Environnement : le forum mondial sur les paysages tenu par visioconférence

Organisé par le Programme des Nations unies pour l’environnement, le Forum mondial sur les paysages, qui s’est déroulé par visioconférence le 28 octobre, a connu la participation de la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, représentant la République du Congo.

Le  forum mondial sur les paysages,  a porté sur le thème : « Les tourbières : une superbe solution basée sur la nature, un foyer et un refuge pour une biodiversité unique et menacée ». La représentante du Congo à cette rencontre a présenté à ses interlocuteurs les caractéristiques des vastes tourbières du bassin du Congo, que partage la République avec son voisin la RDC. Indiquant toutefois que le thème de ce forum interpelle à plus d’un titre à l’heure où les solutions basées sur la nature ont été identifiées comme un moyen efficace pour lutter contre les changements climatiques dans la perspective de l’atteinte des objectifs de l’Accord de Paris sur le Climat. «… les tourbières de la Cuvette centrale du Bassin du Congo ont été mises en évidence grâce aux travaux de recherches du professeur Simon Lewis de l’Université de Leeds, dont les résultats ont été publiés dans la revue Nature en 2017 », a déclaré la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault.

Ces recherches, poursuit-elle, ont révélé l’existence dans le département de la Cuvette de tourbières s’étendant à ce jour sur 145 500 km2 et qui séquestrent près de 30 milliards de tonne de carbone. Ce chiffre représente environ 3 ans d’émission de CO2 de toute la planète. La découverte des tourbières au cœur du bassin du Congo, deuxième poumon écologique de la planète après l’Amazonie, place la République du Congo, devant un double défi, celui de participer activement à la préservation des 228 millions d’hectares des forêts du bassin, mais également à la gestion durable de cette véritable bombe à retardement que représentent ces tourbières.

« Il parait en effet aujourd’hui évident que nous pouvons sérieusement compromettre l’atteinte des objectifs de l’Accord de Paris sur le climat si cet énorme puits de carbone n’est pas géré de manière durable. La République du Congo a pris très tôt la mesure de cette responsabilité historique et s’est lancée dans plusieurs initiatives pour une gestion durable de cet écosystème particulier et fragile, qui abrite une biodiversité riche et variée », a-t-elle précisé.

Les initiatives de conservation et de préservation de cet écosystème fragile mises en place par le gouvernement congolais, sous l’égide du président de la République, Denis Sassou N’Guesso, ont été également abordées par la ministre coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo lors de sa communication. Avant de rappeler la tenue dans la capitale congolaise en mars 2018 de la troisième réunion des Partenaires de l’initiative mondiale sur les tourbières, à l’issue de laquelle a été signée « La déclaration de Brazzaville » entre la République du Congo, la République démocratique du Congo et l’Indonésie pour une gestion durable des tourbières…

La représentante du Congo à ce forum a rappelé aussi que la lutte contre les changements climatiques est un combat mondial qui ne se gagnera pas sans une gestion durable des tourbières, leur préservation faisant partie intégrante des solutions basées sur la nature. « C’est pourquoi nous avons convenu avec le Fonds Vert pour le climat, le Fonds mondial pour l’environnement et le Fonds Bleu pour le bassin du Congo, de syndiquer ces fonds pour gérer durablement nos tourbières. Cette annonce sera faite solennellement à l’occasion du One Planet Summit qui se tiendra le 11 janvier 2021 à Marseille en France… », a-t-elle déclaré, précisant que la catastrophe que pourrait engendrer leur destruction aurait pour la planète tout entière des conséquences incalculables.

Source : adiac-congo.com

La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a reçu en audience, Monsieur Ibrahima DABO Spécialiste programme, politique de l’énergie et planification stratégique de IFDD

A l’issue de l’entretien qu’ont eu Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, et Madame Louise MUSHIKIWABO, Secrétaire Générale de la Francophonie, il s’est tenu le 28 octobre 2020, une séance de travail entre les cadres du Ministère du Tourisme et de l’Environnement et Monsieur Ibrahima DABO, Spécialiste programme, politique de l’énergie et planification stratégique de l’Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD) .
C’est dans ce cadre, que la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a reçu en audience, ce 29 octobre 2020, Monsieur Ibrahima DABO, pour faire le point de cette séance de travail.
Au cours de cette audience, le cadre de l’IFDD a présenté à Madame la Ministre la programmation à l’horizon 2021 de cette institution qui met un accent particulier sur le Bassin du Congo et son instrument financier le Fonds Bleu, conformément à l’entente de partenariat signée entre la Commission Climat du Bassin du Congo et l’Institut de la Francophonie pour le Développement Durable en 2018.

 

Mme SOUDAN-NONAULT a participé à la réunion de la coordination humanitaire avec les agences des Nations Unies, sur des questions liées à la prévention des catastrophes naturelles, avec Mme DZINGA NZONDO

La réunion de la coordination humanitaire avec les agences des Nations Unies qui s’est tenue ce 29 octobre 2020, par visioconférence, a connu la participation de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, en charge du Développement Durable qui a traité des questions liées à la prévention des catastrophes naturelles, et celle de Madame Antoinette DZINGA NZONDO, Ministre des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire.
Dans ce cadre de concertation mise en place suite à l’état de catastrophe naturelle et d’urgence humanitaire décrété par le Gouvernement à l’issue des inondations qu’a connu la partie septentrionale du Congo, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a porté à l’attention des participants, les initiatives déjà amorcées par la République du Congo dans la mise en œuvre du cadre de Sendai pour la réduction des risque de catastrophes 2015-2030.
La non prise en compte par les citoyens de la notion d’étude d’impact environnemental et social avant la réalisation des projets, les occupations anarchiques,et la mauvaise manipulation anthropique de la nature causant les changements climatiques, sont les facteurs à corriger pour réduire le risque des catastrophes, a aussi indiqué la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT.

Développement touristique : vendre la destination Congo à travers la randonnée sur la rivière Lékoli

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, a effectué une randonnée sur la rivière Lékoli dans le département de la Cuvette- ouest, le 24 octobre dernier, en vue de promouvoir le tourisme local.

Organisée par Congo Conservation Company (CCC), opérateur touristique des camps Mboko, Lango, … la croisière sur la rivière Lékoli a été dirigée par Clément Dumaz, guide de la société CCC et Jonas Ericksson, directeur du Parc national Odzala-Kokoua.

Partis du camp de Mboko pour le camp de Lango (tous des camps situés dans le Parc national d’Odzala-Kokoua), les touristes ont observé tout au long de cette croisière le Guibe anarché de l’ouest, l’éléphant de forêt, le buffle de forêt, le colobe de Guereze, les vautours palmiste, les aigles pêcheurs africains (pygargue vocifer), le milan à bec jaune, Martin-pêcheur géant, Martin pêcheur des bois, volées de pigeons verts.

La randonnée a permis d’observer dans la Lékoli, de nombreuses espèces qui vivent dans et autour de la rivière. Il y a le crocodile nain, l’hippopotame, des moniteurs d’eau, … « Nous souhaitons avec l’aide de la ministre développer le tourisme local pour que les Congolais n’importe où qu’ils se trouvent savent qu’il y a des merveilles naturelles dans leur pays », a déclaré Clément Dumaz.

« Il faut aimer et respecter la nature. Nous avons ici un tourisme vert, un tourisme qui allie tout ce qui est biodiversité faune et flore, qui nous permet un ressaisissement. C’est un bijou », a déclaré Arlette Soudan-Nonault.

Pour elle, le temps est arrivé de lever cette économie du tourisme comme cela a été indiqué dans le Programme national de développement (PND). « Nous avons maintenant une stratégie depuis 2018. Au niveau du gouvernement nous prenons énormément des lois. Je pense que maintenant les Congolais devraient de plus en plus tourner vers un tourisme durable et responsable. J’aimerai aussi remercier et féliciter les populations qui commencent à trouver un bel équilibre entre les périodes de pêche, de chasse pour laisser les animaux se reproduire, et puis féliciter les conservateurs qu’on a dans des différents sites où il y a ces zones de biodiversité », a souligné la ministre.

 

Forum Mondial sur les Paysages : La Ministre Soudan-Nonault a représenté la République du Congo

Organisé par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement, le Forum Mondial sur les Paysages, qui s’est tenu le 28 octobre 2020, par visioconférence, a connu la participation de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, représentant la République du Congo à ces assises.
Au cours de ce forum, organisé sous le thème: « Les tourbières : une superbe solution basée sur la nature – un foyer et un refuge pour une biodiversité unique et menacée », la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a présenté à ses interlocuteurs les caractéristiques des vastes tourbières du Bassin du Congo, que partage la République du Congo avec son voisin la RDC. Les initiatives de conservation et de préservation de cet écosystème fragile mises en place par le Gouvernement Congolais, sous l’égide de Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République, Chef de l’État, ont également été abordées par la Ministre Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo lors sa communication.

La Ministre Soudan-Nonault a reçu en audience M Richard Amalvy, nouveau Directeur Général de la Fondation Brazzaville

Monsieur Richard Amalvy, nouveau Directeur Général de la Fondation Brazzaville, a été reçu ce 28 octobre 2020, par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo dont l’instrument financier est le Fonds Bleu.

Cet entretien entre les deux personnalités à d’une part, porté sur la présentation à Madame la Ministre des civilités par le nouveau Directeur, et d’autres part, permis de survoler les avancées sur l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Signalant, que la protection de l’environnement et la lutte contre les changements climatiques  font parties des actions menées par cette fondation.

Biodiversité : Mbomo et le parc national d’Odzala-Kokoua en plein essor

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, a séjourné du 23 au 24 octobre à Mbomo dans le département de la Cuvette-ouest, en vue de suivre les activités du projet de développement de l’écotourisme dans le parc national d’Odzala-kokoua.

La visite de travail de la ministre a débuté par une rencontre citoyenne avec la population, les notables et chefs de quartier du district de Mbomo, puis ensuite avec les partenaires d’Odzala, à savoir African Park et Congo Conservation company (CCC). Mbomo est le berceau d’un environnement écologiquement naturel et d’un site touristique nationalement et mondialement en plein essor. Le développement du district de Mbomo en particulier et celui de la Cuvette ouest en général, sont étroitement liés à la gestion durable de ses écosystèmes, condition préalable à l’épanouissement de l’écotourisme en vue de la diversification de l’économie nationale

 

Prenant la parole sur demande de la ministre pour aborder les problèmes qui se posent entre la population et le partenaire principal qui est le Parc national d’Odzala Kokoua, le sous-préfet de Mbomo, Paul Obambi Dzion, les a résumés en trois points. Il s’agit, entre autres, de la non-rétrocession des 0,5% issus du budget touristique annuel par leur partenaire ; l’insuffisance des puits, la communauté rurale de Mbomo n’ayant qu’un puit. Le souhait serait d’obtenir au moins deux ou trois puits. Puis le licenciement de vingt-deux travailleurs sur cinquante-cinq à cause de la Covid-19. Sur ce point, la sous-préfecture a constitué un dossier crédible qui engage les jeunes. A la fin de la pandémie, les vingt-deux travailleurs reprendront le service.

S’adressant à la population de Mbomo, la ministre a précisé qu’elle est venue parler du tourisme responsable et durable, et également de l’environnement. Elle a évoqué la relation entre ces grands pachydermes qu’on appelle les éléphants, donc de la faune, et également de la flore. Sans cette biodiversité, on ne peut parler d’économie du tourisme. « Le développement durable c’est l’environnement, le social et l’économie. Et sans l’humain au centre pour réguler, pour protéger, pour conserver, nous ne pourrons pas y arriver. Donc, nous devons trouver comment concilier cet atout que nous avons, ce patrimoine naturel que nous avons la chance d’avoir ici dans le district de Mbomo avec la gestion de ce grand parc d’Odzala, de toutes les activités économiques qui sont des alternatives économiques… », a souligné la ministre.

La population de Mbomo souhaite tirer profit de ses richesses naturelles. 

Au cours des échanges, la population de Mbomo a déploré le fait qu’une société exploitant de l’or ait détruit la biodiversité, entrainant ainsi la maladie de grattage de la peau appelée communément « Kwaka zoka ». De même, le problème de la cohabitation pénible avec les éléphants qui ravagent les champs de manioc, rentrant même dans le village a été évoqué.

Le tourisme étant le moteur du développement, la population rurale de Mbomo dit ne pas en tirer profit. Aussi, lorsqu’il y a recrutement au parc national d’Odzala-kokoua, les places sont offertes à ceux venus d’ailleurs au détriment des riverains. Les quelques rares qui travaillent au parc ne bénéficient d’aucune promotion en dépit du nombre d’années passées.

Répondant aux populations, la ministre a expliqué qu’en ce qui concerne le reversement du pourcentage de 0,5%, elle travaille énormément là-dessus. En effet, African Park semble verser les 0,5% à Odzala qui devrait les rétrocéder à la communauté au travers des mécanismes mis en place sur le plan institutionnel. A ce sujet, la ministre a indiqué qu’Odzala ne peut pas gérer les fonds d’African Park pour les communautés. Ce n’est pas possible. African Park doit donner ses 0,5% et Odzala autant. Ce sont deux entités différentes. African Park veille sur la biodiversité, alors qu’Odzala à la double casquette, il gère la biodiversité et fait de l’écotourisme. A cet effet, la ministre leur a donné deux mois pour respecter les textes en vigueur, en ce qui concerne le pourcentage de 0,5% de la gestion communautaire.

 

Quant au conflit « Homme- Eléphant », de même que l’exploitation de l’or dans le non-respect de l’environnement, la ministre a déclaré qu’il y a des séances de travail pour tous ces problèmes, dédommagement et autres.

 

Notons que le parc d’Odzala est l’un des plus vieux parcs d’Afrique centrale et même du continent africain. Il a été créé en 1935 à l’initiative d’un administrateur de l’Afrique équatoriale française (AEF). Initialement le parc ne mesurait que 1200 km² et s’appelait parc national d’Odzala. Ce n’est qu’en 2001 qu’il a été étendu au niveau du nord et a intégré la région regorgeant la rivière kokoua, et est devenu le parc national d’Odzala kokoua. Sa taille actuelle est de 13546km².

 

Source : adiacongo.com

Mme Arlette Soudan-Nonault à la Conférence numérique GLF sur la biodiversité

Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, en Charge du Développement Durable  interviendra ce mercredi 28 octobre 2020 à la session plénière sous le thème : Les Tourbières, une solution super nature – Maison et refuge pour une biodiversité unique et menacée.

Cette session vous emmènera dans un voyage en deux parties dans les tourbières vers certains des endroits les plus rares, isolés et uniques au monde.

De nombreuses tourbières offrent un refuge sûr pour une biodiversité rare et menacée – de l’orang-outan d’Indonésie à la mousse de sphaigne dorée d’Irlande du Nord.

Transportez-vous dans les marécages boisés isolés du bassin du Congo, puis dirigez-vous vers la pointe du continent sud-américain. Les tourbières offrent également des points d’arrêt vitaux pour les espèces migratrices – reliant les espèces à des endroits spéciaux à travers le monde.

Les tourbières peuvent également être des micro-forêts tropicales remplies de carbone qui abritent des créatures bizarres et des histoires du passé.

Le PNUE vous invite à découvrir pourquoi les tourbières sont un habitat essentiel pour la biodiversité et ce se produisent à notre climat et à notre santé…

Source : events.globallanscapesforum.org

Ecotourisme : Mme Arlette Soudan-Nonault en visite de travail dans le département de la Cuvette Ouest, district de Mbomo,

Visite de travail de la Ministre du Tourisme et de l’Environnement madame Arlette SOUDAN-NONAULT, dans le cadre du suivi du projet de développement de l’écotourisme dans le parc National d’#OdzalaKokoua.

Au programme : rencontre citoyenne avec les autorités et populations locales, séance de travail avec CCC et #AfricanParks.
A noter qu’Odzala Kokoua est un important réservoir de biodiversité, parmi les plus anciens Parcs Nationaux d’Afrique Centrale.

 

Pour plus d’infos cliquer ici

Opportunités : Recrutement d’un cabinet charge de l’évaluation des candidatures pour la sélection du personnel statutaire de la COMIFAC

La Commission des Forêts d’Afrique Centrale est l’institution sous-régionale de référence en matière d’harmonisation des politiques forestières et environnementales en Afrique Centrale. Elle a été instituée en 2005 par la signature du Traité relatif à la conservation et à la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale et instituant la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC). Organisation intergouvernementale regroupant les dix (10) pays d’Afrique Centrale que sont le Burundi, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Congo, la République Démocratique du Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad. La COMIFAC a pour mandat d’orienter, de coordonner et de prendre des décisions sur les actions et initiatives sous-régionales dans le domaine de la conservation et de la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale.

Pour son fonctionnement, la COMIFAC s’est dotée de trois (03) organes dont le Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement, le Conseil des Ministres et le Secrétariat Exécutif – organe d’exécution avec mandat d’assurer la coordination de la mise en œuvre des activités de la COMIFAC et d’applique les décisions du Conseil des Ministres. C’est à ce titre que le Secrétariat Exécutif assure la coordination, la supervision et/ou le suivi opérationnel des projets, programmes d’appui ainsi que leurs plans d’actions sous-régionaux dont les résultats contribuent à la mise en œuvre du Plan de Convergence – cadre de planification stratégique sous régional dont la première édition a été adoptée en février 2006 par les Chefs d’Etat pour une période de dix (10) ans.

Conformément aux dispositions de l’article 13 du traité de la COMIFAC, le Secrétaire Exécutif, le Secrétaire Exécutif Adjoint-Coordonnateur Technique et le Directeur Administratif et Financier, sont nommés par le Conseil des Ministres, sur proposition du Ministre en charge des forêts et /ou de L’environnement du pays dont est issu chaque candidat.
Le personnel statutaire actuellement en poste, ayant pris fonction en janvier 2017, son mandat arrive à échéance au 31 décembre 2Q20. Les vacances à ces postes ont été publiées conformément aux dispositions des Articles 30, 31 et 33 du Règlement Intérieur qui stipulent  respectivement que :
« Six (06) mois avant l’expiration du mandat du Secrétaire Exécutif le Président en exercice adresse un avis de vacance de poste à tous les Etats membres de la COMIFAC, via les Ministres en charge des Forêts et/ou de L’Environnement. »
« En vue de la sélection au poste de Secrétaire Exécutif, chaque Ministre en charge des forêts et/ou de l’environnement est tenu de transmettre trois dossiers de candidature maximum au Conseil des Ministres. Le candidat retenu est désigné par les Ministres au cours du Conseil considéré. »
« Six mois avant l’expiration du mandat du Secrétaire Exécutif Adjoint et du Directeur Administratif et Financier, le Secrétaire Exécutif adresse un avis de vacance de poste aux Gouvernements des Etats membres, représentés par les Ministres en charge des Forêts et/ou de l’environnement ».
En vue de faciliter le processus de désignation du personnel statutaire du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC, le Conseil des Ministres lors de sa Session extraordinaire, du 12 mai 2016 à Kinshasa a décidé de faire analyser les candidatures aux postes du personnel statutaire par un cabinet spécialisé en matière de recrutement.
1. Description de la mission
1.1 Objectifs de la mission
La mission du Consultant consiste à l’évaluation, sur la base des profils indiqués dans le Statut du personnel de la COMIFAC, des candidatures envoyées par les pays pour les trois postes statutaires à savoir : Secrétaire Exécutif, Secrétaire Exécutif Adjoint-Coordonnateur Technique et Directeur Administratif et Financier.
Cette évaluation permettra de fournir un avis sur les dossiers de candidatures et procéder au classement des candidats pour chaque poste suivant l’ordre de mérite des candidats. Les points forts et les points faibles des candidats devront être relevés par le consultant. De même, des recommandations pour d’éventuels éclaircissements pouvant guidés les décisions des Ministres sur le choix des candidats devront être faites par le consultant…

 

 

Cliquez ici, pour retrouver l’intégralité de l’appel à candidature