Mme Arlette Soudan-Nonault, a reçu en audience M. Chris MBURU, Coordonnateur du Système des Nations Unies au Congo

Ce lundi 14 décembre 2020, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, a reçu en audience Monsieur Chris MBURU, Coordonnateur du Système des Nations Unies au Congo, dans le but de faire le point sur l’ensemble des projets bénéficiant de l’appui technique et financier des agences des nations unies représentées au Congo.

L’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, l’exécution des projets d’adaptation et de développement du tourisme, la révision du Plan National d’Action pour l’Environnement (PNAE) ainsi que d’autres dossiers qui rentrent dans le cadre de la conservation et de la préservation des écosystèmes, portés par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement avec l’appui des agences d’exécution des nations unies notamment le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), le Fonds pour l’Agriculture et l’Alimentation (FAO) et le Programme Mondial pour l’Alimentation (PAM), ont été au centre de cet entretien entre les deux personnalités.

1 millions de dollars du Fonds Mondial pour l’Environnement afin d’appuyer le développement durable et la conservation du patrimoine naturel en République Congo

Située au cœur de la zone dite du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, avec plus 10 % de la biodiversité de la planète, la République du Congo, s’emploie, suivant la vision en matière d’environnement de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’État, à mettre en œuvre les politiques nationales et internationales, afin gérer de façon durable ses écosystèmes.
Ces politiques de préservation et de conservation ne peuvent être effectives que par le concours de toutes les parties prenantes y compris les populations dont les activités présentent parfois une menace pour ces écosystèmes.
Le Ministère du Tourisme et l’Environnement, que dirige la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Autorité Nationale désignée FEM, avec l’appui technique du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), a bénéficié de financement auprès du Fonds Mondial pour l’Environnement, pour accompagner les initiatives qui contribuent au développement durable et à la conservation du patrimoine naturel, exécuté par le projet SGP/FEM/PNUD.
C’est dans ce cadre qu’une cérémonie de remise symbolique des chèques aux ONG bénéficiaires d’un appui à hauteur de 1.000.000 USD, a eu lieu ce 14 décembre 2020, en présence de la Ministre du Tourisme et l’Environnement et du Représentant Résident du PNUD, Monsieur Maleye Diop.

Réchauffement climatique : l’Accord de Paris, 5 ans déjà

Source : adiac-congo

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo (CCBC), a pris part à la conférence virtuelle relative à la célébration du cinquième anniversaire de l’Accord de Paris, le 12 décembre.

La conférence de presse présidée par le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean Yves Le Drian, qui avait à ses côtés sa collègue ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a porté sur le bilan et réflexions sur ce qui a été accompli depuis 2015 et les perspectives relatives à cet accord.

La tenue de cette conférence marque le lancement du cycle de relèvement de l’ambition climatique jusqu’à la COP26 de Glasgow. Pour la ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, Arlette Soudan-Nonault, coordonnatrice technique de la CCBC, qui a pris part à cette conférence, la phase de mise en œuvre de l’accord de Paris devra impérativement prendre en compte les attentes des pays membres du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, et dont regorge plus de 10% de la biodiversité mondiale, inscrites dans les deux cent huit projets que porte l’étude de préfiguration du Fonds bleu, récemment validée par les pays membres. Elle a, en outre, ajouté que le maintien de la température de la planète entre 1,5-2°C, objectif de l’Accord de Paris, ne peut être atteint sans une gestion durable des tourbières du Bassin du Congo. La coordonnatrice technique de la CCBC a indiqué, en outre, que les seize pays de la CCBC et le royaume du Maroc feront entendre leurs voix à Glasgow, en vue d’une prise en compte effective de ces problématiques, sans lesquelles les objectifs de l’accord de Paris ne peuvent être atteints.

L’accord de Paris, l’une des réussites les plus emblématiques

L’accord historique par lequel la communauté internationale a pris ses responsabilités et ses engagements à l’égard des générations futures est devenu l’une des réussites les plus emblématiques du multilatéralisme, a déclaré le ministre Jean Yves Le Drian. La partie était loin d’être gagnée, a-t-il ajouté. Le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères a fait savoir que l’année 2021 sera décisive pour l’avenir de la planète avec la tenue de trois COP : climat, biodiversité, désertification. « Aujourd’hui l’horizon semble s’éclaircir puisqu’une lueur s’est allumée de l’autre côté de l’atlantique. L’Accord de Paris demeure notre meilleure boussole dans les tempêtes qui bouleversent notre présent et face à celles qui menacent l’avenir… La rencontre d’aujourd’hui, nous l’avons souhaitée avec ma collègue Barbara Pompili non pas seulement comme un moment de célébration, mais essentiellement un moment de remobilisation », a signifié Jean Yves Le Drian. Et d’ajouter que 2020 aura été l’année d’une crise pandémique que personne n’aurait pu anticiper, en même temps que l’année des plus grandes confirmations d’inquiétudes, sans doute l’année plus chaude jamais enregistrée, l’année où le mercure aura grimpé jusqu’à 38 degrés en Sibérie ; l’année où un brutal record de trente tempêtes majeurs aurait frappé l’atlantique. « Regardons la réalité en face, notre planète n’est plus en sursis, elle a désormais basculé dans l’état d’urgence. Nous sommes réunis pour croiser les perspectives de la communauté scientifique, de la société civile, des collectivités, de la jeunesse, des entreprises, avec le regard de ceux qui furent les deux grandes architectes de la COP21, Laurent Fabius et Laurence Tubiana. Nous sommes réunis à la fois pour mesurer le chemin parcouru, mais surtout pour apprécier l’immense effort qui nous reste à accomplir. Nous sommes réunis pour nous dire ensemble tout ce que cet anniversaire signifie pour nous aujourd’hui et surtout les voies de la remobilisation », a-t-il poursuivi

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, qui met en œuvre l’accord de Paris au niveau national dans toutes ses dimensions : environnement, énergie, transport, logement, et la politique nationale de lutte contre le réchauffement climatique, veillant à la bonne explication et application des accords conclus en concertation avec le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, a rappelé les faits.« C’était il y a cinq ans jour pour jour. Après des années d’échecs successifs, d’atermoiements, le monde prenait date. Pour la première fois, 196 pays prenaient un engagement commun, devant les générations futures de limiter le réchauffement climatique en deçà de deux degrés d’ici la fin du siècle. Jamais un texte international n’avait été aussi largement signé ; jamais le monde n’avait aussi unanimement dit : « Nous ne laisserons pas la catastrophe se produire, nous refusons de détruire notre seule planète » », a-t-elle déclaré.

Environnement : le Congo et la Grande Bretagne évoquent la préparation de la COP26

Source : adiac-congo

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo (CCBC), Arlette Soudan-Nonault, s’est entretenue avec Lord Goldsmith Of Richmond Park, ministre britannique de l’Environnement, Alimentation et Affaires rurales par visio-conférence.

L’entretien entre ces deux personnalités a porté sur la problématique de l’opérationnalisation de la CCBC et de son instrument financier le Fonds bleu, la préparation de la COP26 qui se tiendra à Glasgow ainsi que la problématique des tourbières de la cuvette centrale.

La ministre Arlette Soudan-Nonault a saisi cette opportunité pour présenter à son homologue l’ambition des chefs d’État des pays membres de la

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo (CCBC), Arlette Soudan-Nonault, s’est entretenue avec Lord Goldsmith Of Richmond Park, ministre britannique de l’Environnement, Alimentation et Affaires rurales par visio-conférence.

L’entretien entre ces deux personnalités a porté sur la problématique de l’opérationnalisation de la CCBC et de son instrument financier le Fonds bleu, la préparation de la COP26 qui se tiendra à Glasgow ainsi que la problématique des tourbières de la cuvette centrale.

La ministre Arlette Soudan-Nonault a saisi cette opportunité pour présenter à son homologue l’ambition des chefs d’État des pays membres de la CCBC pour concilier les changements climatiques et le développement économique, exprimée par la mise en place du Fonds bleu à l’initiative du président de la République, chef de l’État, président de la CCBC, Denis Sassou N’Guesso.

Quant aux préparatifs de la COP26 qui se tiendra à Glasgow, la coordonnatrice technique de la CCBC, a plaidé pour la prise en compte de la problématique de la CCBC dans l’agenda de ce grand rendez-vous planétaire.

A son tour, le ministre britannique a rassuré Arlette Soudan-Nonault de son implication personnelle afin que soit prise en compte la demande du Congo pour promouvoir le Fonds bleu qui les intéressent vivement.

Lord Goldsmith Of Richmond Park a souhaité également qu’une commission entre États soit mise en place pour un accompagnement par la Grande-Bretagne, en vue d’une gestion durable des tourbières situées au cœur des forêts du bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.

pour concilier les changements climatiques et le développement économique, exprimée par la mise en place du Fonds bleu à l’initiative du président de la République, chef de l’État, président de la CCBC, Denis Sassou N’Guesso.

Quant aux préparatifs de la COP26 qui se tiendra à Glasgow, la coordonnatrice technique de la CCBC, a plaidé pour la prise en compte de la problématique de la CCBC dans l’agenda de ce grand rendez-vous planétaire.

A son tour, le ministre britannique a rassuré Arlette Soudan-Nonault de son implication personnelle afin que soit prise en compte la demande du Congo pour promouvoir le Fonds bleu qui les intéressent vivement.

Lord Goldsmith Of Richmond Park a souhaité également qu’une commission entre États soit mise en place pour un accompagnement par la Grande-Bretagne, en vue d’une gestion durable des tourbières situées au cœur des forêts du bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.

5 ans de l’Accord de Paris #Climat Action# : La Ministre Soudan-Nonault a pris part à la réunion virtuelle animée par Animée par Monsieur Jean Yves le Drian

5 ans de l’Accord de Paris #Climat Action#

La célébration des 5 ans de l’accord de Paris sur le Climat dont la République du Congo est signataire, a été marquée par une conférence virtuelle tenue ce 12 décembre 2020 dans le but de faire le bilan et de réfléchir sur ce qui a été accompli depuis 2015 et sur les perceptives futures de cet accord en présence de plusieurs personnalités.

Animée par Monsieur Jean Yves le Drian, Ministre Français de l’Europe et des affaires étrangères et par sa collègue de la transition écologique, Madame Barbara Pompili, cette conférence qui lance le cycle de relèvement de l’ambition climatique jusqu’à la COP 26 de Glasgow a vu la participation de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo(CCBC).

Pour la Ministre Coordonatrice Technique la CCBC, la phase de mise en œuvre de l’accord de Paris devra impérativement prendre en compte les attentes des pays membres du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, et qui recèle plus 10 % de la biodiversité mondiale, inscrites dans les 208 projets que porte l’étude de préfiguration du Fonds Bleu, récemment validée par les pays membres. Le maintien de l’augmentation de la température de la planète entre 1,5-2°C, objectif de l’accord de Paris, ne peut être atteint sans une gestion durable des tourbières du Bassin du Congo.

Les 16 pays de la Commission Climat du Bassin du Congo et le Royaume du Maroc, feront entendre leurs voix à Glasgow, en vue d’une prise en compte effective de ces problématiques, sans lesquelles les objectifs de l’accord de Paris ne peuvent être atteints, a également indiqué la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT.

 

Environnement : le Congo et la Grande Bretagne évoquent la préparation de la COP26

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo (CCBC), Arlette Soudan-Nonault, s’est entretenue avec Lord Goldsmith Of Richmond Park, ministre britannique de l’Environnement, Alimentation et Affaires rurales par visio-conférence.

L’entretien entre ces deux personnalités a porté sur la problématique de l’opérationnalisation de la CCBC et de son instrument financier le Fonds bleu, la préparation de la COP26 qui se tiendra à Glasgow ainsi que la problématique des tourbières de la cuvette centrale.

La ministre Arlette Soudan-Nonault a saisi cette opportunité pour présenter à son homologue l’ambition des chefs d’État des pays membres de la CCBC pour concilier les changements climatiques et le développement économique, exprimée par la mise en place du Fonds bleu à l’initiative du président de la République, chef de l’État, président de la CCBC, Denis Sassou N’Guesso.

Quant aux préparatifs de la COP26 qui se tiendra à Glasgow, la coordonnatrice technique de la CCBC, a plaidé pour la prise en compte de la problématique de la CCBC dans l’agenda de ce grand rendez-vous planétaire.

A son tour, le ministre britannique a rassuré Arlette Soudan-Nonault de son implication personnelle afin que soit prise en compte la demande du Congo pour promouvoir le Fonds bleu qui les intéressent vivement.

Lord Goldsmith Of Richmond Park a souhaité également qu’une commission entre États soit mise en place pour un accompagnement par la Grande-Bretagne, en vue d’une gestion durable des tourbières situées au cœur des forêts du bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.

 

Source : adiac-congo.com

Gaz à effet de serre : validation de l’inventaire des émissions du Congo

Les travaux de l’atelier de validation de l’inventaire national des gaz à effet de serre ont été ouverts le week-end dernier à Brazzaville par la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault.

Ils s’inscrivent dans le cadre de la préparation de la troisième communication de la République du Congo à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). L’objectif étant de finaliser et valider l’inventaire national des gaz à effet de serre.

« Les travaux qui s’achèvent ce jour marque une étape importante, non seulement dans le cadre de la préparation de la troisième communication nationale de notre pays, mais aussi dans le processus de révision de notre contribution déterminée nationale (CDN), laquelle, comme je n’ai cessé de rappeler, doit se fonder sur les conclusions de notre communication nationale », a déclaré la ministre Arlette Soudan Nonault.

Elle a estimé que les résultats de cet atelier « serviront de base pour les projections futures des mesures d’atténuation d’émissions des gaz à effet de serre tant pour la troisième communication nationale que pour la CDN en révision, projections qui inévitablement impliqueront des décisions d’ordre politique ».

Par ailleurs la ministre en charge de l’Environnement a souligné que les conclusions de cette rencontre vont aider à la prise « des décisions éclairées et permettront à notre pays d’honorer ses obligations vis-à-vis de la CCNUCC. ».

En vue de permettre d’utiliser à bon escient les résultats de cet inventaire national des gaz à effet de serre, elle a rappelé aux participants que les conclusions de cet atelier visaient à assurer un contrôle qualité des informations ou données utilisées dans chaque secteur avec la participation des fournisseurs de données ; développer les tendances historiques pour tous les secteurs ; finaliser les rapports sectoriels d’inventaire de gaz à effet de serre ; valider le rapport national avec toutes les parties prenantes nationales.

Notons que cet atelier a été organisé avec l’appui des États-Unis d’Amérique.

 

Source : adiac-congo.com

La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a échangé sur l’écologie à l’occasion de la présentation du livre de l’abbé Gracias Martial sur un mode de vie Eco-responsable

« Écologie et santé humaine. Plaider pour un mode de vie Eco-responsable », c’est l’intitulé de l’ouvrage qui a été présenté et dédicacé, ce 4 décembre 2020, dans la salle polyvalente de la cathédrale sacré cœur de Brazzaville, par l’abbé Gracias Martial, son auteur.
Invitée à cette cérémonie de présentation et de dédicace, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.
Le message véhiculé par l’auteur dans ce livre, est celui du rapport interactif existant entre l’Homme et son milieu de vie, c’est-à-dire l’Environnement, qui est considéré comme cet espace naturel dont il dépend totalement et sans lequel il ne peut exister. Et l’action de l’Homme sur l’Environnement a pour conséquence la destruction des conditions de bases (l’eau et l’air) qui assurent son existence.
Aussi, l’auteur lance un appel à un changement d’habitudes dans nos milieux de vie, et nous invite à une éco-conscientisation, une éco-médiatisation et une éco-socialisation  afin que soit préservé notre biotope.
Au cours des échanges, la Ministre du Tourisme et l’Environnement a félicité l’auteur pour le travail de constat, d’interprétation et d’éveil de conscience. Mais elle a relevé le fait que ne soit pas pris en compte, la sensibilisation sur les sujets importants que porte la République du Congo dans domaine de l’environnement.

La coordinatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo remercie vivement le Maroc pour son soutien indéfectible

Source : magexpress

Rabat- La ministre du Tourisme et de l’Environnement de la République du Congo, et coordinatrice technique de la Commission climat pour le Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault à remercié vivement le Royaume du Maroc pour son soutien indéfectible.

Lors d’une réunion ministérielle virtuelle de la Commission Climat du Bassin du Congo, qu’elle présidait mercredi, Mme Soudan-Nonault a tenu à remercier vivement le Royaume du Maroc pour son soutien indéfectible, à travers le Centre de compétences en changement climatique (4C Maroc), dans la réalisation de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, indique un communiqué du ministère de l’Energie, des Mines et de l’Environnement.

Cette réunion, à laquelle a pris part le ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah, avait pour objectif de présenter et valider l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Selon le communiqué, l’appui de la mise en place du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, s’inscrit dans le cadre de l’opérationnalisation de la Commission Climat du Bassin du Congo, une des trois commissions climat créées à l’initiative de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, à l’occasion du Sommet africain de l’Action, tenu le 16 novembre 2016 à Marrakech, en marge de la COP22.

Cette étude a permis également la définition d’un plan d’investissement comportant 254 projets pour un montant estimé à 8 milliards USD.

De son côté, M. Rabbah s’est félicité des résultats de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, réalisée avec l’appui du 4C Maroc.

Il a également souligné que, l’atteinte des objectifs escomptés, à travers la mise en place de ce fonds nécessite, une mobilisation collective de tous les acteurs concernés, aussi bien au niveau des États, du secteur privé, qu’au niveau des bailleurs de fonds, dans le cadre d’une coopération internationale et régionale résolument engagées.

M. Rabbah a, aussi, réaffirmé que le Maroc, en tant que membre associé de la Commission climat du Bassin du Congo, restera engagé aux côtés de ses pays frères de la sous-région du Bassin du Congo, dans le cadre de ce projet.

Cette réunion a vu la participation des ministres africains de l’environnement des pays de la Région du Bassin du Congo, des représentants des organisations régionales telles que la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et la Commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC), ainsi que des représentants du PNUD, du PNUE, de la Banque africaine pour le développement, du Fonds vert pour le climat et du 4C Maroc.

Economie bleue/CCBC-F2BC : les ministres ont validé le rapport final de l’étude de préfiguration du Fonds bleu

Source : afriquenvironnementplus.info

 

Brazzaville a abrité, par présentiel et visioconférence, du 1 au 2 décembre dernier, la 4ème réunion du Comité de pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le Bassin du Congo (F2BC) et segment ministériel au cours desquels ont été présentés les résultats de l’étude et de la feuille de route pour l’opération dudit Fonds bleu pour validation par les ministres en charge de l’environnement des pays de la CCBC-F2BC.

Ces assises, ultimes avant d’autres sommets à venir, notamment des Chefs d’Etat, de bailleurs de Fonds prévu en 2021, ont été présidées par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre congolais du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo (F2BC). Cette rencontre a permis aux ministres des pays membres de la CCBC-F2BC de s’imprégner des résultats et de la feuille de route pour l’opérationnalisation du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ainsi que valider le rapport final de l’étude de préfiguration du Fonds bleu pour le Bassin du Congo, une étape indispensable pour slmise en œuvre de cet outil de développement pour les populations comme souhaité par le Chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, président de la Commission Climat pour le Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Après un parcours entamé à Rabat, au Maroc, le 17 mars 2018, pour le lancement de ce long processus, avec la première réunion du comité ad ’hoc  pour la validation des termes de référence de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo afin de baliser le chemin, Mme Arlette Soudan Nonault, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, dans son discours de clôture. a reconnu le long parcours fait, « Nous avons au bout de plusieurs mois de dur labeur atteint les objectifs de la mission qu’ils nous ont confié, celle de faire du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo une réalité. Avec l’étude de préfiguration, nous disposons d’un outil de gouvernance et d’un pipeline de projets bancables issus de nos contributions Déterminées au niveau National ».

Confiante et optimiste, Mme Arlette Soudan-Nonault pense déjà de la faisabilité de ce projet : « Nous serons donc à même à travers la mise en œuvre de ces projets de concilier le développement économique et la lutte contre les changements climatiques, l’une des principales missions assignées aux trois Commissions. »

Ne voulant pas jouer au triomphalisme, Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre congolais du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, mesure  le travail combien ardu qui reste à faire pour parachever complètement ce projet avant d’annoncer les différentes étapes à franchir : « Notre travail, cependant, n’est pas complétement achevé car nous devons encore ».  La prochaine étape étant, bien sûr, l’approbation de cette étude par nos présidents lors du deuxième Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et l’organisation de la Conférence des Bailleurs pour lever des Fonds au profit du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.

Quid aux recommandations

Au registre des recommandations figurent, la signature, pour les pays qui ne l’ont pas encore fait, du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo et le Mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo et la ratification du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo afin de permettre aux Etats de lever leurs contributions pour le fonctionnement de la Commission Climat du Bassin du Congo. Aussi, aux pays concernés, de s’acquitter de leurs contributions, fixées à hauteur de 370.000 dollars US, pour la mise en place de l’unité de démarrage du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, afin de permettre à la Commission Climat du Bassin du Congo de poursuivre l’identification des projets pays à inscrire dans le pipeline des projets à financer par le Fonds.

« Les prochaines étapes sont donc cruciales. Notre engagement doit être constant et soutenu si nous voulons rendre définitivement opérationnels la Commission Climat du Bassin du Congo et le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo ». a rappelé Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre congolais du Tourisme et de l’environnement, Coordonnatrice technique de la CCBC-F2BC.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’occasion aussi pour Mme Arlette Soudan-Nonault de rappeler aux personnes qui ne croyaient pas à l’aboutissement de ce projet que l’action et la vision sont le maître-mot pour arriver au bout de toute entreprise : « Quant à ceux qui regardaient avec scepticisme le Fonds Bleu lors de sa création, en lui prédisant un destin de projet chimérique, qu’ils doivent aujourd’hui se rendre à l’évidence : lorsqu’action et vision se conjuguent, Tout devient possible ».

Enfin, Mme Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement du Congo, Coordonnatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo a fait savoir qu’elle effectuera, en février 2021, une tournée dans les pays concernés par la signature du protocole, du Mémorandum portant création du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, le 9 Mars 2017 à Oyo (Congo) ainsi que la ratification du protocole instituant la Commission Climat du Bassin du Congo.