le lot 1, du véhicule financier et de son schéma de gouvernance pour le lot 2,

S’est ouvert ce lundi 27 janvier 2020, le troisième et dernier Comité de Pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, sous la présidence de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo.

Madame la Ministre a souligné qu’il s’agira en définitive, au cours de cette édition, de valider les dernières versions du pipeline des projets et du véhicule financier qui seront soumis à l’approbation des Ministres lors de la réunion de restitution qui se tiendra à la fin du mois de février.

La Ministre a aussi rappelé que ce troisième et dernier Comité de pilotage représente une étape essentielle dans la finalisation de cette étude.

Environnement : Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu en audience les représentants du Secrétariat du CAFI.

Dans le cadre de la planification pour la mise en œuvre de la lettre d’Intention signée avec l’Initiative pour les Forêts d’Afrique Centrale, une mission du Secrétariat de cette Initiative a séjourné à Brazzaville du 13 au 17 janvier 2020 en vue d’échanger avec les différentes entités concernées par la lettre d’intention.

Les représentants du Secrétariat du CAFI ont été reçus le 16 janvier 2020 par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Chargée du Développement Durable. Les échanges ont porté essentiellement sur les documents qui ont fait l’objet d’une réunion de la task force réunie au siège du PNUD le 7 janvier 2020.

Madame Arlette SOUDAN-NONAULT à la Direction Générale du Tourisme et de l’Hôtellerie (DGTH)

Le Mercredi 22 janvier 2020, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement chargée du Développement Durable, a effectué une descente à la Direction Générale du Tourisme et de l’Hôtellerie (DGTH) sise au 1er et 2ème étage de l’immeuble 5 Février, centre-ville Brazzaville.

Madame la Ministre a profité de cette occasion pour rappeler, l’obligation de tout fonctionnaire d’être présent à son poste de travail. Par ailleurs, en ce qui concerne l’environnement de travail, la Ministre  s’est félicitée du cadre dans lequel évoluent désormais les  cadres et agents de la DGTH.

Convention de Bamako : Brazzaville abritera du 12 au 14 Février 2020 la troisième session de la conférence des parties.

Conformément à la décision 2/3 de la 2ème conférence des parties à la convention de Bamako sur l’interdiction de l’importation en Afrique et le contrôle des mouvements trans-frontières et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique, tenue à Abidjan en Côte d’Ivoire en Février 2018, Brazzaville abritera du 12 au 14 Février 2020 la troisième session de la conférence des parties (COP3)

C’est dans ce contexte que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Chargée du Développement Durable a reçu le mardi 21 janvier 2020 en audience le Professeur Bary ABDOURAMAN, Secrétaire Exécutif de la Convention de Bamako.