Termes de référence pour la réalisation de l’audit financier du projet exercices comptables 2023 et 2024
Brazzaville, République du Congo : la troisième contribution déterminée au niveau national attendue avant octobre 2025
La ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo (MEDDBC), Arlette Soudan Nonault, a lancé officiellement le processus de révision de la troisième contribution déterminée au niveau national (CDN 3.0) de la République du Congo, ce mardi 27 mai 2025, à Brazzaville. Cette démarche vise à renforcer l’ambition climatique de la République du Congo en intégrant les dernières données scientifiques et en alignant ses engagements sur la neutralité carbone d’ici 2050.
Soutenu par l’initiative pour les forêts d’Afrique Centrale (CAFI) à travers l’UNOPS et la FAO, dans le cadre de la mise en œuvre de la lettre d’intention signée entre la République du Congo et CAFI, ainsi que par des appuis complémentaires de la délégation de l’Union Européenne et de l’UNICEF, le processus de révision de la CDN a été lancé dans un contexte de mobilisation inclusive et participative des parties prenantes.
Lors de cet événement, la ministre Arlette Soudan Nonault a précisé devant une délégation du Royaume-Uni, conduite par Ruth Davis OBE, première représentante spéciale du Royaume-Uni pour la nature, ainsi que des représentants du gouvernement, du secteur privé, de la société civile, des jeunes et d’autres partenaires techniques, que cette nouvelle édition de la CDN 3.0 est attendue par la communauté internationale avant octobre 2025. Plus qu’un simple engagement, cette phase représente pour les pays en développement une opportunité pour la planification du développement, faisant de l’action climatique un levier de diversification et de modernisation du tissu industriel et socio-économique.
« La CDN 3.0 permettra d’aligner assurément nos objectifs climatiques sur nos priorités de développement, de mobiliser les financements innovants et les technologies appropriées en vue de renforcer notre résilience climatique et faire de notre action climatique un pivot de notre développement durable. Il est vrai qu’en termes d’actions, nous avons encore du chemin à faire face à la multitude de défis climatiques et des contraintes multifactoriels auxquels notre pays fait face. Toutefois, il est important de souligner que malgré ces difficultés, la CDN 2021 commence à porter ses fruits. Nous pouvons citer, par exemple, la consolidation de la politique de gestion durable des forêts à travers la protection des tourbières, un écosystème déterminant dans la régulation du système climatique global, » a affirmé Arlette Soudan Nonault dans son discours.
Cependant, face aux défis actuels, les autorités congolaises sont conscientes qu’elles doivent redoubler d’efforts. La CDN 3.0 doit permettre de renforcer les ambitions en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pour ce faire, les gouvernants doivent caractériser les données afin de prendre des engagements sectoriels éclairés et stratégiques, susceptibles de faciliter la mobilisation de financements et d’assurer le respect de l’engagement de la République du Congo pour le climat. La CDN 3.0 devra également incarner la justice climatique en associant les peuples autochtones et les communautés locales vulnérables aux décisions qui en découleront. Elle devra par ailleurs générer des bénéfices pour le développement local et communautaire, en assurant la résilience et la sécurité physique, sanitaire et alimentaire des populations. Enfin, elle devra s’inscrire dans une dynamique de financement innovant, conjuguant ressources nationales, internationales et privées, avec comme fil conducteur la transition juste.
« L’un des points clés de l’Initiative des forêts d’Afrique Centrale (CAFI) est le soutien à la révision de la Contribution déterminée au niveau national, qui est une priorité pour combattre la déforestation. La Contribution déterminée au niveau national est un projet ambitieux qui s’harmonise avec les cadres existants, tels que la lettre d’intention signée avec le CAFI et la stratégie de REDD+, ainsi que le Plan de développement durable qui incorpore des données. Nous savons aussi que la Contribution déterminée au niveau national est un outil mobilisateur de financements. Pendant mon séjour à Brazzaville, j’ai eu l’occasion de rencontrer la société civile et les peuples autochtones. Je suis très impressionnée par le fait que la République du Congo inclue cette couche de la population dans ses programmes, ce qui constitue un atout important pour le développement des politiques climatiques, » a déclaré Ruth Davis OBE lors de son discours.
Les Contributions Déterminées au Niveau National sont des plans d’action climatiques nationaux, soumis par chaque pays avant la COP21, qui décrivent les actions pour réduire les émissions et renforcer la résilience au changement climatique. Elles constituent le fondement de l’Accord de Paris, démontrant les intentions des pays en matière de décarbonisation et d’adaptation aux changements climatiques. En lançant officiellement son processus de révision de la CDN 3.0, la République du Congo a ainsi affirmé l’engagement de ses gouvernants dans la mise en œuvre de l’Accord de Paris.
Source : https://24newsagency.com/
La République du Congo réaffirme son devoir de protéger la vie humaine, les biens et l’environnement
C’est le message délivré au nom du Gouvernement par la Ministre de l’environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan Nonault, à l’occasion de la célébration de la journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes, le 13 octobre 2024.
Le gouvernement poursuivra ses efforts pour garantir aux générations futures un environnement sain, sûr, prospère et résilient.
La formation et l’éducation ont été présentées par le Gouvernement comme les piliers d’une génération prête à affronter les défis du futur. A cet effet, il faut éduquer et sensibiliser les jeunes aux enjeux climatiques et aux risques de catastrophe afin de les préparer à anticiper à prévenir et à réagir face aux crises.
Par ailleurs, la stratégie nationale pour la préservation et la réduction des risques de catastrophes en cours de finalisation avec l’appui technique et financier du PNUD, vise à renforcer la résilience des communautés locales.
Face aux catastrophes, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT appelle aussi à une solidarité nationale et internationale renforcée.
Les Etats africains face aux défis environnementaux et de développement durable
Débutée le 8 octobre 2024 à Brazzaville sous le haut patronage du Premier Ministre, Chef du gouvernement, Monsieur Anatole Collinet Makosso, l’Assemblée générale ordinaire de l’Union des Conseils Économiques et sociaux des institutions similaires d’Afrique (UCESA), couplée à la conférence sur les enjeux environnementaux et développement durable en Afrique, a servi de cadre d’expression le 9 octobre à Madame la Ministre de l’environnement, du développement durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Madame #Arlette SOUDAN-NONAULT, par visioconférence, afin d’identifier des solutions pour un avenir résilient.
Dans son adresse, la Ministre a rappelé que, face aux graves crises environnementales et climatiques, les Etats Africains doivent s’interroger sur comment parvenir à l’atteinte des objectifs du développement durable à l’horizon 2030? Comment réaliser l’agenda 2063 de l’Union Africaine ?.
Elle a en Outre rappelé les efforts déployés par la République du Congo en matière de développement durable à travers une politique qui s’applique à travers les parcs nationaux, les aires protégées, les concessions forestières , les écosystèmes des tourbières, la promotion de l’écotourisme, la lutte contre les catastrophes naturelles, la contribution déterminée au niveau national (CDN), la liste n’est pas exhaustive.
Pour la Ministre, notre développement n’attendra pas que l’on sauve le climat et l’Afrique ne restera pas pauvre pour que le monde puisse respirer.
Cette session ouverte par Madame #Emilienne RAOUL, Présidente du CESE du Congo, a été également l’occasion pour le Président de L’UCESA, Monsieur Ahmed Reda CHAMI, de revenir sur les enjeux de cette assemblée et les objectifs à atteindre à court ou long terme afin de co-construire les politiques résilientes et des besoins réels des citoyens africains.
Cette assemblée générale est une initiative de l’UCESA en partenariat avec la fondation MERI et autres partenaires techniques et financiers.





La Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT invite les populations à multiplier des gestes responsables pour préserver la couche d’ozone
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Au nom du gouvernement, la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo a invité les populations
à multiplier des gestes responsables de préservation de la couche d’ozone, à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la protection de la couche d’ozone, le 16 septembre 2024 sous le thème « Protocole de Montréal: restaurer la couche d’ozone et réduire le changement climatique ».
Cette barrière protectrice et filtrante des rayons ultraviolets du soleil, a t-elle rappelé, est malheureusement affectée par des substances qui l’appauvrissent, d’où l’urgence de la protéger par nos actions responsables, notamment en évitant l’utilisation des aérosols contenant des gaz nocifs comme les hydrofluorocarbures et les halons ainsi que celle du bromure de méthyl dans les pesticides et les produits de traitement du bois.
Aussi, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a précisé que la guérison de la couche d’ozone ne dépend pas que de l’application réussie par 198 pays du protocole de Montréal et de l’amendement de Kigali, mais aussi de la capacité de tous à se comporter en gardiens de l’environnement.
La Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo appelle à l’unité commune pour venir à bout de la pollution atmosphérique
Télécharger le texte de la déclaration en cliquant ici
Le gouvernement de la République du Congo a rendu publique sa déclaration lue par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT à l’occasion de la journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus, célébrée le 7 septembre de chaque année. Déclaration au cours de laquelle elle a invité les pouvoirs publics, les communautés locales, les organisations internationales et régionales à s’unir dans le but de venir à bout de la pollution atmosphérique.
Dans son adresse, la Ministre a rappelé que la pollution est un tueur silencieux et un tueur efficace et nuisible à la santé, au climat et un frein au développement durable avant de rappeler les principales causes de cette pollution tant à l’échelle planétaire que nationale.
La République du Congo sous l’impulsion du Président Denis SASSOU N’GUESSO, Premier Écologiste du Bassin du Congo, s’attelle à élaborer des outils en vue de formuler des politiques, des normes, des plans et des réglementations en matière de qualité de l’air, a t-elle conclu.
Avec pour thème « Unissons-nous et investissons dans de l’air pur maintenant pour des changements transformateurs », cette journée instituée en 2019 par l’Assemblée générale des Nations-Unies, est une nouvelle opportunité de sensibilisation des populations sur les problèmes de pollution atmosphérique.
CONGO-MAROC: Signature d’un mémorandum d’entente dans le domaine de l’environnement et du développement durable
A l’occasion de sa tournée dans les pays de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) Madame la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Envoyée Spéciale du Président de la République, Chef de l’Etat, Président de ladite Commission, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT a signé le 27 août 2024, avec son Homologue la Ministre de la Transition Energétique et du Développement Durable du Maroc, Madame Leila BENALI, un Mémorandum d’entente de coopération dans le domaine de l’environnement et du développement durable .
Ce Mémorandum d’entente entre les Gouvernements de la République du Congo et du Royaume du Maroc permettra notamment de renforcer la gestion intégrée des zones côtières, celle de l’assainissement ainsi que la gestion intégrée des déchets.
La mise en œuvre de ce mémorandum sera assurée par un comité de suivi composé de responsables, d’experts et de personnes ressources désignées conjointement par les deux Gouvernements.
A noter que cette signature du Mémorandum d’entente a été précédée d’une réunion et conférence de presse.












Le représentant de l’OMS a présenté officiellement son rapport de fin de mission en République du Congo à la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secretaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo(CCBC).
Après 5 ans de service à la tête de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) au Congo, M. Lucien MANGA, arrivé en fin de mandat, a fait ses adieux le 22 août 2024, à la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, #Arlette SOUDAN-NONAULT, a qui il a transmis officiellement son rapport de fin de mission en tant que Représentant de l’OMS au Congo.
Ce rapport de fin de mission porte sur * les différentes actions menées *dans plusieurs secteurs dont l’environnement.
Durant son mandat, #M. Lucien MANGA a travaillé étroitement avec Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, qui l’a chaleureusement remercié au nom du Gouvernement, pour les brillantes actions réalisées par son organisation sous leadership, notamment dans l’appui technique et financier dans la participation de la République du Congo et la CCBC, dont la présidence est assurée par le Congo, aux différentes COP ainsi qu’à l’opérationalisation la CCBC et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Le représentant de l’OMS quitte le Congo avec un sentiment de satisfaction de la collaboration étroite existante entre les secteurs santé et d’environnement.








CONGO-CHINE : En route pour le renforcement de la coopération au 9eme forum de la coopération Chine-Afrique (FOCAC)
Dans le cadre de la participation de la République du Congo, sous la très haute autorité du Président de la République, au 9 eme forum de la coopération Chine-Afrique (FOCAC) qui se tiendra du 4 au 6 Septembre prochain à Beijing en République Populaire de Chine, Madame #Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, qui assistera le Chef de l’Etat, a reçu en audience Son Excellence Madame Li Yan, Ambassadrice de Chine au Congo a rencontré, le 22 août 2024.
Au nombre des points abordés, le dossier de la coopération sino-congolaise dans le domaine de l’environnement et du développement durable, notamment le mémorandum d’entente que signeront les deux Gouvernements en présence des Chefs d’Etat, pour promouvoir d’avantage leur coopération et leur développement.
Dans ce cadre, la République Populaire de Chine avait apporté son soutien à la République du Congo qui assure la présidence de la Commission Climat du Bassin du Congo, en envoyant une haute délégation au Sommet des trois bassins des écosystèmes de biodiversité et des forêts tropicales, tenu à Brazzaville en octobre dernier, a rappelé la diplomate chinoise.





