COMMUNQUE_PNUD

Communiqué de presse : La République du Congo obtient 1,3 milliard de FCFA de financement

Téléchargez le communiqué de presse ici

La République du Congo obtient 1,3 milliard de FCFA pour financer des initiatives de préservation de son écosystème et de mitigation des impacts du changement climatique

La République du Congo a reçu un appui financier d’un montant de 1,3 milliard de FCFA aux titres du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et du Fonds Vert pour le Climat (FVC), dans le cadre de la mise en oeuvre et de la consolidation de la politique nationale climat-biodiversité.
Ces financements permettront de réaliser les actions suivantes :

  • La mise en oeuvre de stratégies nationales conformément aux engagements qui lient le pays au cadre Kunming-Montréal sur la biodiversité et à l’Accord de Paris sur le Climat ;
  • L’Accréditation d’une entité nationale au Fonds Vert pour le Climat (FVC) en vue de disposer d’une structure nationale avec les capacités requises pour un accès direct aux financements climatiques sans recours aux intermédiaires ;
  • La Promotion de techniques culturales modernes et durables auprès des producteurs locaux pour assurer la pérennité des ressources et l’intégrité environnementale des écosystèmes.

Le Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo (MEDDBC) assurant la maitrise d’ouvrage, supervisera les programmes en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) représentant l’agence d’exécution des fonds, les ministères sectoriels, la société civile, les populations locales et le secteur privé.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Contact MEDDBC
Mme Sophédrina Dahina MBAMA
Cellule de communication
+242 06 192 94 05
secretariatministre@developpementd-durable.gouv.cg
www.développement-durable.gouv.cg

Contact PNUD
Mme Pascale TOULOULOU
Chargée de communication
+242 06 875 00 20
pascale.touloulou@undp.org
www.cg.undp.org

IMG-20250608-WA0021

Le Parlement congolais approuve la ratification de l’Accord sur la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (BBNJ)

Un pas décisif pour la protection de la haute mer.

Le Parlement congolais a unanimement approuvé, lors de sa séance du 7 juin 2025, la loi portant ratification de l’Accord BBNJ sur la biodiversité marine en haute mer, contribuant ainsi significativement à la protection des écosystèmes océaniques.

Lors des séances plénières du sénat et de l’Assemblée nationale, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et du Bassin du Congo, a présenté les clarifications gouvernementales concernant certains points du traité.

Les travaux des sessions ont été menés à terme avec la pleine participation et l’accord unanime des représentants de la Nation, dans un climat de responsabilité et d’unité.

L’adoption de cette loi pave la voie à la ratification formelle de l’Accord BBNJ par le Président de la République, dans le cadre préparatoire au Sommet de Nice sur les océans. L’engagement du Congo en faveur de la gouvernance environnementale mondiale et de la préservation des biens communs planétaires est clairement démontré par cette action significative, impulsée par le Chef de l’État, Denis SASSOU N’GUESSO.

IMG-20250529-WA0035-1536x1152

Brazzaville, République du Congo : la troisième contribution déterminée au niveau national attendue avant octobre 2025

La ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo (MEDDBC), Arlette Soudan Nonault, a lancé officiellement le processus de révision de la troisième contribution déterminée au niveau national (CDN 3.0) de la République du Congo, ce mardi 27 mai 2025, à Brazzaville. Cette démarche vise à renforcer l’ambition climatique de la République du Congo en intégrant les dernières données scientifiques et en alignant ses engagements sur la neutralité carbone d’ici 2050.

Soutenu par l’initiative pour les forêts d’Afrique Centrale (CAFI) à travers l’UNOPS et la FAO, dans le cadre de la mise en œuvre de la lettre d’intention signée entre la République du Congo et CAFI, ainsi que par des appuis complémentaires de la délégation de l’Union Européenne et de l’UNICEF, le processus de révision de la CDN a été lancé dans un contexte de mobilisation inclusive et participative des parties prenantes.

Lors de cet événement, la ministre Arlette Soudan Nonault a précisé devant une délégation du Royaume-Uni, conduite par Ruth Davis OBE, première représentante spéciale du Royaume-Uni pour la nature, ainsi que des représentants du gouvernement, du secteur privé, de la société civile, des jeunes et d’autres partenaires techniques, que cette nouvelle édition de la CDN 3.0 est attendue par la communauté internationale avant octobre 2025. Plus qu’un simple engagement, cette phase représente pour les pays en développement une opportunité pour la planification du développement, faisant de l’action climatique un levier de diversification et de modernisation du tissu industriel et socio-économique.

« La CDN 3.0 permettra d’aligner assurément nos objectifs climatiques sur nos priorités de développement, de mobiliser les financements innovants et les technologies appropriées en vue de renforcer notre résilience climatique et faire de notre action climatique un pivot de notre développement durable. Il est vrai qu’en termes d’actions, nous avons encore du chemin à faire face à la multitude de défis climatiques et des contraintes multifactoriels auxquels notre pays fait face. Toutefois, il est important de souligner que malgré ces difficultés, la CDN 2021 commence à porter ses fruits. Nous pouvons citer, par exemple, la consolidation de la politique de gestion durable des forêts à travers la protection des tourbières, un écosystème déterminant dans la régulation du système climatique global, » a affirmé Arlette Soudan Nonault dans son discours.

Cependant, face aux défis actuels, les autorités congolaises sont conscientes qu’elles doivent redoubler d’efforts. La CDN 3.0 doit permettre de renforcer les ambitions en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pour ce faire, les gouvernants doivent caractériser les données afin de prendre des engagements sectoriels éclairés et stratégiques, susceptibles de faciliter la mobilisation de financements et d’assurer le respect de l’engagement de la République du Congo pour le climat. La CDN 3.0 devra également incarner la justice climatique en associant les peuples autochtones et les communautés locales vulnérables aux décisions qui en découleront. Elle devra par ailleurs générer des bénéfices pour le développement local et communautaire, en assurant la résilience et la sécurité physique, sanitaire et alimentaire des populations. Enfin, elle devra s’inscrire dans une dynamique de financement innovant, conjuguant ressources nationales, internationales et privées, avec comme fil conducteur la transition juste.

« L’un des points clés de l’Initiative des forêts d’Afrique Centrale (CAFI) est le soutien à la révision de la Contribution déterminée au niveau national, qui est une priorité pour combattre la déforestation. La Contribution déterminée au niveau national est un projet ambitieux qui s’harmonise avec les cadres existants, tels que la lettre d’intention signée avec le CAFI et la stratégie de REDD+, ainsi que le Plan de développement durable qui incorpore des données. Nous savons aussi que la Contribution déterminée au niveau national est un outil mobilisateur de financements. Pendant mon séjour à Brazzaville, j’ai eu l’occasion de rencontrer la société civile et les peuples autochtones. Je suis très impressionnée par le fait que la République du Congo inclue cette couche de la population dans ses programmes, ce qui constitue un atout important pour le développement des politiques climatiques, » a déclaré Ruth Davis OBE lors de son discours.

Les Contributions Déterminées au Niveau National sont des plans d’action climatiques nationaux, soumis par chaque pays avant la COP21, qui décrivent les actions pour réduire les émissions et renforcer la résilience au changement climatique. Elles constituent le fondement de l’Accord de Paris, démontrant les intentions des pays en matière de décarbonisation et d’adaptation aux changements climatiques. En lançant officiellement son processus de révision de la CDN 3.0, la République du Congo a ainsi affirmé l’engagement de ses gouvernants dans la mise en œuvre de l’Accord de Paris.

Source : https://24newsagency.com/

IMG-20250601-WA0018

Une délégation de Greenpeace a été reçue par la Ministre Arlette Soudan-Nonault

L’appui de Madame ARLETTE SOUDAN-NONAULT, en sa qualité de Secrétaire Exécutive de la Commission climat du bassin du Congo vivement sollicitée par l’ONG Greenpeace, pour qui La Ministre Congolaise de l’Environnement, du Développement Durable et du bassin du Congo devrait peser faire le plaidoyer de la note conceptuelle de cette auprès de l’Union Africaine, dans le cadre de la protection du Bassin ,puis de la reconnaissance des peuples autochtones et communautés locales dans toutes les questions liées à la protection des forêts, au changement Climatique et à la conservation de la biodiversité, ainsi que l’instauration d’une journée internationale dédiée au bassin du Congo.

C’est ce qui ressort de l’audience que Madame ARLETTE SOUDAN-NONAULT, Ministre de l’environnement, du développement durable et du bassin du Congo, secrétaire Exécutive de la Commission climat du bassin a accordée ce 28 Mai 2025 à Brazzaville à la délégation de cette Organisation internationale indépendante connue pour ses campagnes en faveur de l’environnement.

Rappelons que la République du Congo est le 1er pays du bassin du Congo à avoir promulguer une loi portant promotion et protection des droits des peuples autochtones, et que s’est tenue du 26 au 30 Mai 2025 à Brazzaville,le 1er Congrès des peuples autochtones et des communautés locales des bassins forestiers.

Créée en 1971, et implantée dans 40 pays à travers le monde, l’ONG Greenpeace a fait entendre sa voix auprès de la Ministre par le biais du professeur Georges MILUMBU, son coordinateur Pays RDC, à la tête d’une délégation de 4 personnes.

IMG-20250601-WA0025

La Ministre Soudan-Nonault a reçu M. ABDOURAMANE DIALLO, coordinateur Résident du Système des Nations unies

S’imprégner du fonctionnement du Ministère de l’environnement, du développement durable et du bassin du Congo,faire le tour d’horizon des actions menées conjointement avec le ministère et identifier les priorités à mettre au coeur de l’action du nouveau cadre de coopération pour le Congo et le Bassin du Congo,qui va s’étendre sur une durée de 2027 à 2031et enfin s’enquérir des préparatifs pour la participation du Congo à la Cop 30 de Belém.

C’est tout le sens à donner à la première visite ce Mercredi 28 Mai 2025, de Monsieur ABDOURAMANE DIALLO, coordinateur Résident du Système des Nations unies, chez la Ministre Congolaise de L’environnement, du développement durable et du bassin du Congo, Secrétaire Exécutive de la Commission climat du bassin du Congo, Madame ARLETTE SOUDAN-NONAULT

Le leader de l’équipe -Pays des Nations unies déterminé à améliorer la cohérence et l’efficacité de son action au service du développement des projets en République du Congo,pour l’atteinte des objectifs du Développement Durable a saluer les efforts du Chef de l’État Congolais DENIS SASSOU NGUESSO,qui a fait de la question climatique son cheval de bataille,par le biais des nombreuses initiatives 

EXPORT-DECLARATION-2

Célébration de la journée internationale de la biodiversité 2025

À l’occasion de la célébration, ce 22 Mai, de la journée internationale de la biodiversité, célébrée cette année sur le thème « Harmonie avec la Nature et développement durable » et dans sa déclaration rendue publique par le biais de la Ministre de l’environnement, du développement durable et du bassin du Congo, le gouvernement Congolais invite la population à faire preuve de responsabilité pour préserver la biodiversité Congolaise.

La biodiversité étant le socle de la vie terrestre,des écosystèmes en bonne santé est en effet indispensable pour réguler le climat,les cycles de l’eau et des nutriments, pour fournir la nourriture,les médicaments et un cadre propre au bien être humain a fait savoir Madame ARLETTE SOUDAN-NONAULT.

Tandis que,la perte de la nature réduit la capacité des forêts et des océans à séquestrer le Carbone, limite la disponibilité de l’eau et favorise l’émergence des agents virus pathogènes nuisant à la santé humaine et végétale, compromettant la capacité des systèmes agricoles à faire face aux chaos climatiques, et aggrave en définitive les inégalités sociales au détriment des populations les plus vulnérables.

Au coeur de la destruction de la biodiversité se situe l’homme et ses activités. On peut citer le changement d’usage des terres surexploitées ,la pollution des espaces,le gaspillage,la surconsommation et l’urbanisation arnachique.

Pour remédier à cette crise qui a pris des proportions inquiétantes à travers la planète,le gouvernement Congolais sous l’impulsion de son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République,Premier Écologiste du Bassin du Congo a mis en oeuvre des initiatives, à savoir : la mise à jour du plan d’action national pour la biodiversité,lequel va couvrir la période allant de 2025 à 2030, a précisé la Ministre de l’environnement, du développement durable et du bassin du Congo.

Madame ARLETTE SOUDAN-NONAULT a également signifié que pour pour son engagement à l’échelle mondiale,le chef de l’état Congolais, Denis SASSOU NGUESSO a initié l’adoption par l’ONU de la décennie pour le boisement et le Reboisement, ainsi que l’organisation réussie du Sommet des trois bassins des écosystèmes de biodiversité et des forêts tropicales et de la conférence internationale sur l’afforestation et le Reboisement.

Ainsi chacun d’entre nous doit faire sa part pour protéger notre si riche biodiversité a t’elle conclu.

IMG-20250521-WA0074

France-Congo: Agnès Pannier-Runacher s’entretient avec son homologue Arlette Soudan-Nonault

En prélude à la mission

officielle du chef de l’État, Denis Sassou N’Guesso, en France les 22 et 23 mai, Arlette Soudan-Nonault, ministre congolaise de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, secrétaire exécutive de la Commission Climat du Bassin du Congo, s’est entretenue avec Agnès Pannier-Runacher, ministre française de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche.

L’entretien entre les deux personnalités s’est tenu le 21 mai avec, en ligne de mire, la COP 30 de Belém, et en ayant en mémoire le dixième anniversaire de l’adoption de l’Accord de Paris. À l’ordre du jour, deux points essentiels, à savoir la poursuite du partenariat avec la Direction générale de la prévention des risques et l’appui à l’élaboration d’un plan national de gestion des déchets et son opérationnalisation. La structure française partenaire ciblée est l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.

Ont été également abordés les points faisant l’objet de la mission présidentielle. Ce qui a permis à la ministre française de rappeler tout d’abord que la COP30 à Belém coïncide cette année avec le dixième anniversaire de l’Accord de Paris. De ce fait, il est important de s’assurer de sa bonne mise en œuvre. Il est question, par rapport à cette assurance, de veiller à l’augmentation des financements affectés au climat afin qu’ils aillent effectivement vers les pays qui en ont le plus besoin, en particulier les pays vulnérables, notamment ceux de l’Union africaine.

Autre rappel, l’organisation de la Conférence des Nations unies sur les océans qui se déroulera à Nice sous l’égide de la France et du Costa Rica.

La République du Congo répondra « présente » aux différents points retenus à l’agenda français. En ce qui concerne la biodiversité marine, Arlette Soudan-Nonault a souligné l’importance du Congo dans ce domaine car abritant deux grandes aires marines protégées.

« Nous avons également évoqué l’un des aspects de la venue du président de la République à Paris, à savoir la création à Brazzaville de la future école sur la criminalité environnementale », a-t-elle confié.

Cet échange a été qualifié d’amical et de productif par la ministre française à l’approche de l’Unoc et de la COP30. Coopération bilatérale, océan, forêts, climat, traité plastique : « La République du Congo est un acteur-clé pour faire avancer l’agenda climatique et environnemental », a-t-elle écrit sur son réseau social.

Source : https://www.adiac-congo.com/content/france-congo-agnes-pannier-runacher-sentretient-avec-son-homologue-arlette-soudan-nonault