Clôture de la deuxième Réunion du Comité de Pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo

Tourisme / Promotion GreenCongo : Mme Arlette SOUDAN-NONAULT a reçu l’athlète BATU Jennifer

Promouvoir la destination Green Congo par une visibilité portée par les stars de renommées internationales, figure parmi les grandes lignes de la stratégie promotionnelle mise en place par le Ministère du Tourisme et de l’environnement.

C’est dans ce cadre que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience l’athlète BATU Jennifer, qui fait la fierté du Congo.

Comptée désormais sur le podium africain au lancé de marteau, cette athlète qui a été troisième (3ème) aux jeux Africains de 2019, médaillée de Bronze au Championnat d’Afrique 2018, Championne de France, et qualifiée aux jeux olympiques 2020, a émis auprès de Madame la Ministre le vœu d’accompagner le Ministère dans la promotion de la destination Green Congo qui abrite les forêts du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.    

Promouvoir la destination Green Congo par une visibilité portée par les stars de renommées internationales, figure parmi les grandes lignes de la stratégie promotionnelle mise en place par le Ministère du Tourisme et de l’environnement.

C’est dans ce cadre que Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience l’athlète BATU Jennifer, qui fait la fierté du Congo.

Comptée désormais sur le podium africain au lancé de marteau, cette athlète qui a été troisième (3ème) aux jeux Africains de 2019, médaillée de Bronze au Championnat d’Afrique 2018, Championne de France, et qualifiée aux jeux olympiques 2020, a émis auprès de Madame la Ministre le vœu d’accompagner le Ministère dans la promotion de la destination Green Congo qui abrite les forêts du Bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial.    

Deuxième Réunion du Comité de Pilotage de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo

Les travaux de la deuxième réunion du comité de pilotage de l’étude de préfiguration du fonds bleu pour le bassin du Congo ont débuté ce 04 novembre à Brazzaville.

Conformément à la feuille de route de l’étude de préfiguration du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, l’objectif général de cette deuxième réunion du Comité de pilotage est de présenter et de valider les premiers rapports intermédiaires.

Il s’agira spécifiquement durant ces deux jours de :

  • De présenter la première version du pipeline des projets pour le Lot 1;
  • De présenter la première version des scénarii du véhicule financier et leurs schémas de gouvernance pour le lot 2 ;
  • De valider les premiers rapports intermédiaires ;
  • De formuler des orientations ou des recommandations pour la poursuite de l’étude.

Retrouvez :

  1. Discours d’ouverture de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT Ministre du Tourisme et de l’Environnement, Coordinatrice Technique de la Commission Climat du Bassin du Congo et du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo
  2. Mot de M. Maleye DIOP Représentant Résident du PNUD 

Le Fonds Bleu en vitesse de croisière

Trois ans après l’annonce de sa future création, le Fonds Bleu pour le bassin du Congo (F2BC) – instrument financier de la Commission Climat dudit bassin que dirige Denis Sassou Nguesso, le président congolais – surfe sur le thème de l’urgence environnementale mondiale. Sous la houlette de l’UA, cet outil de gouvernance regroupe seize pays d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Est. Comme l’ensemble des projets présentés par les États dans le domaine de l’économie bleue, il est piloté par le consortium Ernst & Young-Innpact, avec un financement allemand et l’appui du Maroc (Mohammed VI s’investit beaucoup dans ce dossier).

Selon nos informations, le deuxième sommet des chefs d’État membres du F2BC devrait se tenir à Brazzaville à la fin du premier semestre de 2020. La valorisation des projets présentés pourrait atteindre 5 à 7 milliards d’euros. « L’engouement des bailleurs de fonds est déjà perceptible », assure-t-on au sein de la coordination technique du Fonds.

Source : Jeune Afrique

Environnement-Climat : Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience le Directeur de l’Agence Française de Développement (AFD)

Ce jeudi 17 octobre 2019 à son cabinet de travail, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre Tourisme et de l’Environnement, a reçu en audience le Directeur de l’Agence Française de Développement (AFD) qui a conduit la mission de supervision des projets financés par cette agence dans différents secteurs.

Avec le département qu’a la charge la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT, il a été question faire l’état de lieu de la mise en oeuvre du Protocole de Coopération signé entre le Congo et la France le domaine de l’Environnement et du Climat. Les activités retenues dans le cadre de la facilité Adapt’Action et la problématique des tourbières ont été aussi au menu de cette séance de travail.

Risques de catastrophes : le Congo reste encore vulnérable

Source : adiac-congo.com

Le 13 octobre de chaque année, le monde célèbre la Journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes. A l’occasion de la célébration de cet événement, la ministre du Tourisme et de l’environnement, Arlette Soudan Nonault, a prononcé un message au nom du gouvernement congolais, indiquant que le pays n’était pas à l’abri de ces catostrophes.

Instituée par les Nations unies en 1989, la Journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes a été célébrée cette année sur le thème « Réduire les dommages causés par les catastrophes aux infrastructures et services de base ». L’objectif poursuivi est de sensibiliser les parties prenantes, aussi bien les gouvernants que la population, à la problématique de la réduction des risques de catastrophes. Il s’agit, ici, de renforcer la résilience des communautés à travers une compréhension accrue des phénomènes en présence et la préparation de réponses adaptées aux différents types de situation, a déclaré la ministre.

Pour Arlette Soudan Nonault, le thème de cette année interpelle à plus d’un titre, à l’heure où la récurrence des catastrophes naturelles causées par les tsunamis, les cyclones, les ouragans, les pluies diluviennes, se trouve exacerbée par le phénomène du changement climatique. Les différentes catastrophes naturelles auxquelles la planète a fait face, en 2018, ont engendré des pertes économiques évaluées à environ cent cinquante-cinq milliards de dollars et des pertes humaines d’environ onze mille morts.

La destruction des infrastructures essentielles, lors de la survenue d’une catastrophe, rend difficile l’accès aux soins de santé pour les personnes affectées, mais aussi le relèvement de la population qui se retrouve complètement démunie et durablement affectée, a-t-elle indiqué, ajoutant que le cyclone Idai, qui s’est abattu sur le Mozambique et le Zimbabwe en début d’année, a détruit près de 90% des infrastructures de la ville Beira au Mozambique et occasionné des milliers de morts. D’où, face à de tels phénomènes dévastateurs, la résilience doit être renforcée, non seulement de la population mais également des infrastructures, afin de minimiser les impacts des éventuelles catastrophes sur celles-ci, dans une perspective de développement durable des sociétés.

La solidarité comme meilleure protection

Le Congo, comme la plupart des pays de la sous-région, reste vulnérable aux catastrophes naturelles. Les dommages causés par les pluies diluviennes dans plusieurs départements ces dernières années ont engendré des érosions dans les grandes agglomérations, des inondations, des glissements de terrain, l’ensablement de certains quartiers. C’est ainsi que dans le cadre d’une action sous-régionale concertée, la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) a organisé, du 30 septembre au 4 octobre, à Kinshasa, la huitième plate-forme sous-régionale pour la réduction des risques de catastrophes, plate-forme à laquelle le Congo a été représenté par sa ministre du Tourisme et de l’environnement.

Cette grande rencontre, a expliqué Arlette Soudan Nonault, a permis aux pays de la CEEAC de faire le point sur la mise en œuvre du Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophes et renforcer la vision et les synergies dans ce domaine. C’est dans cette perspective qu’est envisagée la signature d’un protocole d’accord et d’un plan de contingence multirisques avec la République démocratique du Congo.

« La problématique de la réduction des risques de catastrophes nous concerne tous, à tous les échelons et tous les acteurs de la sphère nationale y sont impliqués. La préparation et la structuration d’une réponse adéquate face aux risques de catastrophes dans notre pays ont conduit le département ministériel dont j’ai la charge, à organiser, en juillet dernier, avec l’appui de la CEEAC, l’atelier de formation sur l’évaluation des besoins post-catastrophes et le Cadre de relèvement », a déclaré la ministre congolaise.

Cet atelier, a-t-elle poursuivi, a permis de renforcer les capacités des acteurs tant étatiques que non étatiques sur les moyens qui doivent être mis en place afin d’assurer une prise en charge appropriée de la population en cas de catastrophe. Les acteurs formés lors de cet atelier ont reçu des connaissances qu’ils devront vulgariser auprès des autres parties prenantes.

Au cours de l’année 2020, le département ministériel dont elle a la charge de diriger entend poursuivre le travail de sensibilisation des parties prenantes à la problématique de la réduction des risques de catastrophes et de mise en place du dispositif de structuration d’une politique cohérente dans ce domaine. C’est ainsi qu’elle a invité toutes les parties prenantes à travailler ensemble afin que personne ne soit laissé de côté,  » car face aux catastrophes naturelles, il n’est pas de meilleure protection que notre solidarité « , a conclu Arlette Soudan-Nonault.

Catastrophes naturelles : les congolais appelés à la résilience des communautés et à une solidarité

La lutte contre la réduction des risques de catastrophes est un défi mondial. D’où la prise de conscience par la communauté internationale en instituant la journée internationale pour la réduction de risques de catastrophes chaque le 13 octobre de chaque année. Au Congo, le gouvernement, par le biais de madame Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a fait une déclaration.

Cette journée instituée par les Nations Unies en 1989, a pour thème cette année « Réduire les dommages causés par les catastrophes aux infrastructures et services de base ». L’objectif poursuivi dans le cadre de cette célébration annuelle est de sensibiliser toute les parties prenantes aussi bien les Gouvernants que les populations à la problématique de la réduction des risques de catastrophes.

Une façon pour la communauté internationale, par les gouvernements du monde, y compris du Congo, à travers cette sensibilisation, « de renforcer la résilience des communautés à travers une compréhension accrue des phénomènes en présence et la préparation de réponses adaptées aux différents types de situation ». a déclaré Mme Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Pour la ministre du tourisme et de l’environnement, « le thème de cette année nous interpelle à plus d’un titre à l’heure où la récurrence des catastrophes naturelles causées par les tsunamis, les cyclones, les ouragans, les pluies diluviennes se trouve exacerbée par le phénomène du changement climatique ». Elle aussi démontré les conséquences néfastes que ces catastrophes causent au sein des populations : « Les différentes catastrophes naturelles, auxquelles la planète a fait face, en 2018, ont engendré des pertes économiques évaluées à environ 155 milliards de dollars et des pertes humaines évaluées à environ 11 000 morts ».

La santé des populations en danger permanent

Les catastrophes naturelles causent, non seulement les pertes en vie humaines et destructions des infrastructures, aussi la santé devient précaire. « La destruction des infrastructures essentielles, lors de la survenue d’une catastrophe, rend difficile l’accès aux soins de santé pour les personnes affectées, mais aussi le relèvement des populations qui se retrouvent complètement démuni et durablement affectées ». a déclaré Mme Arlette Soudan-Nonault.

A titre d’exemple, le cyclone Idai qui s’est abattu sur le Mozambique et le Zimbabwe en début d’année a détruit près de 90% des infrastructures de la ville Beira au Mozambique et occasionné de milliers de morts, renseigne la déclaration.

Il est également indispensable, face à de tels phénomènes dévastateurs, de renforcer la résilience non seulement des populations, mais également des infrastructures, afin de minimiser les impacts des éventuelles catastrophes sur celles-ci, dans une perspective de développement durable de nos sociétés.

Le Congo n’est pas à l’abri…

Consciente de la vulnérabilité de la plupart des pays de l’Afrique centrale, y compris la République du Congo, le gouvernement par la voix de la ministre du tourisme et de l’environnement, reconnait que les dommages causés par les pluies diluviennes dans plusieurs départements du Congo ces dernières années ont engendré des érosions dans les grandes agglomérations, des inondations, des glissements de terrain, l’ensablement de certains quartiers.

La problématique de la réduction des risques de catastrophes nous concerne tous, à tous les échelons et tous les acteurs de la sphère nationale y sont impliqués.

Renforcer la synergie

La 8ème Plateforme Régionale Afrique Centrale pour la Réduction des Risques de Catastrophes, organisée, du 30 Septembre au 4 Octobre 2019, à Kinshasa (RDC), plateforme à laquelle le Congo a été représenté par sa Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a permis aux pays membres de faire le point sur la mise en œuvre du Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe et de renforcer notre vision et nos synergies dans ce domaine.

Dans cette perspective, la République du Congo et la République Démocratique du Congo, envisagent la signature d’un protocole d’accord et d’un plan de contingence multirisques.

2020, l’année de sensibilisation

Dans sa déclaration, Mme Arlette Soudan-Nonault, a fait savoir que le travail de sensibilisation qui a commencé doit se poursuivre l’année prochaine : « Au cours de l’année 2020, mon département ministériel entend poursuivre le travail de sensibilisation des parties prenantes sur la problématique de la réduction des risques de catastrophes et de mise en place du dispositif nécessaire à la structuration d’une politique cohérente dans ce domaine. J’invite ainsi, toutes les parties prenantes à travailler ensemble afin que personne ne soit laissé de côté, car face aux catastrophes naturelles, il n’est pas de meilleure protection que notre solidarité ».

Source : afriquenvironnementplus.info

Environnement : Les Congolais sont appelés à réduire les risques des catastrophes

La sensibilisation de toutes les parties prenantes, aussi bien les Gouvernants que les populations, à la problématique relative à la réduction des catastrophes est là, l’objectif poursuivi par la célébration de cette journée instituée en 1989 par les Nations Unies.

Source : www.labreveoffice.over-blog.com

Célébrée cette année sur le thème : Réduire les dommages causées par les catastrophes aux infrastructures et services de base, le ministre

Soudan Nonault a évalué les pertes tant matérielles, économiques qu’humaines causées par «les Tsunami, les cyclones, les ouragans et les pluies diluviennes se trouvent exacerbées par le phénomène du changement climatique.

Effet, en 2018, le monde a perdu 155 milliards de dollards et environ 11000 hommes. Ce qui est très énormes et très interpelatoire. Car, reconnaissant que la destruction des infrastructures essentielles lors d’un catastrophe, rend difficile l’accès aux soins de santé et retarde le développement sociétal, il faut donc trouver des mesures plus efficaces pour lutter contre les sinistres de ce genres en renforçant la résilience des infrastructures et des populations. Ce qui nous permettra de minimiser les impacts desdits catastrophes.

Le cyclone Idai qui s’est abattu sur le Mozambique et le Zimbabwe en début d’année 2019 a détruit près de 90% des infrastructures de la ville de Beira et occasionné des milliers de morts doit nous interpeller, a-t-elle soulignée. Ce qui explique la vulnérabilité du Congo et d’autres pays de la sous-région. Aussi, rappelle-t-elle, les dommages causés par les pluies qui ont engendré des érosions, des glissements de terrains, des inondations et de l’ensablement de certains quartiers dans plusieurs agglomérations du pays. C’est donc dans la recherche des solutions adéquates qu’il a été organisé plus récemment, à Kinshasa, la 8ème plateforme Régionale Afrique Centrale.

Mme Arlette Soudan Nonault a rappelé que cette problématique concerne toute  la population sans aucune distincte quelle qu’elle soit. D’où son invite à la solidarité question de dynamiser nos actions contre les impacts des catastrophes naturelles : «J’invite ainsi, toutes les parties prenantes  à travailler ensemble afin de que personne ne soit laissée de côté, car face aux catastrophes naturelles, il n’est pas de meilleures protection que notre solidarité».

Il faut donc rappeler que ce département ministériel se bat pour trouver un soulagement aux besoins post-catastrophes et le cadre de relèvement, en juillet dernier avec l’appui de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC). Le témoin est passé aux formés de prendre le relais et de former les autres.

Journée internationale pour la réduction des risques de catastrophe se célèbre chaque 13 octobre.

 

Congo/Environnement : Nécessite de renforcer la résilience des communautés et des infrastructures

Le ministre du Tourisme et de l’environnement, Mme Arlette Soudan-Nonault, a souligné, le 13 octobre à Brazzaville, la nécessité de renforcer la résilience des communautés et des infrastructures, en vue de minimiser les impacts des éventuelles catastrophes dans une perspective de développement durable des sociétés.

Elle a souligné cette nécessité à l’occasion de la Journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes, célébrée cette année sous le thème «Réduire les dommages causées par les catastrophes aux infrastructures et services de base».

Instituée par les Nations unies en 1989, cette célébration annuelle a pour objectif de sensibiliser toutes les parties prenantes, aussi bien les gouvernants que les populations, à la problématique de la réduction des risques de catastrophes. «Il s’agit de renforcer la résilience des communautés à travers une compréhension accrue des phénomènes en présence et la préparation de réponses adaptées aux différents types de situations», a expliqué Mme Soudan-Nonault.

Selon elle, le thème de cette année interpelle tout le monde à plus d’un titre, à l’heure où la récurrence des catastrophes naturelles causées par les tsunamis, les cyclones, les ouragans et les pluies diluviennes se trouvent exacerbés par le phénomène du changement climatique.

Le Congo, comme la plupart des pays de la sous-région, reste vulnérable aux catastrophes naturelles. «Les dommages causés par les pluies dans plusieurs départements ces dernières années ont engendré des érosions dans les grandes agglomérations, des inondations, des glissements de terrain et l’ensablement de certains quartiers», a-t-elle rappelé.

Suite à toutes ces catastrophes naturelles, Mme Soudan-Nonault a annoncé que son département ministériel entend poursuivre en 2020 le travail de sensibilisation des parties prenantes sur la problématique de la réduction des risques de catastrophes et de la mise en place du dispositif nécessaire à la structuration d’une politique cohérente dans ce domaine.

Aussi, elle a invité toutes les parties prenantes à travailler ensemble afin que personne ne soit laissé de côté, car face aux catastrophes naturelles, il n’est pas de meilleure protection que la solidarité.

Au niveau mondial, les différentes catastrophes naturelles auxquelles la planète a fait face en 2018 ont engendré des pertes économiques évaluées à environ 155 milliards de dollars et des pertes humaines évaluées à environ 11.000 morts. Le cyclone Idai, qui s’est abattu sur le Mozambique et le Zimbabwe, a détruit près de 90% des infrastructures et occasionné des milliers de morts, a fait dit Mme Soudan-Nonault.

La destruction des infrastructures essentielles, lors de la survenue d’une catastrophe, rend difficile l’accès aux soins de santé pour les personnes affectées et le relèvement des populations qui se trouvent complètement démunies et durablement affectées.

Dans le cadre d’une action sous régionale concertée, la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) a organisé, du 30 septembre au 4 octobre dernier, en République démocratique du Congo (RDC), la 8ème plateforme régionale Afrique centrale pour la réduction des risques de catastrophes. A l’issu de cette réunion, le Congo et la RDC ont envisagé de signer un protocole d’accord et un plan de contingence multirisques.

Dans cette même optique, le Congo, en collaboration avec la CEEAC, a organisé en juillet dernier un atelier de formation sur l’évaluation des besoins post-catastrophe et le cadre de relèvement, a rappelé Mme Soudan-Nonault.

Source: www.aci.cg