L’Ambassadeur de l’Union Européenne en République du Congo, Madame Anne MARCHAL était en visite de courtoise au Ministère de l’environnement, du développement durable et du bassin du Congo le 2 décembre dernier.
Les échanges entre Madame la Ministre et l’Ambassadeur de l’Union Européenne, nouvellement entrée dans ses fonctions, ont essentiellement porté sur la feuille de route de collaboration entre le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo et l’Union Européenne. Cet entretien a été l’occasion pour Madame la Ministre de mentionner les attentes de son ministère vis-à-vis de l’Union Européenne. Au terme de cette rencontre, Madame Anne MARCHAL a pris note des désirs de Madame la Ministre et entend s’impliquer pour renforcer encore plus la coopération l’Union européenne et le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo.
Les États-Unis d’Amérique vont poursuivre à leur action de soutien aux efforts de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) dans sa mission de promotion de la culture environnementale au niveau de la région du Bassin du Congo.
« Les États Unis d’Amerique sont le plus grand investisseur au monde en matière d’environnement, de climat et de biodiversité et protéger le trésor de l’humanité qu’est le Bassin du Congo, est l’une des grandes priorités des États-Unis », a déclaré l’Ambassadeur Eugène Young, à l’occasion de la visite, ce 4 novembre 2024, de la Radio Télévision du Bassin du Congo, située en plein cœur du centre ville de Brazzaville.
Le diplomate américain a affirmé être impressionné et très satisfait de l’état d’avancement de ce projet régional, à travers l’action de la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, sous l’impulsion du Président de la République, Chef de l’Etat, President de la CCBC, SEM Denis SASSOU – N’GUESSO.
L’Etat Congolais par l’entremise de la Télévision Nationale Congolaise (Télé-Congo) va également apporter son appui technique à la RTBC, a déclaré son Directeur Général, André ONDELE. La protection de l’environnement étant au cœur des enjeux planétaires, le DG de Télé -Congo a réaffirmé son engagement de porter haut la voix de l’environnement ce dans le cadre du partenariat entre les deux institutions.
Pour rappel, regroupant 17 pays de l’Afrique centrale et de l’Est, la CCBC dont la présidence est assurée par la République du Congo, est, à côté de la Commission Climat pour la Région du Sahel, présidée par la République du Niger et la Commission Climat pour les Etats Insulaires, présidée par la République des Seychelles, une institution de l’Union africaine dont la création a été entérinée lors de la 28ème Session ordinaire de la Conférence de l’Union Africaine, tenue les 30 et 31 janvier 2017 à Addis-Abeba en Ethiopie, dans sa décision intitulée « Décision sur l’engagement de l’Afrique aux négociations mondiales sur le changement climatique à la CoP22 » (Doc. Assembly/AU/9(XXVIII).
Elle a pour objet d’accélérer la mise en œuvre de la transition climatique et de la transformation économique du Bassin du Congo dans une logique de développement durable.
C’est sous le patronage de la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT que s’est ouvert ce 22 octobre 2024 à Brazzaville, l’atelier de lancement de la préparation du rapport biennal de transparence (BTR) et du premier rapport biennal actualisé ( BUR 1) pour la mise à jour et la clarification sur le cadre de transparence renforcé.
En tant qu’ Etat partie de la Convention Cadre des Nations-Unies sur le Changement Climatique, la République du Congo est tenue de fournir périodiquement des rapports sur les émissions de gaz à effet de serre et les mesures pour les atténuer, a-t-elle rappelé avant de repréciser le rôle crucial que jouent le BUR et BTR 1 dans ce processus.
En outre la Ministre a encouragé les parties prenantes à faire preuve d’un esprit de collaboration, d’ouverture et de pragmatisme tout au long de cet atelier afin de soumettre des rapports de grande qualité, en phase avec les ambitions nationales et les exigences internationales.
Pour sa part, le Coordonnateur du projet TCN/BTR et BUR 1, Monsieur Félix KOUBOUANA, a déclaré que l’année 2024 constitue un moment charnière pour la mise en œuvre du cadre de transparence renforcé (ETF) au titre de l’accord de Paris, puisque les pays de la CEEAC devront soumettre leurs premiers rapports biennaux de transparence (BTR) et les rapports d’inventaire nationaux au plus tard le 31 décembre 2024.
Le BTR et le BUR 1 permettent de faire le point sur les émissions de gaz à effet de serre et les efforts d’atténuation, mais aussi d’attirer l’attention sur les besoins financiers, techniques et humains nécessaires à la mise en oeuvre de nos engagements climatiques.
C’est le message délivré au nom du Gouvernement par la Ministre de l’environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan Nonault, à l’occasion de la célébration de la journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes, le 13 octobre 2024.
Le gouvernement poursuivra ses efforts pour garantir aux générations futures un environnement sain, sûr, prospère et résilient.
La formation et l’éducation ont été présentées par le Gouvernement comme les piliers d’une génération prête à affronter les défis du futur. A cet effet, il faut éduquer et sensibiliser les jeunes aux enjeux climatiques et aux risques de catastrophe afin de les préparer à anticiper à prévenir et à réagir face aux crises.
Par ailleurs, la stratégie nationale pour la préservation et la réduction des risques de catastrophes en cours de finalisation avec l’appui technique et financier du PNUD, vise à renforcer la résilience des communautés locales.
Face aux catastrophes, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT appelle aussi à une solidarité nationale et internationale renforcée.
Débutée le 8 octobre 2024 à Brazzaville sous le haut patronage du Premier Ministre, Chef du gouvernement, Monsieur Anatole Collinet Makosso, l’Assemblée générale ordinaire de l’Union des Conseils Économiques et sociaux des institutions similaires d’Afrique (UCESA), couplée à la conférence sur les enjeux environnementaux et développement durable en Afrique, a servi de cadre d’expression le 9 octobre à Madame la Ministre de l’environnement, du développement durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Madame #Arlette SOUDAN-NONAULT, par visioconférence, afin d’identifier des solutions pour un avenir résilient.
Dans son adresse, la Ministre a rappelé que, face aux graves crises environnementales et climatiques, les Etats Africains doivent s’interroger sur comment parvenir à l’atteinte des objectifs du développement durable à l’horizon 2030? Comment réaliser l’agenda 2063 de l’Union Africaine ?.
Elle a en Outre rappelé les efforts déployés par la République du Congo en matière de développement durable à travers une politique qui s’applique à travers les parcs nationaux, les aires protégées, les concessions forestières , les écosystèmes des tourbières, la promotion de l’écotourisme, la lutte contre les catastrophes naturelles, la contribution déterminée au niveau national (CDN), la liste n’est pas exhaustive.
Pour la Ministre, notre développement n’attendra pas que l’on sauve le climat et l’Afrique ne restera pas pauvre pour que le monde puisse respirer.
Cette session ouverte par Madame #Emilienne RAOUL, Présidente du CESE du Congo, a été également l’occasion pour le Président de L’UCESA, Monsieur Ahmed Reda CHAMI, de revenir sur les enjeux de cette assemblée et les objectifs à atteindre à court ou long terme afin de co-construire les politiques résilientes et des besoins réels des citoyens africains.
Cette assemblée générale est une initiative de l’UCESA en partenariat avec la fondation MERI et autres partenaires techniques et financiers.
Au nom du gouvernement, la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo a invité les populations à multiplier des gestes responsables de préservation de la couche d’ozone, à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la protection de la couche d’ozone, le 16 septembre 2024 sous le thème « Protocole de Montréal: restaurer la couche d’ozone et réduire le changement climatique ».
Cette barrière protectrice et filtrante des rayons ultraviolets du soleil, a t-elle rappelé, est malheureusement affectée par des substances qui l’appauvrissent, d’où l’urgence de la protéger par nos actions responsables, notamment en évitant l’utilisation des aérosols contenant des gaz nocifs comme les hydrofluorocarbures et les halons ainsi que celle du bromure de méthyl dans les pesticides et les produits de traitement du bois.
Aussi, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT a précisé que la guérison de la couche d’ozone ne dépend pas que de l’application réussie par 198 pays du protocole de Montréal et de l’amendement de Kigali, mais aussi de la capacité de tous à se comporter en gardiens de l’environnement.
Le gouvernement de la République du Congo a rendu publique sa déclaration lue par la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT à l’occasion de la journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus, célébrée le 7 septembre de chaque année. Déclaration au cours de laquelle elle a invité les pouvoirs publics, les communautés locales, les organisations internationales et régionales à s’unir dans le but de venir à bout de la pollution atmosphérique.
Dans son adresse, la Ministre a rappelé que la pollution est un tueur silencieux et un tueur efficace et nuisible à la santé, au climat et un frein au développement durable avant de rappeler les principales causes de cette pollution tant à l’échelle planétaire que nationale.
La République du Congo sous l’impulsion du Président Denis SASSOU N’GUESSO, Premier Écologiste du Bassin du Congo, s’attelle à élaborer des outils en vue de formuler des politiques, des normes, des plans et des réglementations en matière de qualité de l’air, a t-elle conclu.
Avec pour thème « Unissons-nous et investissons dans de l’air pur maintenant pour des changements transformateurs », cette journée instituée en 2019 par l’Assemblée générale des Nations-Unies, est une nouvelle opportunité de sensibilisation des populations sur les problèmes de pollution atmosphérique.
A l’occasion de sa tournée dans les pays de la Commission Climat du Bassin du Congo (CCBC) Madame la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, Envoyée Spéciale du Président de la République, Chef de l’Etat, Président de ladite Commission, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT a signé le 27 août 2024, avec son Homologue la Ministre de la Transition Energétique et du Développement Durable du Maroc, Madame Leila BENALI, un Mémorandum d’entente de coopération dans le domaine de l’environnement et du développement durable .
Ce Mémorandum d’entente entre les Gouvernements de la République du Congo et du Royaume du Maroc permettra notamment de renforcer la gestion intégrée des zones côtières, celle de l’assainissement ainsi que la gestion intégrée des déchets.
La mise en œuvre de ce mémorandum sera assurée par un comité de suivi composé de responsables, d’experts et de personnes ressources désignées conjointement par les deux Gouvernements.
A noter que cette signature du Mémorandum d’entente a été précédée d’une réunion et conférence de presse.
Après 5 ans de service à la tête de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) au Congo, M. Lucien MANGA, arrivé en fin de mandat, a fait ses adieux le 22 août 2024, à la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la CCBC, #Arlette SOUDAN-NONAULT, a qui il a transmis officiellement son rapport de fin de mission en tant que Représentant de l’OMS au Congo.
Ce rapport de fin de mission porte sur * les différentes actions menées *dans plusieurs secteurs dont l’environnement.
Durant son mandat, #M. Lucien MANGA a travaillé étroitement avec Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, qui l’a chaleureusement remercié au nom du Gouvernement, pour les brillantes actions réalisées par son organisation sous leadership, notamment dans l’appui technique et financier dans la participation de la République du Congo et la CCBC, dont la présidence est assurée par le Congo, aux différentes COP ainsi qu’à l’opérationalisation la CCBC et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Le représentant de l’OMS quitte le Congo avec un sentiment de satisfaction de la collaboration étroite existante entre les secteurs santé et d’environnement.