Bootcamp des jeunes innovateurs 2021: Mme Arlette Soudan-Nonault, a reçu Mme Marega Fatoumata, Représentante de l’UNESCO au Congo

Ce vendredi 19 février 2021, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et l’Environnement, a accordé une audience à Madame Marega Fatoumata, Représentante de l’UNESCO au Congo.
Au centre de cet entretien, les préparatifs du Bootcamp,qui débutera le 22 février 2021, dans les salles multimédias du lycée de la Révolution et l’Université Marien N’Gouabi, en prélude au Forum Régional Afrique sur les Sciences et Technologies et au 7ème Forum Régional Afrique sur le Développement Durable qui se tiendront à Brazzaville, respectivement du 25 au 26 février 2021 et du 1er au 4 mars 2021, activités organisées par le Ministère du Tourisme et de l’Environnement en partenariat avec la Commission Économique Afrique des Nations Unies, placées sous le très Haut Patronage de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.

Ce Bootcamp a pour objectif principal de former les élèves et étudiants sur l’intelligence artificielle et la robotique.

Inscription au Bootcamp : http://www.developpement-durable.gouv.cg/7fradd/bootcamp-des-jeunes-innovateurs-2021/

Environnement : les résidus d’hydrocarbures polluent le littoral maritime

 

Source : adiac-congo 

La ministre en charge de l’Environnement, Arlette Soudan Nonault, est allée le 17 février prendre la mesure de la pollution marine causée par des résidus pétroliers déversés du côté de Djeno. Au terme de la visite, elle a constaté l’impact environnemental de ces produits sur les riverains et autres usagers de la côte maritime.

Arlette Soudan Nonault a visité les différents espaces et zones pollués par les activités que mènent certaines sociétés dans la ville océane. C’est à la côte sauvage qu'elle a débuté ses descentes de terrain pour faire l’état des lieux de l’impact environnemental du déversement en mer des hydrocarbures observé le long de la côte sauvage et d’autres sites en mer. A ce niveau, les auteurs n’étant pas déterminés, l’enquête doit se poursuivre pour pouvoir déterminer la source réelle de ces pollutions. Entretemps, les travaux de nettoyage se font de façon manuelle. Une société récupère des sables pollués mais sans au préalable prélever des échantillons des sols, de l’air ou de l’eau pour déterminer le degré de pollution causée par ces films d’hydrocarbures. Le souhait serait qu’il y ait des analyses des sols et de l’eau pour pouvoir regarder le niveau de pollution. Ensuite, elle a visité le chantier de réparation du pipeline endommagé pendant l’exécution des travaux d’aménagement urbain sur l’avenue des voiliers dans la zone industrielle de Pointe-Noire. 

Arlette Soudan-Nonault a également visité l’entrepôt des déchets hydrocarburés dangereux du Port autonome de Pointe-Noire. Pour le traitement de ces grés bituminés issus des travaux de dragage du port depuis des années 2016, il y a les sociétés Total et Perenco qui se sont portées garantes pour apporter leur expertise à l’État afin de voir comment éliminer ces grés bituminés.

« Sur les pollutions au port, jusqu’à présent on n’était pas très impliqué sur le sujet. Par contre, sensibles au respect de l’environnement, nous sommes prêts à partager notre expertise dans ce domaine. Nous allons traiter nous-mêmes des bouts de forages avec des spécifications, avec des processus qui sont bien établis, qui sont clairs et qui sont éprouvés. A propos, nous sommes prêts à se rapprocher du directeur du Port autonome de Pointe-Noire », a déclaré le directeur général de Total Congo, Martin Deffontaines. La société Perenco est également prête à partager son expertise avec le Port autonome de Pointe-Noire, a indiqué le directeur général de ce groupe en République du Congo, Christophe Blanc.

Conserver les écosystèmes marins et côtiers

Au regard de l’ampleur des dégâts, la ministre du Tourisme et de l’environnement a indiqué que les parties prenantes devaient agir dans l’urgence afin de ne pas exposer les populations qui fréquentent ces lieux, mais aussi de conserver les écosystèmes marins et côtiers.

« … Il nous faut mettre en place un guide de gestion des déchets portuaires très rapidement. Il y a un plan de réception de traitement des déchets d’exploitation bien précis du port. Je pense que dans le guide global de la gestion du plan d’intervention d’urgence, nous allons pouvoir travailler avec les deux sociétés qui veulent bien mettre à notre disposition quelques outils qu’ils ont déjà. J’aimerai à ce stade interpeller les différents usagés de tous ces différents secteurs que j’ai déjà nommés qui dans le cadre de la gestion de leurs industries peuvent dégénérer quelques pollutions », a souligné la ministre du Tourisme et de l’environnement. 

La ministre en charge de l’Environnement a bouclé sa visite de travail dans la ville océane par une séance de travail avec les grands opérateurs pétroliers, la direction générale du Port autonome de Pointe-Noire, en présence des autorités préfectorales. Parmi les points débattus au cours de cette séance de travail figurent la dépollution urgente des zones contaminées par le déversement des hydrocarbures, le traitement dans le respect des normes environnementales des déchets hydrocarburés dangereux du port, et le rappel au respect des textes en vigueur en matière d’environnement.

 

Source : adiac-congo 

 

En séjour de travail à Pointe-Noire, la Ministre SOUDAN-NONAULT effectue des descentes sur différents espaces et zones pollués

En séjour de travail à Pointe-Noire, capitale économique de la République du Congo, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a effectué, ce 17 février 2021, des descentes sur différents espaces et zones pollués par les activités que mènent certaines sociétés dans cette ville côtière, dans le but de faire appliquer les textes en vigueur en matière d’environnement conformément à la vision de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.
L’état des lieux de l’impact environnemental du déversement en mer des hydrocarbures, observé le long de la côte sauvage et d’autres sites en mer, a constitué la première étape de ces descentes. 
Vu l’ampleur des dégâts, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement a indiqué que les parties prenantes devaient agir dans l’urgence afin de ne pas exposer les populations qui fréquentent ces lieux, mais aussi de conserver les écosystèmes marins et côtiers. 
La seconde étape de ces descentes a été la visite du chantier de réparation du pipeline endommagé pendant l’exécution des travaux d’aménagement urbain sur l’avenue des voiliers dans la zone industrielle de Pointe-Noire. 
L’entrepôt des déchets hydrocarburés dangereux, du port autonome de Pointe-Noire, a bouclé cette série de visites. 

La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a eu une séance de travail avec les grands opérateurs pétroliers, la Direction Générale du Port Autonome de Pointe-Noire et les industries installées à Pointe-Noire, en présence des autorités préfectorales. 
La dépollution urgente des zones contaminées par le déversement des hydrocarbures, le traitement dans le respect des normes environnementales des déchets hydrocarburés dangereux du port, et le rappel au respect des textes en vigueurs en matière d’environnement, ont été au centre de cette séance de travail. 
Autre point saillant de cette séance, la mise en demeure de la société CCI, productrice de sacs en plastique, pour non-conformité aux textes en vigueur.

 

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7ème FRADD : séance de travail entre la Ministre SOUDAN-NONAULT et le bureau sortant dirigé par le Ministre zimbabwéen, Monsieur Paul MAVIMA.

Prélude au 7ème Forum Régional Afrique sur le Développement Durable (FRADD) qui se tiendra à Brazzaville, du 1èr au 4 mars 2021, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a eu une séance de travail, ce 4 février 2021,avec le bureau de la 6ème édition que dirige Monsieur Paul MAVIMA, Ministre de la Fonction Publique, du Travail et de la Protection Sociale du Zimbabwe.

Cette séance de travail à permis aux deux parties de s’imprégner du fonctionnement du bureau du FRADD, d’une part, et de passer en revue les perspectives, d’autre part.

Le Congo qui succédera le Zimbabwe à la tête de cette instance à l’issue de ce 7ème Forum, exprimera la voix de l’Afrique quant aux progrès réalisés par le continent en matière des ODD à la prochaine Assemblée Générale des Nations.

Zones humides : le Congo dispose d’abondantes ressources en eau

A l’occasion de la célébration de la Journée mondiale des zones humides, la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, a prononcé une déclaration au nom du gouvernement, le 1er février.   

La journée mondiale des zones humides édition 2021 est célébrée sur le thème « Zones humides et eau » qui s’inscrit dans le contexte de la « décennie d’action pour l’eau » proclamée par les Nations unies il y a trois ans. Un sujet qui est d’une importance majeure pour l’humanité.

Dans sa déclaration, la ministre du Tourisme et de l’Environnement a indiqué que chaque 2 février, depuis vingt-quatre ans, la communauté internationale célèbre la conclusion de la Convention de Ramsar sur la protection des zones humides, Convention dont le Congo est signataire aux côtés de cent-soixante-neuf autres pays à travers le monde.

Au Congo comme partout ailleurs, a poursuivi la ministre, les zones humides jouent un rôle crucial dans le cycle de l’eau. Si les océans et les forêts sont souvent comparés aux poumons de la planète, les zones humides en sont en quelque sorte les reins. Elles agissent comme des stations d’épuration des eaux douces et comme des réservoirs, de véritables filtres naturels qui nettoient l’eau des matières minérales et organiques, participant ainsi à l’amélioration de leur qualité, a déclaré la ministre. La conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides, lesquelles sont en outre des sites exceptionnels de biodiversité ainsi que des fournisseurs de plantes médicinales en lien direct avec la santé, sont donc indispensables à un mode de vie et de production durables.

« Notre pays dispose fort heureusement de ressources en eau en quantité suffisante. Contrairement à nombre de pays frères en zone sahélienne ou en Afrique australe, nous ne souffrons pas au Congo de ce qu’on appelle le stress hydrique. C’est une chance, à laquelle s’ajoute le fait que notre gouvernement, sous l’impulsion du chef de l’État, son Excellence Denis Sassou N’Guesso, s’attèle à améliorer sans cesse l’accès à l’eau potable pour l’ensemble des populations, ainsi qu’en témoignent les travaux d’adduction en cours à Brazzaville et ailleurs », a signifié la ministre Arlette Soudan Nonault.

 

Le Congo doit respecter et protéger ses 14 sites d’importance internationale

La ministre du Tourisme et de l’Environnement a indiqué que c’est une chance pour le Congo, mais une chance fragile et, s’ils ne prennent garde, une chance réversible. Car, à travers le monde, en effet, la pression exercée sur les zones humides par l’activité humaine ne diminue pas. Ces zones sont de plus en plus réduites, isolées, fragmentées, au point que leur sort s’ajoute à la liste des grands périls environnementaux tels que la destruction de la couche d’ozone ou la diminution drastique de la biomasse. « Notre pays n’échappe pas à ces menaces, c’est pourquoi il est impératif pour nous de respecter et de protéger les 14 sites congolais inscrits sur la liste des zones humides d’importance internationale au titre de la Convention de Ramsar », dit-elle.

Parmi ces sites, une attention tout particulière est accordée aux tourbières de la cuvette centrale du bassin du Congo, du fait des quantités extraordinaires de carbone qu’elles recèlent. Plusieurs projets sont en cours de préparation afin, non seulement de les préserver, mais aussi de les valoriser, en vue de contribuer à l’amélioration des conditions de vie de la population locale. Ces projets, et en particulier l’écotourisme, verront le jour avec l’implication de tous : pouvoirs publics, société civile, acteurs économiques privés, communautés autochtones. Avant de rappeler que ces zones humides seront d’autant mieux préservées que si seulement les Congolais sont conscients du lien étroit qu’elles entretiennent avec la forêt, dont la gestion durable est indispensable à leur bon fonctionnement.

« Des rives de l’Oubangui aux rivages de l’océan, du mont Nabemba aux berges du fleuve Congo, les zones humides dont dépend la qualité de l’eau que nous consommons chaque jour sont une part essentielle de notre patrimoine naturel. Les tarir ou les polluer, ce n’est pas seulement porter atteinte à cette source de vie qu’est l’eau, c’est aussi remettre en cause l’un des atouts majeurs de notre pays aux yeux de la communauté internationale, inlassablement porté depuis des décennies par le Président Denis Sassou-N’Guesso. Alors, tous ensemble et plus que jamais en ces temps de pandémie, préservons notre destination Green Congo et préservons notre environnement », a-t-elle conclu.

Source : adiac-congo.com

Le Congo au Dialogue Mondial des Hauts Fonctionnaires de la 26ème Conférence des Parties sur l’utilisation durable des terres

Le Dialogue Mondial des Hauts Fonctionnaires de la 26ème Conférence des Parties sur l’utilisation durable des terres et commerce des produits de base, tenue le 2 février 2021 a connu la participation de la République du Congo, représentée par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

La participation de la République du Congo à cette conférence des Hauts Fonctionnaires est fruit de l’entretien qu’a eu le 3 décembre 2020 la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT avec le Très Honorable Goldsmith of Richmond Park, Ministre d’Etat de la Grande Bretagne, en charge de la Nature.

Grâce à l’immensité de sa biodiversité et de sa réserve importante de tourbières, appelées à être géré de façon durable, la République du Congo occupe une place stratégique pour l’atteinte des objectifs communs énoncés dans l’Accord de Paris sur le changement climatique, ce qui valu son invitation à ce dialogue, au cours duquel la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a délivré un message au nom de Son Excellence Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.

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L’Environnement et le Climat au cœur de la séance de travail entre la Ministre Soudan-Nonault et M. François BARATEAU, Ambassadeur de France au Congo

L’évaluation et les perspectives de coopération dans le domaine de l’Environnement et du Climat entre la République du Congo et la France, ont été au cœur de la séance de travail de la Ministre du Tourisme et de l’Environnement Arlette SOUDAN-NONAULT avec Son Excellence Monsieur François BARATEAU, Ambassadeur de France au Congo, ce jeudi 28 janvier 2021.

Ces deux pays, cosignataires de l’Accord de Coopération et de la feuille de route dans les domaines précités, prévoient mettre en place un cadre de travail qui sera dirigé par la Ministre du Tourisme et l’Environnement en vue de relever les défis sur le plan de la conservation des écosystèmes fragiles du bassin du Congo et d’autres projets ambitieux de préservation de l’environnement conformément à la lettre d’intention signée entre le Président Congolais Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO et son homologue français le Président Emmanuel MACRON. L’ambassadeur de France, qui apprécie énormément la collaboration avec le Ministère du Tourisme et de l’Environnement, grâce au dynamisme de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, a réitéré le soutien de son pays dans la mise en œuvre de ces projets.

 

7ème session du Forum Régional Africain pour le Développement Durable : La Ministre SOUDAN-NONAULT a reçu la délégation de la CEA conduite Monsieur Jean Paul ADAM

La République du Congo organise du 1er au 5 mars 2021 au Centre de Conférence  International de Kintélé, en partenariat avec la Commission Economique des Nations-Unies pour l’Afrique (CEA) et sous le Très haut patronage de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, la 7ème session du Forum Régional
Africain pour le Développement Durable.

Dans le cadre des préparatifs de ces assises, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a accordé une audience, ce 18 janvier 2021 à 12heures à l’hôtel PEFACO MAYA-MAYA, à la délégation de la CEA conduite par Monsieur Jean Paul ADAM, Directeur de la division Changement Climatique et de ‘a gestion des ressources naturelles au sein de cette structure onusienne, en présence de Monsieur Christ MBURU, Coordonateur du Système des Nations-Unies au Congo.

Ce forum a pour objectif d’examiner les progrès accomplis par l’Afrique, de partager les expériences et les enseignements tirés de la mise en œuvre du programme de développement durable à l’horizon 2063 de l’Union Africaine.

One Planet Summit sur la Biodiversité : La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, a représenté la République du Congo

En partenariat avec l’Organisation des Nations Unies et la Banque Mondiale, la République Française a organisé ce 11 janvier 2021 à Paris, le One Planet Summit sur la Biodiversité, lequel a connu la participation de plusieurs Chefs d’Etat et de Gouvernement, des leaders d’organisations internationales ainsi que des responsables d’Entreprises et de la société civile.

Ce sommet ouvert par le Président Français Emanuel MACRON, a été une occasion de relever le niveau de l’ambition de la communauté internationale sur la protection de la nature, tout en répondant aux nouvelles questions posées par la crise.

Au nom de Son Excellence Monsieur Denis SASSOU-N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, la Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordonnatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo Arlette SOUDAN-NONAULT a représenté la République du Congo, à ce Sommet qui a été une véritable opportunité pour le Congo de veiller à la prise en compte effective de la problématique du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique de la planète qui regorge 10% de la biodiversité mondiale, de la gestion durable des tourbières de la Cuvette Centrale, ainsi que du Fonds Bleu, instrument financier de la Commission Climat du Bassin du Congo, avant la COP 26 de Glasgow.