Opportunités-CDN Congo : Recrutement de trois (03) Consultants

Dans le cadre de l’initiative « Climate Promise », ou Promesse Climatique, nous recherchons trois consultants pour coordonner le processus de révision de la CDN du Congo et veiller à ce que les objectifs de la Promesse Climatique soient atteints.

Description des missions :

1- Consultant(e) National(e) Chargé(e) de la Coordination de la révision de la Contribution Déterminée Nationale (CDN) de la République du Congo.

2- Consultant International chargé de la révision de la section relative à l’adaptation aux changements climatiques dans la Contribution Déterminée au niveau Nationale (CDN) de la République du Congo.

3- Consultant International chargé d’aider à la révision la Contribution Déterminée Nationale (CDN) en matière d’atténuation des mesures pour lutter contre les effets du Changement climatique.

Durée des missions : 4 mois.

Les termes de référence de la mission sont disponibles à travers le lien suivant :

Mission 1 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93625

Date limite : 15 septembre 2020

Mission 2 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93626

Date limite : 21 septembre 2020

Mission 3 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93627

Date limite : 15 septembre 2020

Les propositions doivent être soumises en ligne.

Toute demande de clarification devra se faire par écrit. L’unité chargée des achats répondra par écrit ou par courrier électronique standard et des copies de cette réponse seront envoyées à tous les candidats en intégrant les explications faisant suite à la demande de clarification faite sans que la source ne soit précise.

 

Les candidatures féminines sont vivement encouragées.

                                                                                                           

 Brazzaville, le 31 août 2020

 

                                                                                                 

La Ministre SOUDAN-NONAULT, a fait au nom du PCT, une évocation en mémoire du Professeur Pascal LISSOUBA, ancien Chef de l’Etat Congolais

Après la messe à la Basilique Sainte Anne, en présence des membres de sa famille politique et biologique, ainsi que des représentants des institutions et des partis politique, une cérémonie d’hommage a eu lieu au Palais des congrès dans la salle des banquets, où la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a fait au nom du PCT, une évocation en mémoire de l’illustre disparu, l’ancien Chef de l’Etat Congolais, le professeur Pascal LISSOUBA.

Retrouvez ici l’allocution de la Madame Arlette Soudan-Nonault, membre du bureau politique du PCT, à l’occasion de l’inhumation provisoire du Président Pascal Lissouba

 

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Hommage à l’ancien Chef de l’Etat Congolais, le professeur Pascal LISSOUBA : Madame SOUDAN-NONAULT et plusieurs membres du Gouvernement à la Messe en sa mémoire

Une semaine après son décès, le 24 août dernier, l’ancien Chef de l’Etat Congolais, le professeur Pascal LISSOUBA, Président fondateur de l’UPADS, principal parti de l’opposition congolaise, qui a dirigé le Congo de 1992 à 1997, a été inhumé provisoirement ce 31 août 2020 à Perpignan en France. Plusieurs cérémonie d’hommage ont été organisées en sa mémoire.
A Brazzaville, une messe a été dite à la Basilique Sainte Anne, en présence des membres de sa famille politique et biologique, ainsi que des représentants des institutions et des partis politique.
Était présente à cette messe, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, membre du Bureau Politique du Parti Congolais du Travail, ancienne collaboratrice du Président LISSOUBA, ainsi que plusieurs membres du Gouvernement. Après la messe, une cérémonie d’hommage a eu lieu au Palais des congrès dans la salle des banquets, où la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a fait au nom du PCT, une évocation en mémoire de l’illustre disparu.
« Le deuil du professeur Pascal LISSOUBA ne doit pas être l’occasion de réécrire l’Histoire dans un sens ou dans un autre encore moins de raviver les braises du passé. Ce doit être au contraire le moment fondateur d’une démocratie qu’il incarnait avec beaucoup d’humilité et d’engagement », a indiqué la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, au cours de cette cérémonie d’hommage.

 

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COVID-19 : La Ministre Soudan-Nonault s’est entretenue avec l’ensemble des promoteurs et gérants des établissements d’hébergement

Troisième  pilier de la diversification de l’économie Congolaise dans le Plan National de Développement 2018-2022, le secteur du tourisme qui en est  à la phase d’implémentation de la Stratégie Nationale et du  Plan Directeur de Développement Durable du Tourisme en République du Congo adoptée  par le Gouvernement en 2017, est considérablement touché par la pandémie de la Covid 19.
L’activité Hôtelière, qui constitue le socle  de ce secteur d’avenir, a besoin d’une politique d’accompagnement efficace afin de faire preuve de résilience face à cette pandémie.
C’est dans ce cadre, que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, s’est entretenue ce samedi 29 août 2020, au Centre International de Conférence de Kintélé  avec l’ensemble des promoteurs et gérants des établissements d’hébergement pour aborder les questions relatives à la pandémie de la COVID-19, qui impacte fortement le secteur du tourisme en République du Congo.

ECOFAC6 : Appel à candidature pour les Bourses d’études financé par l’Union Européenne et le gouvernement allemand au cycle B de l’Ecole de faune de Garoua (EFG), Garoua, Cameroun Promotion 2020-2022

Contexte 

Les forêts du Bassin du Congo s‘étendent sur plus de 200 millions d’hectares et constituent le second massif forestier tropical du monde après le Bassin de l’Amazonie avec une biodiversité très riche et unique.

Plus de 65 millions d’habitants dépendent directement ou indirectement des ressources forestières. Les bois précieux tropicaux du Bassin du Congo font partie des exportations régionales les plus importantes. Ainsi, ces forêts avec leur riche biodiversité constituent pour les pays de l’Afrique Centrale un secteur économique essentiel : elles pourvoient des emplois ; elles sont une base importante pour l’exportation des produits des écosystèmes forestiers et génèrent de ce fait les devises et les recettes fiscales.

A côté de leur fonction traditionnelle qui consiste à assurer la subsistance à une immense population, les forêts du Bassin du Congo jouent un rôle important à l’échelle planétaire, celui de la conservation de la biodiversité et de la régulation du climat mondial.

Néanmoins, le manque de personnel qualitativement formé pour la conservation et la gestion durable de ces forêts et leur biodiversité, l’utilisation des méthodes qui ne favorisent pas une exploitation durable des forêts, l’abattage incontrôlé et très souvent illégal du bois, l’implantation des industries extractives, le braconnage massif, la poussée démographique, la pauvreté, l’absence de sources alternatives de revenus pour les populations rurales et la faible valorisation des ressources forestières sont les causes les plus importantes de la destruction et de la dégradation progressives des forêts ainsi que de la disparition de la biodiversité.

La formation s’avère un élément central pour toute action de développement durable et vu le rôle des forêts et de la biodiversité dans l’économie des pays du Bassin du Congo, un investissement dans le développement durable nécessite aussi un investissement dans la formation forestière et environnementale. Ainsi la formation forestière et environnementale étant au cœur de la gestion durable des forêts et de la biodiversité, le Réseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale en Afrique Centrale (RIFFEAC) créé en 2001 fédère et organise les institutions de formation et soutient la COMIFAC dans sa vision de gestion durable et concertée des ressources forestières de la sous-région pour le bien-être des populations, la conservation de la diversité biologique et la sauvegarde de l’environnement mondial. Le RIFFEAC a ainsi la charge de la mise en œuvre de l’axe transversal 1 du plan de convergence de la COMIFAC qui concerne la formation et le renforcement des capacités. La gestion des aires protégées est une tâche de plus en plus exigeante et diverse.

De nos jours, les directeurs, gestionnaires, le personnel et les intendants des aires protégées sont censés avoir des compétences, aptitudes, connaissances et qualités spécifiques entre autres en :

1. Planification, Gestion et Administration afin d’assurer une gouvernance et gestion efficaces, effectives et équitables

2. Gestion Appliquée des Aires Protégées afin d’appliquer des compétences techniques spécialisées à la gestion d’une aire protégée.

3. Compétences personnelles générales nécessaires pour travailler dans une aire protégée, mais aussi et surtout pour les cadres compétences personnelles avancées afin de pouvoir faire preuve d’aptitudes et de comportement exigés pour une performance et direction efficaces.

Cliquez ici, pour retrouver l’intégralité de l’appel à candidature

Congo – La justice condamne un tueur d’éléphants à 30 ans d’emprisonnement

Au Congo, Gérard Mombaza Mombembo, un braconnier tueur d’éléphants a été condamné à 30 ans de prison. Surnommé « le boucher de Nouabalé-Ndoki », l’homme de 35 ans a été reconnu coupable d’association de malfaiteurs, tentative de meurtre, abattage d’espèces protégées et chasse avec armes de guerre.

La justice de la République du Congo a condamné à 30 ans de prison Gérard Mombaza Mombembo, un braconnier spécialisé dans la chasse aux éléphants. La sentence a été prononcée par le tribunal de Ouesso, capitale de la région du Sangha.

Surnommé « le boucher de Nouabalé-Ndoki », le braconnier de 35 ans est connu pour ses actions criminelles dans le parc national de Nouabalé-Ndoki qui lui a donné son surnom. Il a été reconnu coupable d’association de malfaiteurs, tentative de meurtre, abattage d’espèces protégées et chasse avec armes de guerre.

Cette annonce intervient dans un contexte de renforcement de la lutte contre le braconnage, un fléau qui met en danger la biodiversité et le tourisme en Afrique centrale tout en contribuant à renforcer l’insécurité. En juillet, un groupe de criminels chinois spécialisés dans le braconnage avait été condamné à des peines allant jusqu’à 11 ans de prison par un tribunal du Malawi.

« Cet arrêt est une grande première pour la lutte contre le braconnage et le trafic illicite des produits de la faune. Cela ouvre des opportunités de criminaliser les actes de braconnage et donc de punir encore plus sévèrement les braconniers », a déclaré Richard Malonga, directeur de l’ONG WCS Congo associée à la gestion du parc de Nouabalé-Ndoki.

D’après une étude intitulée « Great Elephant Census » publiée en 2016, la population des éléphants d’Afrique a chuté de 30% en seulement sept ans, entre 2007 et 2014, principalement à cause du braconnage.

Source : africactu.com

Conseil de Ministre : le projet de loi réglementant le secteur du tourisme en République du Congo porté par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT

Sous la Très Haute Autorité de son Excellence, Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, le Conseil des Ministres s’est réuni ce mardi 18 août 2020 par visioconférence.

Parmi les dossiers à l’ordre du jour : le projet de loi réglementant le secteur du tourisme en République du Congo porté par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Ce texte fondamental du tourisme, l’un des piliers de la diversification de notre économie, sera soumis au parlement pour adoption avant promulgation par le Chef de l’Etat.

Cliquez ici, pour retrouver le compte rendu dudit conseil des ministres

LA QUESTION DES TOURBIÈRES EST INSCRITE À LA PROCHAINE CONFÉRENCE DE LA COMIFAC

La ministre  du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan Nonault, a indiqué le 20 août à Brazzaville lors de la réunion extraordinaire des ministres de la Commission des forêts de l’Afrique centrale (COMIFAC), par visioconférence, que la question des tourbières inscrite dans le traité de Bonn sur la Commission Climat Bassin du Congo devait être inscrite lors de la prochaine conférence des Chefs d’État de la COMIFAC.

« Je sais que l’ordre du jour de cette réunion se focalise sur le recrutement des experts techniques permanents de la COMIFAC et le mandat du personnel statutaire de la COMIFAC. Mais je veux saisir cette occasion pour évoquer une question qui tient à cœur mon pays : la question des tourbières qui a été inscrite à Bonn dans le cadre de la commission climat du bassin du Congo. Il me semble inconcevable aujourd’hui de parler de forêt et d’environnement dans la COMIFAC sans évoquer les tourbières qui contribuent à l’équilibre des écosystèmes », a plaidé Arlette Soudan Nonault auprès de ses pairs ministres en charge des forêts et de l’environnement.

Le ministre de l’Environnement et du développement durable de la République démocratique du Congo (RDC), Claude Nyamungabo Bazibuhe, dont le pays partage avec la République du Congo les tourbières ainsi que l’ensemble des ministres des pays ayant participé à cette réunion ont unanimement pris la résolution de soumettre cette proposition à la conférence des chefs d’État de la COMIFAC prévue en novembre prochain.

Au sujet du recrutement des experts techniques permanents de la COMIFAC, les ministres de cette structure sous-régionale se sont accordés concernant les appels à candidatures pour les six postes qui tiendront compte de l’équilibre géographique.

Par ailleurs, le mandat des membres statutaires qui ne sera pas reconduit fera également l’objet de la même procédure à l’échéance du mois de février 2021 ; cela pour permettre à l’Angola de formaliser son adhésion en tant que prochain membre de la COMIFAC.

Les ministres membres de la COMIFAC ont enfin décidé de donner une marge aux différents pays, dont le Congo, qui ne sont pas en règle par rapport à leurs redevances statutaires de se mettre en règle avant février 2021.

La prochaine conférence des chefs d’État de la COMIFAC où seront soumises les décisions de cette réunion extraordinaire des ministres est prévue en novembre prochain en République démocratique du Congo
Source: voxtv

COVID-19 : Circulaire N°1440 sur la gestion des déchets dans les hôtels retenus pour héberger les passagers venant de l’étranger

Dans le cadre de la mise en œuvre du plan national de riposte à la COVID-19 et, dans le contexte de la reprise des vols réguliers internationaux vers le Congo, un certain nombre d’hôtels accueilleront, en collaboration avec le Ministère en Charge de la santé, des passagers en quarantaine.

La Ministre du Tourisme et de l’Environnement a pris la circulaire n°1440/MTE-CAB précisant les dispositions à prendre pour la gestion des déchets dans les hôtels retenus pour l’hébergement des passagers en provenance de l’étranger.

Retrouvez cette circulaire en cliquant ici

Protocole sanitaire de riposte contre la COVID-19 dans les établissements de Tourisme et de Loisirs

Dans le cadre de la riposte contre le Coronavirus (COVID-19), une série de mesures a été prise par le Gouvernement notamment la fermeture des établissements de tourisme et de loisirs. Cependant, le Gouvernement a procédé à une levée progressive de certaines restrictions qui autorisent la réouverture et le fonctionnement de certains de tourisme et des loisirs.

Cette reprise est assujettie aux mesures sanitaires tendant à limiter au maximum les contacts physiques dans les lieux publics afin de réduire le risque de contamination.

Retrouvez le protocole sanitaire en cliquant ici