Opportunités : Recrutement d’un cabinet charge de l’évaluation des candidatures pour la sélection du personnel statutaire de la COMIFAC

La Commission des Forêts d’Afrique Centrale est l’institution sous-régionale de référence en matière d’harmonisation des politiques forestières et environnementales en Afrique Centrale. Elle a été instituée en 2005 par la signature du Traité relatif à la conservation et à la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale et instituant la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC). Organisation intergouvernementale regroupant les dix (10) pays d’Afrique Centrale que sont le Burundi, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Congo, la République Démocratique du Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad. La COMIFAC a pour mandat d’orienter, de coordonner et de prendre des décisions sur les actions et initiatives sous-régionales dans le domaine de la conservation et de la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale.

Pour son fonctionnement, la COMIFAC s’est dotée de trois (03) organes dont le Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement, le Conseil des Ministres et le Secrétariat Exécutif – organe d’exécution avec mandat d’assurer la coordination de la mise en œuvre des activités de la COMIFAC et d’applique les décisions du Conseil des Ministres. C’est à ce titre que le Secrétariat Exécutif assure la coordination, la supervision et/ou le suivi opérationnel des projets, programmes d’appui ainsi que leurs plans d’actions sous-régionaux dont les résultats contribuent à la mise en œuvre du Plan de Convergence – cadre de planification stratégique sous régional dont la première édition a été adoptée en février 2006 par les Chefs d’Etat pour une période de dix (10) ans.

Conformément aux dispositions de l’article 13 du traité de la COMIFAC, le Secrétaire Exécutif, le Secrétaire Exécutif Adjoint-Coordonnateur Technique et le Directeur Administratif et Financier, sont nommés par le Conseil des Ministres, sur proposition du Ministre en charge des forêts et /ou de L’environnement du pays dont est issu chaque candidat.
Le personnel statutaire actuellement en poste, ayant pris fonction en janvier 2017, son mandat arrive à échéance au 31 décembre 2Q20. Les vacances à ces postes ont été publiées conformément aux dispositions des Articles 30, 31 et 33 du Règlement Intérieur qui stipulent  respectivement que :
« Six (06) mois avant l’expiration du mandat du Secrétaire Exécutif le Président en exercice adresse un avis de vacance de poste à tous les Etats membres de la COMIFAC, via les Ministres en charge des Forêts et/ou de L’Environnement. »
« En vue de la sélection au poste de Secrétaire Exécutif, chaque Ministre en charge des forêts et/ou de l’environnement est tenu de transmettre trois dossiers de candidature maximum au Conseil des Ministres. Le candidat retenu est désigné par les Ministres au cours du Conseil considéré. »
« Six mois avant l’expiration du mandat du Secrétaire Exécutif Adjoint et du Directeur Administratif et Financier, le Secrétaire Exécutif adresse un avis de vacance de poste aux Gouvernements des Etats membres, représentés par les Ministres en charge des Forêts et/ou de l’environnement ».
En vue de faciliter le processus de désignation du personnel statutaire du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC, le Conseil des Ministres lors de sa Session extraordinaire, du 12 mai 2016 à Kinshasa a décidé de faire analyser les candidatures aux postes du personnel statutaire par un cabinet spécialisé en matière de recrutement.
1. Description de la mission
1.1 Objectifs de la mission
La mission du Consultant consiste à l’évaluation, sur la base des profils indiqués dans le Statut du personnel de la COMIFAC, des candidatures envoyées par les pays pour les trois postes statutaires à savoir : Secrétaire Exécutif, Secrétaire Exécutif Adjoint-Coordonnateur Technique et Directeur Administratif et Financier.
Cette évaluation permettra de fournir un avis sur les dossiers de candidatures et procéder au classement des candidats pour chaque poste suivant l’ordre de mérite des candidats. Les points forts et les points faibles des candidats devront être relevés par le consultant. De même, des recommandations pour d’éventuels éclaircissements pouvant guidés les décisions des Ministres sur le choix des candidats devront être faites par le consultant…

 

 

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Opportunités : recrutement d’un cabinet chargé de la révision des textes fondamentaux de la COMIFAC.

1. La Commission des Forêts d’Afrique Centrale est l’institution sous-régionale de référence en matière d’harmonisation des politiques forestières et environnementales en Afrique Centrale.
Elle a été instituée en 2005 par la signature du Traité relatif à la conservation et à la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale et instituant la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) Organisation intergouvernementale regroupant les dix (10) pays d’Afrique Centrale que sont le Burundi, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Congo, la République Démocratique du Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le  Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad. La COMIFAC a pour mandat d’orienter, de coordonner et de prendre des décisions sur les actions et initiatives sous-régionales dans le domaine de la conservation et de la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale.

2. Pour son fonctionnement, la COMIFAC s’est dotée de trois (03) organes (Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement, Conseil des Ministres et Secrétariat Exécutif), dont les missions sont définies dans le Traité. Lors de la 4è' » session ordinaire du Conseil des Ministres en charge des forêts et de l’environnement (Organe de décision) tenue le 21 septembre 2006 à Malabo en Guinée Equatoriale, les Ministres ont instruit le Secrétariat Exécutif (Organe d’exécution) de finaliser le Règlement intérieur de la COMIFAC et les Statuts du personnel du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC, afin de permettre une meilleure lisibilité de son organigramme. Ces documents qui définissent les modalités d’organisation et de fonctionnement des organes de la COMIFAC ainsi que de gestion de son personnel, ont été adoptés par le Conseil des Ministres lors de sa session extraordinaire tenue le 27 octobre 2008 à Brazzaville au Congo. D’autres documents juridiques, élaborés et adoptés concomitamment ou postérieurement au Règlement intérieur de la COMIFAC, notamment l’organigramme, le document descriptif du profil des postes et des missions du personnel, les annexes du Statut du personnel du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC, ainsi que le Manuel des procédures administratives comptables et financières, complètent l’arsenal des textes juridiques de la COMIFAC dédiés à son fonctionnement.
Au fil du temps, la mise en oeuvre de ces différents instruments a révélé des manquements et incohérences par rapport au Traité instituant la COMIFAC. C’est à cet effet, que le Secrétariat Exécutif se propose de financer les services d’un cabinet de prestation pour « la révision des textes fondamentaux de la COMIFAC »

3. Description de la prestation : l’objectif général de la mission est de procéder à la révision du  i) Traité relatif à la conservation et à la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique Centrale et instituant la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC), ii) des Statuts du personnel du Secrétariat Exécutif de la COMIFAC et iii) du Règlement intérieur de la COMIFAC et du Règlement intérieur du Conseil des Ministres de la COMIFAC…

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Opportunités – CDN : Appels à candidature

Location :CONGO
Application Deadline :20-Sep-20 (Midnight New York, USA)
Time left :5d 20h 53m
Type of Contract :Individual Contract
Post Level :National Consultant
Languages Required :
English   French
Starting Date :
(date when the selected candidate is expected to start)
25-Sep-2020
Duration of Initial Contract :4 mois
Expected Duration of Assignment :4 mois

 

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Contexte

Les changements climatiques représentent l’une des plus grandes menaces à laquelle l’humanité est confronté de nos jours. Ils se caractérisent par une accentuation des phénomènes climatiques extrêmes tel que les ouragans, les tsunamis, les sécheresses, les plus diluviennes qui engendrent des inondations, des érosions ou des glissements de terrain.

Ces phénomènes extrêmes ont des conséquences néfastes sur les populations et les écosystèmes et menacent à terme non seulement le cadre de vie et la sécurité alimentaire mais en définitive la survie même des hommes sur terre. Dans la perspective de lutter efficacement contre les changements climatiques, la Communauté Internationale réuni à Rio de Janeiro en 1992, au Brésil, à l’occasion du Sommet des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement a mis en place trois Conventions dite Convention de Rio parmi lesquelles figure la Convention Cadre de Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC).

La République du Congo a ratifié la Convention Cadre des Nations sur les Changements Climatiques en 1996 et le Protocole de Kyoto visant la réduction des Gaz à effet de Serre en 2007.

Couvert à plus de 65% de Forêts, le Congo s’est très tôt engagé dans la gestion durable de ses ressources naturelles et de son environnement à travers la mise en place d’une législation et de politique en la matière. Ainsi, grace à l’aménagement forestier le Congo figure parmi les pays à faible taux de déforestation de l’ordre de 0,052% et compte 17 aires protégées représentant 13% du territoire national.

Adopté en 1996, le Plan National d’Action pour l’Environnement (PNAE) constitue le cadre référentiel pour la gestion durable de son patrimoine environnemental. Cet exercice de planification a joué un rôle central dans l’identification de la vulnérabilité du pays face aux effets du changement climatique. Le PNAE a été révisé en 2018 afin de laligner aux nouveaux enjeux nationaux et internationaux dans le domaine.

Ces dernières années, le pays a renforcé les mécanismes de gestion durable de son environnement et de ses écosystèmes forestiers, notamment par l’élaboration de sa stratégie Nationale REDD+ et sa Stratégie Nationale de Développement Durable.

Toutefois, bien qu’il n’émette qu’environ 1,7 T de CO2 par habitant et par an, le Congo subit déjà les effets du changement climatique. Cette vulnérabilité est aggravée par de multiples contraintes biophysiques qui sont des entraves au développement, ainsi que par la faiblesse de ses capacités d’adaptation.

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Location :CONGO
Application Deadline :20-Sep-20 (Midnight New York, USA)
Time left :5d 20h 53m
Type of Contract :Individual Contract
Post Level :National Consultant
Languages Required :
English   French
Starting Date :
(date when the selected candidate is expected to start)
25-Sep-2020
Duration of Initial Contract :4 mois
Expected Duration of Assignment :4 mois
Les changements climatiques représentent l’une des plus grandes menaces à laquelle l’humanité est confronté de nos jours. Ils se caractérisent par une accentuation des phénomènes climatiques extrêmes tel que les ouragans, les tsunamis, les sécheresses, les plus diluviennes qui engendrent des inondations, des érosions ou des glissements de terrain.

Ces phénomènes extrêmes ont des conséquences néfastes sur les populations et les écosystèmes et menacent à terme non seulement le cadre de vie et la sécurité alimentaire mais en définitive la survie même des hommes sur terre. Dans la perspective de lutter efficacement contre les changements climatiques, la Communauté Internationale réuni à Rio de Janeiro en 1992, au Brésil, à l’occasion du Sommet des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement a mis en place trois Conventions dite Convention de Rio parmi lesquelles figure la Convention Cadre de Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC).

La République du Congo a ratifié la Convention Cadre des Nations sur les Changements Climatiques en 1996 et le Protocole de Kyoto visant la réduction des Gaz à effet de Serre en 2007.

Couvert à plus de 65% de Forêts, le Congo s’est très tôt engagé dans la gestion durable de ses ressources naturelles et de son environnement à travers la mise en place d’une législation et de politique en la matière. Ainsi, grace à l’aménagement forestier le Congo figure parmi les pays à faible taux de déforestation de l’ordre de 0,052% et compte 17 aires protégées représentant 13% du territoire national.

Adopté en 1996, le Plan National d’Action pour l’Environnement (PNAE) constitue le cadre référentiel pour la gestion durable de son patrimoine environnemental. Cet exercice de planification a joué un rôle central dans l’identification de la vulnérabilité du pays face aux effets du changement climatique. Le PNAE a été révisé en 2018 afin de laligner aux nouveaux enjeux nationaux et internationaux dans le domaine.

Ces dernières années, le pays a renforcé les mécanismes de gestion durable de son environnement et de ses écosystèmes forestiers, notamment par l’élaboration de sa stratégie Nationale REDD+ et sa Stratégie Nationale de Développement Durable.

Toutefois, bien qu’il n’émette qu’environ 1,7 T de CO2 par habitant et par an, le Congo subit déjà les effets du changement climatique. Cette vulnérabilité est aggravée par de multiples contraintes biophysiques qui sont des entraves au développement, ainsi que par la faiblesse de ses capacités d’adaptation.

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Opportunités-CDN Congo : Recrutement de trois (03) Consultants

Dans le cadre de l’initiative « Climate Promise », ou Promesse Climatique, nous recherchons trois consultants pour coordonner le processus de révision de la CDN du Congo et veiller à ce que les objectifs de la Promesse Climatique soient atteints.

Description des missions :

1- Consultant(e) National(e) Chargé(e) de la Coordination de la révision de la Contribution Déterminée Nationale (CDN) de la République du Congo.

2- Consultant International chargé de la révision de la section relative à l’adaptation aux changements climatiques dans la Contribution Déterminée au niveau Nationale (CDN) de la République du Congo.

3- Consultant International chargé d’aider à la révision la Contribution Déterminée Nationale (CDN) en matière d’atténuation des mesures pour lutter contre les effets du Changement climatique.

Durée des missions : 4 mois.

Les termes de référence de la mission sont disponibles à travers le lien suivant :

Mission 1 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93625

Date limite : 15 septembre 2020

Mission 2 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93626

Date limite : 21 septembre 2020

Mission 3 : https://jobs.undp.org/cj_view_job.cfm?job_id=93627

Date limite : 15 septembre 2020

Les propositions doivent être soumises en ligne.

Toute demande de clarification devra se faire par écrit. L’unité chargée des achats répondra par écrit ou par courrier électronique standard et des copies de cette réponse seront envoyées à tous les candidats en intégrant les explications faisant suite à la demande de clarification faite sans que la source ne soit précise.

 

Les candidatures féminines sont vivement encouragées.

                                                                                                           

 Brazzaville, le 31 août 2020

 

                                                                                                 

ECOFAC6 : Appel à candidature pour les Bourses d’études financé par l’Union Européenne et le gouvernement allemand au cycle B de l’Ecole de faune de Garoua (EFG), Garoua, Cameroun Promotion 2020-2022

Contexte 

Les forêts du Bassin du Congo s‘étendent sur plus de 200 millions d’hectares et constituent le second massif forestier tropical du monde après le Bassin de l’Amazonie avec une biodiversité très riche et unique.

Plus de 65 millions d’habitants dépendent directement ou indirectement des ressources forestières. Les bois précieux tropicaux du Bassin du Congo font partie des exportations régionales les plus importantes. Ainsi, ces forêts avec leur riche biodiversité constituent pour les pays de l’Afrique Centrale un secteur économique essentiel : elles pourvoient des emplois ; elles sont une base importante pour l’exportation des produits des écosystèmes forestiers et génèrent de ce fait les devises et les recettes fiscales.

A côté de leur fonction traditionnelle qui consiste à assurer la subsistance à une immense population, les forêts du Bassin du Congo jouent un rôle important à l’échelle planétaire, celui de la conservation de la biodiversité et de la régulation du climat mondial.

Néanmoins, le manque de personnel qualitativement formé pour la conservation et la gestion durable de ces forêts et leur biodiversité, l’utilisation des méthodes qui ne favorisent pas une exploitation durable des forêts, l’abattage incontrôlé et très souvent illégal du bois, l’implantation des industries extractives, le braconnage massif, la poussée démographique, la pauvreté, l’absence de sources alternatives de revenus pour les populations rurales et la faible valorisation des ressources forestières sont les causes les plus importantes de la destruction et de la dégradation progressives des forêts ainsi que de la disparition de la biodiversité.

La formation s’avère un élément central pour toute action de développement durable et vu le rôle des forêts et de la biodiversité dans l’économie des pays du Bassin du Congo, un investissement dans le développement durable nécessite aussi un investissement dans la formation forestière et environnementale. Ainsi la formation forestière et environnementale étant au cœur de la gestion durable des forêts et de la biodiversité, le Réseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale en Afrique Centrale (RIFFEAC) créé en 2001 fédère et organise les institutions de formation et soutient la COMIFAC dans sa vision de gestion durable et concertée des ressources forestières de la sous-région pour le bien-être des populations, la conservation de la diversité biologique et la sauvegarde de l’environnement mondial. Le RIFFEAC a ainsi la charge de la mise en œuvre de l’axe transversal 1 du plan de convergence de la COMIFAC qui concerne la formation et le renforcement des capacités. La gestion des aires protégées est une tâche de plus en plus exigeante et diverse.

De nos jours, les directeurs, gestionnaires, le personnel et les intendants des aires protégées sont censés avoir des compétences, aptitudes, connaissances et qualités spécifiques entre autres en :

1. Planification, Gestion et Administration afin d’assurer une gouvernance et gestion efficaces, effectives et équitables

2. Gestion Appliquée des Aires Protégées afin d’appliquer des compétences techniques spécialisées à la gestion d’une aire protégée.

3. Compétences personnelles générales nécessaires pour travailler dans une aire protégée, mais aussi et surtout pour les cadres compétences personnelles avancées afin de pouvoir faire preuve d’aptitudes et de comportement exigés pour une performance et direction efficaces.

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